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Bien qu’on puisse parler de « sept corps », en ésotérisme, il n’en existe en fait que trois : le corps physique, le corps psychique intermédiaire et le corps spirituel. Ces fameux « sept corps » sont en fait les sept modes (ou niveaux) d’expression d’une seule et même chose : Notre individualité consciente.
Ainsi, les corps physique, vital, astral, mental, causal, bouddhique et atmique, ne sont en réalité que les diverses modalités d’expression de notre individualité consciente ou entité globale.
Le « corps » vital représente notre degré de vitalité, l’astral notre faculté à percevoir et à ressentir les choses, le mental notre faculté de compréhension et d’analyse, le causal représente les états d’esprit qui nous motivent, le bouddhique se réfère à notre faculté de discernement et d’intuition, et l’atmique (qui signifie « de l’âme ») symbolise la partie immortelle de notre conscience individuelle ou « Soi. »
Sur ces « sept corps », six évoluent, meurent ou se transforment, selon le cas, mais un seul demeure : Le corps atmique. Ce dernier (appelé parfois « Moi Intérieur ») contient les conclusions dernières que nous avons pu établir, au fil des temps, sur notre propre individualité. En lui sont gravées des informations concernant les finalités de notre trajectoire individuelle dans sa partie la plus intérieure ou profonde.
Au-dessus du « corps atmique », se trouve « l’Adyatma » (de « Adi » = divin et « Atma » = âme, en sanskrit), c’est-à-dire la Pure Conscience de Soi, qui ne peut pas se considérer comme étant un individu distinct de tous les autres.
Cet Adyatma (situé sur le 8eme Plan) est nommé « Christ » (ou Conscience Christique ou encore « Le Fils ») dans la tradition Chrétienne primitive. C’est le Huitième niveau, en termes purement humains mais le premier en termes Divins. La psy éso ne s’occupe que des huit premiers niveaux, car les autres ne sont pas accessibles à l’entendement humain usuel et, de toutes façons, n’ont plus rien à voir avec notre vie sociale et terrestre générale.
Serge Baccino