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Articles divers que le lecteur pourra kindleliser s’il le désire.

Les trois niveaux de Tantrisme

Les trois niveaux de Tantrisme

 

 

tantrisme7Pour certaines personnes très mal informées, comme il se doit, le Tantrisme correspond à une sorte de perversion intellectuelle liée au sexe, à une bien piètre excuse pour s’éclater et se donner du bon temps sous le couvert d’une prétendue recherche spirituelle. Je ne dis pas que certaines personnes n’ont pas plus ou moins cet état d’esprit; je dis seulement que cette façon de considérer le Tantrisme est bien plus révélatrice de l’état d’esprit spécifique de ceux qui entretiennent cette façon de voir que de ce qu’est ou n’est pas le Tantrisme dans son actualité.

 

Il faudrait bien comprendre une chose puis apprendre en à tenir compte, si nous désirons cesser de réagir inutilement à l’expression des problèmes intimes de chacun. Le Français, en général, est un gros hypocrite qui, à force de devoir mentir par intérêt, en est arrivé à se faire croire que son mensonge reposait en fait sur une large part de vérité. Du coup, le français moyen en est arrivé à croire lui-même en ses mensonges et à le tenir pour véridiques.

 

 

tantrisme4Tout le monde est « intéressé » (dans le sens de « concerné ») par le sujet du sexe et quel que soient nos origines, notre éducation et la puissance de notre Moi-Idéalisé (et oui, toujours lui !), nous sommes tous, peu ou prou, en recherche constante de plaisir. Toutefois, rares sont les personnes réputées « comme il faut » (sic) désireuses de reconnaître les faits sans faire de manières.

 

Si de nombreuses personnes pensent que le Tantrisme est simplement une excuse pour se donner du bon temps sans avoir à se justifier, c’est qu’elles savent peut-être de quoi elles parlent. Ou de quoi elles manquent.
Elles sont sans doute bien placées pour savoir que l’être humain est assez hypocrite pour se cacher derrière des excuses bidons pour obtenir ce qu’il désire en secret.  Mais pourquoi désire-t-il « en secret » ?
Parce que son éducation, son ego et son Moi-Idéalisé (ainsi que celui des autres) lui interdisent de « se donner du bon temps », justement.

 

 

Tantrisme5Il est toujours intéressant, pour un psy éso, de noter les réactions émotionnelles ou sobrement intellectuelles, de personnes qui ne connaissent rien au sujet et n’entendant parler du Tantrisme que d’une manière très ponctuelle. Plus la réaction est de nature émotive et se solde par un rejet ou une négation, plus on peut être certain que cette personne est « travaillée » par le sexe ! Du moins, par le sujet du sexe, oui, cela est plus élégant présenté ainsi ! Bien. Cela, c’est pour la partie purement psychologique du sujet, mais qu’en est-il du Tantrisme, lui-même et en clair ?

Comme en de nombreux domaines de la spiritualité, il n’existe pas une mais plusieurs formes de Tantrisme. Dont trois en particulier. Le plus connu étant évidemment le premier des trois, celui relatif au corps et à ses joyeux ébats.

Mais voyons plutôt comment se nomment ces trois niveaux différents :

 

*** Le Tantrisme du corps physique, souvent relié au Yoga.
*** Le Tantrisme du cœur ou « psychique », qui concerne la Magie des énergies.
*** Le Tantrisme spirituel ou Mental, concernant entre autres les psy éso.

 

 

 

Tantrisme9La première forme de Tantrisme (physique) permet le déblocage et la libre circulation des énergies électrochimiques de notre corps et agit en particulier sur le système nerveux, le sang, la lymphe et les sécrétions hormonales. Cette action est généralement régulatrice, la prépondérance étant donnée au nerf pneumogastrique ou vague, bien connu de la médecine officielle.

La seconde forme (psychique) permet le déblocage et la libre circulation des énergies liées aux sentiments, émotions et perceptions psychiques (facultés de l’âme) et agit en particulier sur les centres psychiques (les plexus nerveux) et libère l’individu de tout ce qui l’empêchait auparavant de manifester paix, joie, amour, bonheur et, surtout, ce sentiment divin qu’est le PLAISIR sous TOUTES ses formes (Éros)

La troisième forme (ou le 3e niveau de Tantrisme) permet le déblocage et la pleine expression des facultés mentales (analyse, synthèse, raisonnement, discernement et logique) et le pouvoir de créativité (créer en esprit et dans son propre mental, comme le Divin.) Il a pour effet de libérer l’individu de ses principaux conditionnements mentaux, qu’ils soient positifs ou négatifs dans leurs effets (Car se sentir par exemple obligé de faire le bien et incapable de faire le mal est contraire à la véritable liberté de conscience.)

