Classification des désordres mentaux.

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En psychologie ésotérique, il n’existe pas de classification des désordres mentaux, comme c’est le cas en psychiatrie. D’ailleurs, le fait de couper les cheveux en cent morceaux plus ou moins égaux n’a jamais réussit à mieux faire comprendre un problème de nature spirituelle. Le plus cocasse, dans l’histoire, c’est que le mot « psychologie » signifie « étude de l’âme. » Or, les psychologues des écoles (les « académiques« , comme je dis souvent) ne croient pas en l’existence de l’âme.

(Fallait le faire, quand même, mais bon…) Les psychologues diplômés d’État se proposent donc d’étudier une chose en laquelle ils ne croient même pas ! On est mal barré, avec ça ! Et que dire du psychiatre qui considère comme « dérangé » ou « asocial » toute personne qui ne rentre pas dans le « moule » qui a été pensé par des eunuques spirituels ?

 

 

 

A ce titre, les psychologues ésotéristes sont de dangereux psychopathes qui non seulement sont absolument dérangés et asociaux mais qui, de plus, ont le pouvoir démoniaque de manipuler leurs semblables pour les entrainer dans leur folie furieuse (plaisantez pas, je me borne à citer presque mot pour mot un de ces « diplômé de partout » !) Pensez donc, ils prétendent que l’être humain est programmé et ne peut redevenir libre et heureux qu’à la condition expresse de ne plus succomber au Songe Collégial dans lequel sont investis ses semblables. Un Songe considéré désormais comme étant la norme par une bande de manipulateurs mentaux de première qui eux, ne sont jamais dénoncés !

Cela dit, ils ne doivent pas être des manipulateurs bien efficaces, attendu que s’il n’existe au mieux qu’un demi million de psy éso, dans le monde, il existe 98 pour cent de « gens normaux. » Les psychiatres et autres psychologues planificateurs de conscience sont donc plus efficaces en matière de manipulation mentale. Bien. Donc, l’esprit. Le comportement d’un individu incarné est géré par deux choses principales :

1. Le fonctionnement des glandes endocrines.
2. L’activité nomique ou antinomique du cerveau (voir plus loin ce que j’entends par ces termes un brin techniques.)

 

 

 

troubles mentauxLes chercheurs Américains -qui ont oublié d’être Français en naissant- savent depuis les années 30 que du fonctionnement harmonieux et équilibré de nos glandes endocrines, dépend en grande partie notre personnalité et notre caractère (comment cette personnalité s’exprime, donc.) Bien évidemment, en France, aucun endocrinologue ne se risquera à s’avancer sur ce terrain glissant et les glandes ne sont retenues que pour leur rôle au niveau de l’équilibre physiologique et nerveux.

 

 

 

 

Nous savons aussi qu’il est possible de mesurer l’activité du cerveau et de vérifier les zones cervicales qui s’activent en certaines circonstances. Les scientifiques s’appuyant sur les constats relatifs à l’imagerie cérébrale et fonctionnelle, partent du principe que si certaines zones du cerveau sont inactives ou s’opposent à l’activité d’autres zones censées les contrebalancer, c’est parce que ces zones là sont soit déficientes, soit font l’objet d’un dysfonctionnement dû à quelque anomalie physique. Ce raisonnement est assez étonnant, car il revient à dire, par exemple, que si mon sexe reste inactif durant de longues périodes de temps, c’est qu’il subit un dysfonctionnement ou est carrément « en panne » ! Et si mon oreille gauche n’écoute rien, elle deviendra sourde ! Ouep, ça se tient… Surtout si on a dix ans d’âge mental !

 

 

 

 

Glandes endocrines-05Pourtant, les scientifiques ont eu suffisamment de preuves tangibles, en étudiant, par exemple, le mode de fonctionnement des glandes endocrines, pour savoir que certaines d’entre elles fonctionnent en correspondance avec d’autres glandes, l’activité de l’une freinant ou réprimant carrément celle d’une autre. Cet antagonisme naturel étant d’ailleurs le garant d’un équilibre physiologique et psychologique convenables. Les psy éso savent très bien qu’une hypoactivité de la thyroïde peu provoquer des troubles du comportement ou, par exemple, un dérèglement émotionnel. Une personne peut tout à coup se mettre à pleurer pour un rien, cela à cause d’une mal-fonction passagère de cette glande.

Une hypoactivité des gonades (testicules ou ovaires) et des surrénales, peut donner une personne timide ou carrément « molle« , incapable de s’affirmer et de prendre des décisions, par exemple. Les surrénales peuvent même entraîner des phobies passagères telles que la peur panique de mourir ou d’être attaqué. Les gens dont l’esprit fonctionne anormalement peuvent avoir des problèmes de pancréas et d’hypophyse (glande pituitaire.)

