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Dans l’Apocalypse de Jean ou « Livre des Révélations » (du Grec « Apocaliptos » ou « apocalupsis » = révélation et non « destruction ») selon les Manuscrits Esséniens, il est donné au Disciple Jean (l’Apôtre de Jésus) d’ouvrir sept sceaux conservés par sept Anges. Chaque fois qu’un sceau est ouvert, l’Ange montre à Jean les œuvres de l’homme et tout ce qu’apporte comme lot de souffrances et de consternations le moindre de ses actes. Et à chaque fois, Jean a cette phrase étonnante :
« Et je me détournai plein de honte. »
Jean semble culpabiliser à la vue du mal que font les hommes avec leur esprit, avec le pouvoir divin qui leur a été confié. Mais lorsque le septième sceau est ouvert, Jean dit :
« Mais cette fois ci, je ne me détournai pas plein de honte… »
Jean a compris que la culpabilité ne sert à rien si ce n’est à demeurer immobile. Un petit livre fut montré à Jean qui dit plus loin :
« Je vis aussi l’éternité de l’homme et le pardon du Seigneur toujours renouvelé… Les âmes des hommes étaient semblables aux pages blanches d’un livre, toujours prêtes pour qu’un nouveau chant s’y inscrive. »
Jean comprend qu’il n’appartient qu’à l’homme de transformer sa vie et de surveiller les mouvements de son esprit (Karma Chitta, en sanskrit) afin de ne plus rien détruire et de ne plus produire de souffrances. Sa conscience s’élève alors vers les sommets mais une voix lui dit :
« Mais abandonnerais-tu tes frères, les laisserais-tu sombrer dans un gouffre de sang tandis que la terre déchirée tremble et gémit de douleur sous ses chaînes de pierre ? Boirais-tu à la coupe de la vie éternelle alors que tes frères meurent de soif ? »
On pourrait croire que le mot révélation est… révélateur, justement, de l’état d’esprit qui a présidé à l’écriture de ce Livre parmi les plus symboliques et les plus ardus à traduire au monde (avec, entre autres, le Zend Avesta, le Mahabaratha et les Shiva Sutra.) Pour nous, le mot « révéler » signifie « dire des choses précédemment tenues secrètes » (ou assimilé.) En fait, révéler signifie « couvrir d’un voile » (du Latin « révélaré ») ! Le sens est donc « voiler ce qui, sans cela, serait par trop accessible à l’entendement. » Voilà qui change tout, n’est-ce pas ?
Le but de ceux qui ont écrit l’Apocalypse n’était donc pas de « révéler » dans le sens usuel et français de ce terme, mais de voiler la vérité, dans le sens occulte (et accessoirement latin.) Mais pourquoi chercher à voiler ce qui, de toute façon, n’est déjà pas à la portée du commun ? Car il faut se souvenir que ce Livre ne date pas d’hier, n’est-ce pas ! Pour le comprendre, il est nécessaire de se placer dans l’état d’esprit qui présidait à cette lointaine époque. Il est vrai qu’il n’était pas utile de voiler ce qui était déjà bien assez technique et sophistiqué comme ça, mais il était primordial de maquiller la vérité, cela afin que cette dernière ne puisse pas tomber entre les mains d’une caste de Prêtres plus ou moins initiés mais présentant de noirs desseins.
Ainsi, c’est aux « Docteurs de la Loi » (qui étaient tout de même instruits des choses de l’esprit) que ces connaissances furent cachées, et non à tous ceux dont la largesse d’esprit n’a d’égal que la profondeur de leur cœur… (une phrase qui me sert encore à présenter mes livres, édités sur Amazon.) Les véritables « clefs » de l’Apocalypse furent cachées là où les Docteurs de la Loi ne penseraient jamais à aller chercher :
Dans le cœur de l’homme !
Plus exactement, dans une partie de son cœur qui lui permet d’accéder aux fameuses Annales Akashiques. Je reparlerai plus longuement du Centre psychique du Péricarde, dans un autre article, sur ce Blog, mais voici ce que l’on puis en dire dès à présent.