Ce dernier niveau est celui que choisissent généralement les psychologues ésotéristes et c’est celui que pratiquaient (et pratiquent encore) les anciens Naga, les Rishi, les Siddha et… Ce que nous nommons affectueusement Les Mages Rouges, inspirateurs directs des psy éso d’aujourd’hui.

 

 

 

Tantrisme10Le véritable Tantrika, nom donné à celui qui pratique le Tantrisme, a pour but avoué d’atteindre le niveau maximal de Plaisir en tous les domaines de la vie (Éros en Grec, Ananda en Sanskrit). Un tel niveau ne saurait se concevoir sans une parfaite liberté d’esprit, de coeur et de corps. Voilà, très grossièrement résumés, ces trois niveaux du Tantrisme. Si vous avez des questions ou des commentaires à faire, ne vous gênez surtout pas mais souvenez-vous toutefois que vos réactions à ce sujet parleront bien plus de vous que du sujet ou même, que de ceux qui se passionnent pour un tel sujet. Donc attention à ce que vous allez ressentir tout d’abord puis ce que vous serez tentés d’écrire ensuite ! Ne soyez pas gênés ou intimidés; souvenez-vous seulement que c’est DE VOUS que vous allez parler et non de Tantrisme ! J’ai trouvé plus honnête de vous en avertir avant.

Qui ose commenter tout de même ? Hum ?

 

 

 

    Serge

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Une raison d’avoir tort

Une raison d’avoir tort

 

Voici ma question : Pourquoi souffrez-vous lorsqu’une personne vous dit (par exemple) que vous manquez d’amour ou que vous êtes méchant ?
Pourriez-vous « démonter » le mécanisme et en expliquer le fonctionnement ou le processus complet ?
Essayez de vous souvenir la dernière fois que vous avez été vexé ou choqué par les remarques désobligeantes d’une autre personne…
Dans notre exemple, on va prendre deux cas de figures différents, car il y a en effet deux façons différentes de se servir de ce que disent les autres pour se faire du mal en douce à soi-même !

Premier cas de figure, vous pensez que vous êtes trop maigre ou trop gros et le lendemain, une personne vous dit innocemment :

« Tiens, t’as pas grossi, toi ?« 

 

Cette question pourtant banale, vous blesse immédiatement, et vous envoyez paître la personne avec véhémence, au grand étonnement de cette dernière.
Que s’est-il passé ? Simplement que la personne vient de vous dire, de l’extérieur, le mal que vous pensez de vous-mêmes et en secret, à l’intérieur.
La souffrance, dans ce premier cas, provient du fait que vous trouvez, au-dehors, un reflet d’une idée qui se trouve déjà en vous, ce qui lui donne immédiatement plus de poids à vos yeux ! (vous croyez encore plus que c’est vrai, en clair)

 

Second cas de figure, une personne réputée pour sa feignantise et son nombrilisme vous sort un jour du tac-au-tac :

« Tout de même ! Tu pourrais un peu faire un effort et ne pas toujours penser qu’à ta gueule !« 

Immédiatement, vous êtes choqué et manquez vous étouffer d’indignation !
Que se passe-t-il dans ce second cas de figure ? Simplement que vous avez commis l’erreur de vous concentrer sur le mensonge d’un autre plutôt que sur votre propre vérité !
A présent, vous vous sentez mal et êtes partagé entre le désir de vous justifier et celui de traiter la personne qui vous a sorti cette énormité de tous les noms d’oiseaux pour faire cesser votre malaise !

 
Vous vous êtes piégé vous-mêmes et « écoutant dehors » au lieu de vous concentrer sur vos propres certitudes à votre égard.
Car si vous aviez accepté l’idée que d’autres peuvent se tromper sur votre compte sans que ça vous fasse pousser un second anus au derrière, tandis que cette personne vous aurait ainsi sorti son énormité vous concernant, vous seriez resté concentré sur votre vérité plutôt que sur son propre mensonge à soi.

Comprenez-vous bien ce qui est en jeu dans ce sujet apparemment anodin et « évident » ? Vos avis, questions et critiques en tous genres sont et demeurent les bienvenues ! 😀

 

Serge

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Pourquoi tout semble aller si mal ?