 

 

 

glandes endocrinesBref, comme on peut l’imaginer, mieux vaut avoir des glandes en bon état si l’on désire être équilibré et heureux de vivre. Pour en revenir aux scientifiques et à leurs machines à mesurer l’activité cérébrales (les fameuses tâches rouges qui mesurent l’activité et la chaleur qui en découle), le fait que certaines zones cérébrales ne fonctionnent pas comme elles « devraient » le faire, ne signifie pas que la personne est dérangée ! Cela indique seulement un fonctionnement différent et « hors norme. » D’ailleurs, attendu que « Tout est double » (mais opposé et complémentaire), si une zone ne fonctionne plus ou presque plus, c’est simplement parce que une autre zone, antagoniste, fonctionne un peu trop et  » brime  » naturellement l’activité de la première.

Est dite « activité nomique » toute activité qui va dans les sens de la volonté.
Par exemple, si je suis un polisson et que mon cerveau montre des « tâches rouges » dans la zone qui concerne l’activité sexuelle, cette activité sera dite « nomique », car elle exprime correctement ce que je suis ou est en correspondance avec ce que je désire être ou vivre. (Et hors de toute considération sociale « d’équilibre » ou de morale.)

A l’inverse, une activité « antinomique » est celle qui montre une activité cérébrale qui va à l’encontre de la volonté personnelle et se trouve en négation avec ce que la personne désire vivre et expérimenter. Par exemple, si je désire être « cool » mais que le lobe frontal est « hot » à n’en plus pouvoir, je vais avoir quelques problèmes de « prises de têtes » à l’horizon !
Donc, nomique = Qui traduit parfaitement l’état d’esprit volontaire.
Antinomique = Qui trahis l’état d’esprit volontaire (ou dit l’inverse.)

 

 

 

 

hypothalamusIl existe aussi une forme d’activité dite « par résonance » ou « par sympathie. »
Par exemple, les zones de la colère, de la satiété et de la polissonnerie sexuelle se trouvent situées très proches, l’une de l’autre, dans l’hypothalamus (sous le 3e ventricule du cerveau) et ce qui affecte l’une affecte souvent l’autre. Les gens « actifs sexuellement » sont parfois coléreux et/ou gourmands (voire boulimiques.) A l’inverse, se voir trop gros ou trop maigre, par exemple, peut affecter la libido (surtout l’excès de poids.)

Conclusion provisoire : Si le cerveau d’une personne fonctionne d’une façon jugée inhabituelle (et non bizarre ou inappropriée), c’est parce qu’un agent intérieur ou/et extérieur en a changé temporairement l’activité usuelle.
Non pas que telle façon de fonctionner soit préférable à une autre ou soit « la bonne » (sic) mais disons plutôt que ceux dont l’activité cérébrale diffère de celle des autres, auront du mal à se faire comprendre d’autrui, à s’intégrer au moule social, à cadrer avec le comportement usuels, etc.

 

 

 

C‘est ce que vivent quelques-uns, tel et par exemple, un ancien membre d’un ancien forum (Psukelogos) qui, depuis, en est parti sur mes conseils. Il n’était pas « malade » ou « fou » ni même dérangé : il fonctionnait juste différemment. Au contact de gens comme lui, il était plus serein et se sentait plus « à sa place. » C’est la différence de potentiel (DDP) qui engendre le problème, c’est-à-dire le fait que cet ancien membre évoqué ci-dessus, possédait sans nul doute des glandes endocrines et un cerveau, fonctionnant d’une manière différente. Différente de « la masse bien pensante » ! Pour un psy éso, c’est cette « masse bien pensante » qui est considérée comme ayant un fonctionnement psycho énergétique (glandes et cerveau) aberré et impropre à la vie sociale dans son sens le plus originel ou premier. Comment le définir ? Observez les gens : s’ils se font du mal ou en font aux autres alors qu’ils prétendent s’estimer ou aimer autrui, c’est là le signe qu’ils présentent bien un esprit aberré !  Smile

 

 

 

 

aberration mentaleL‘aberration mentale s’établit ainsi : penser, vouloir ou désirer une chose et en faire ou en vivre une autre. A ce titre, B. (l’ancien membre) n’était pas plus « dérangé » que n’importe quel autre individu moyen de cette Planète. Par contre, ceux qui l’ont connu ont pu noter qu’il était étonnement conscient d’être différent ou atypique… Voilà bien une chose peu répandue ! Plus répandue est ce vice de se servir d’une faiblesse supposée pour maintenir un pouvoir avéré sur autrui. Les gens dits « malades » sont souvent d’excellent manipulateurs qui se servent de leur « différence » pour en tirer quelque profit.

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)