Le Centre psychique du Péricarde est celui qui nous relie à la Soi-Conscience universelle, à notre « Entité Globale ». On pourrait écrire un livre entier sur le sujet sans pour autant l’épuiser ou se montrer exhaustif ! Mais je résumerai en disant que ce centre est différent du Centre Cardiaque (Anahata Chakra, en sanskrit) qui lui, est relié à son expression biologique extérieure, qui est la glande endocrine thymus. Le Péricarde, poche dans laquelle est contenu le cœur qui baigne dans de la lymphe, est situé un peu à gauche de la poitrine. C’est cette membrane ainsi que son contenu liquide qui forme le 8eme Centre psychique.
Le point d’encrage de l’énergie Divine en nous (christ, Soi, Atman, etc.) est situé aussi à ce niveau (on appelle cela « Atome Germe du cœur »). Lorsque le Centre psychique du péricarde se met « en route » et alimente en énergie vitale l’Atome Germe, situé dans le nœud sino-auriculaire du cœur, on sent comme une petite pointe, comme une pression, une vibration ou encore comme si un doigt était posé sur le côté gauche de notre poitrine (c’est du moins l’impression que ça donne, le ressenti pouvant varier d’une personne à l’autre, j’en cite seulement quelques-uns ici.)
Si vous avez déjà posé la main sur un vieux réfrigérateur dont le moteur est en route, vous avez sans doute ressenti cette sensation particulière de vibration ou de « vrombissement sourd », provoqué par le moteur du frigo. Lorsque cet Atome Germe s’active (on dit aussi qu’il s’éveille) nous sommes connecté à « La Présence », en nous (la Shékinah, dans les Temple antique d’Égypte) c’est à dire LA CONSCIENCE DIVINE (ou l’étincelle Christique, si vous préférez.)
L‘un des effets probables, après l’éveil de l’activité naturelle de cet Atome Germe, l’un des premiers effets psychologiques, c’est de se sentir aimé de l’intérieur ! Difficile d’exprimer la chose autrement… Un peu comme si là, au creux de notre poitrine, se trouvait un être conscient qui nous aime tendrement, bien plus fort que notre père, que notre mère, que nos enfants (et j’en passe) en même temps ou combinés ! C’est impossible à traduire par des mots mais c’est ainsi que le perçoivent généralement les gens et c’est ainsi que je l’ai moi-même perçu, jadis. Ensuite, on sent que cet Atome Germe qui se trouvait auparavant dans le péricarde, se déplace et vient se loger au niveau du thymus, sous la gorge, et juste au-dessus du Centre Cardiaque (Chakra Anahata.) En réalité, j’ignore si c’est vraiment l’Atome Germe lui-même qui se déplace ainsi, ou l’extension naturelle de son activité purement énergétique. Mais cela peut paraître secondaire il est vrai.
A ce moment, ce que l’on nomme « La Présence » dans certaines traditions, commence à nous guider doucement, à nous faire sentir et percevoir la vérité. Non pas une « vérité ultime » et utilisable pour tous, mais une forme de vérité adaptée à « Qui nous sommes vraiment. » Si on ne résiste pas, l’énergie de l’Atome Germe (ou lui, carrément ?) « monte » en nous, aussi bien d’un point de vue « géographique » (position dans le corps) que d’un point de vue vibratoire (sa fréquence) et vient se placer au niveau de la gorge, un peu au-dessus du Centre Laryngé (Visshuddha chakra) A moins que ce ne soit un autre Centre qui « prenne le relais », là encore, les avis sont partagés (et on s’en fout un peu d’ailleurs !)
Là, La Présence commence à s’exprimer pour nous et à notre place… (mais nous demeurons libre de la laisser faire ou non, bien entendu.) Si nous ne résistons pas, Elle monte encore et vient se positionner au niveau du front soit aux alentours de la ligne des sourcils, soit à peine un peu plus haut, deux centimètres au-dessus, environ (je n’ai pas mesuré, n’est-ce pas ^^) Et là, on est guidé définitivement et/ou quand on en ressent le besoin.
Mais rien n’est jamais imposé.
Le dernier Chakra (Sahasrara ou Coronal) n’est « atteint » ou « investi de la Présence » que dans deux cas : si on atteint une forme supérieure d’illumination (état de Boddhicité, de Conscience Cosmique) ou… Quand on meurt ! (Lorsque nous quittons notre corps, plus exactement.) En effet, c’est par le Centre Coronal, via le nerf pneumogastrique (ou Vague) que « sort » la Soi-Conscience (l’Atome Germe du cœur) au moment de la mort du corps de chair. Le canal que prend l’atome germe pour sortir du cœur, monter en direction de la tête et se barrer par le coronal, est ce fameux « tunnel lumineux » que voient (ou empruntent en partie) ceux qui ont fait une « mort clinique » (NDE.)
Mais les victimes de NDE ne sortent pas vraiment : si l’atome germe quitte le Coronal et s’élève de plus de 40 cm au-dessus du crâne (et quitte donc la « boule mentale »), il n’y a plus de possibilité de retour, car « la corde d’argent » se désolidarise alors de tous les Chakra en même temps, et se rompt. (Lire à ce propos : Ecclésiaste, ch 12, verset 5 à 7 au sujet de cette « corde d’argent » qui n’est autre que notre cordon nerveux spinal, dans sa partie purement énergétique s’entend.)
Pour ceux qui ont des connaissances médicales, il est intéressant de savoir que ce fameux « tunnel » dans lequel se perçoivent souvent les victimes de NDE, est en fait le nerf pneumogastrique ou « vague », dont les effets euphorisants et vasodilatateurs sont bien connus. Ce qui implique du même coup que, au moment de la mort du corps physique, la conscience se contracte de la périphérie vers son Centre-Source et se rassemble dans l’Atome Germe. Raison pour laquelle la personne mourante a l’illusion de « monter » dans un tunnel plus ou moins lumineux (le nerf vague, donc.) Comme effet psychique (Kriya, en sanskrit) ou secondaire de l’activation de l’Atome Germe du cœur, nous trouvons une hyperactivité du Péricarde.
C’est au niveau de ce Centre Psychique peu connu (et considéré comme le 8eme par les psy éso) que nous pouvons entrer en contact avec les fameuses « Annales Akashiques » (et découvrir d’autres facultés que des gens plus compétents que je ne le suis, expliqueront au monde d’ici quelques années, lorsque ce même monde sera prêt à entendre ce qui nécessite des oreilles préparées pour être admis et surtout, compris.) Ainsi, sans cette « Carte Magnétique d’Accès », il n’est pas envisageable de pouvoir traduire le sens premier et profond ces textes extraordinaires de l’Apocalypse, qui impliquent l’accession à un certain état d’esprit pour être correctement appréhendés. Il nous semble évident que pour bien comprendre un texte écrit par des gens qui appartiennent à un lointain passé, il est nécessaire d’être préalablement capable de se mettre soi-même dans le même état d’esprit que ceux qui sont à l’origine de ces textes. Et justement, l’activité de l’Atome Germe du cœur -ainsi que celle du Péricarde- (en tant que Centre psychique distinct, donc) et l’une des principaux moyen d’y parvenir rapidement et sans efforts. On est alors « branché », comme on le dit.
L‘un de mes Séminaires (sur quatre jours) présente la méthode d’éveil de l’Atome Germe. Il n’y a encore que 25 ans, ce savoir particulier n’était réservé qu’aux disciples avancés d’Ordres et écoles Fraternelles et Initiatiques. A présent, cet enseignement ne doit plus être tenu secret et doit absolument être partagé avec tous ceux qui désirent vivre leur propre divinité de l’intérieur, au lieu de se contenter d’en entendre parler par d’autres, à l’extérieur. Ma femme qui m’assiste durant ces séminaires et Ateliers, ainsi que moi-même, sommes heureux de présenter au public, des connaissances aussi profondes et merveilleuses qui font parties intégrantes de notre patrimoine humain. Un savoir qui n’est pas encore connu, en France mais qui ne devrait pas tarder à faire « boule de neige » car les temps sont mûrs et les consciences suffisamment préparées. Toute personne désirant de plus amples informations au sujet de notre travail, peuvent nous contacter de la manière qui les arrange le mieux (commentaires sur blog, e-mails ou par le biais de nos pages Facebook.)
ADDENDA : Ces séminaires sont désormais réservés exclusivement à ceux qui suivent nos cours de psy éso sur trois années.
Serge Baccino