Pourquoi tout semble aller si mal…

 

 

Nous vivons une époque de changements.
Ceci est indéniable et toutes les traditions spirituelles authentiques (et qui le sont restées) s’accordent pour dire que :

 

« Nous sommes actuellement dans une période phare de l’Aventure Humaine. »

 

Pourtant et malgré l’optimisme de bon ton des chercheurs de Lumière de différents horizons, il semblerait que tout aille mal, en ce moment.
Plus prosaïquement, je dirai que « C’est le bordel ! »
Puisqu’il est question de renouveau, d’amélioration et de « nouvelles énergies », comment cela se fait-il qu’il y ait autant de pagaille, de problèmes humains et sociaux ? En plus, nous sommes des petits veinards puisque nous ne sommes pas tous morts en décembre 2012 ! Avec cette logique propre aux psychologues ésotéristes, nous allons essayer de voir tout cela d’un peu plus près mais très rapidement, car j’aimerais pouvoir donner la prépondérance au dialogue, au débat et donc, aux commentaires.

 

Il est question ici de « Nouvelles énergies », avons-nous dit plus haut…
Qui dit nouvelles énergies dit « énergies sensées remplacer celles d’avant, les anciennes », n’est-ce pas ? Cela semble plutôt logique.
Et c’est en effet ce qui se passe actuellement : la planète commence à vibrer différemment, la conscience humaine s’éveille graduellement, certes, mais beaucoup plus vite qu’auparavant.
Et l’homme commence à rêver non plus à Dieu mais au fait très excitant qu’il pourrait bien lui-même être ce Dieu ou, à tout le moins, faire partie de ce à quoi il s’est adressé, durant des milliers d’années, en lui vouant un culte de fidélité.

Mais tandis que la planète vibrait à la fréquence de base qui a été la sienne durant des millénaires et tandis que l’homme se servait d’une conscience conditionnée par toutes sortes d’archétypes mentaux orientés morale et religion, (sans compter ce besoin viscéral d’exister à tout prix), certaines habitudes tenaces avaient été contractées.

 

Et dans « habitudes tenaces », il y a… Tenaces ! En clair, bien que de nouvelles énergies soient présentes en ce monde, les anciennes énergies que les premières sont censées remplacer, sont encore non seulement actives mais également, encore bien implantées dans le cœur et dans l’esprit de l’homme.

En somme, tandis que de nouvelles énergies essayent de prendre le relais et de guider l’esprit humain vers des lendemains plus lumineux, d’autres continuent de le pousser du côté où il penche déjà et tombe encore bien souvent.

Bref, ces vieilles énergies continuent à faire ce qu’elles font si bien et depuis des temps immémoriaux. Le résultat est que, fautes de saints,  les gens ne savent plus à quelles énergies se vouer.

Ceux qui se raccrochent encore à un paradigme qui n’a que trop duré, ne sont pas encore si déconcertés que cela. Ils tiennent encore à leur souffrance, à ces douleurs morales qu’ils connaissent par cœur et qu’ils ont fini par aimer. Un peu comme l’on aime un compagnon de route, même s’il ne fait rien pour que l’on s’attache à lui. En fait, ils sont habitués à vivre de la seule manière qu’ils puissent concevoir.

Comme ces anciennes énergies ont toujours droit de citer, il n’existe actuellement aucune raison pour qu’ils soient d’une quelconque manière déséquilibrés par les changements en cours ou à venir…

Mais il n’en va pas de même pour tous le monde, hélas ! Par exemple, il n’en va pas de même pour les « chercheurs de Lumière » de cette planète !
Pour une fois, l’opportunité unique leur est offerte de devenir les phares reconnues et utilisés du Paquebot « Human Project » (un peu d’anglais, ça le fait plus, moi je dis, pas vous ?)

Du coup, ils redoublent d’intérêt et de bonne volonté, les pauvres chéris !
Et c’est tout à leur honneur. Certes… Seulement voilà : attendu que les anciennes énergies sont toujours présentes et (presque) aussi actives qu’avant et que les nouvelles, bien que déjà rendues manifestes, ne sont pas encore assez puissantes pour créer un déséquilibre inverse et propice à un réel changement, les seuls qui en bavent, pour ne pas changer, Eh bien ! Ce sont nos infortunés spiritualistes de tous horizons !

Vous me direz « no problemo », car les spiritualistes de tous crins sont habitués à en prendre plein le casque, de toute manière et ce, depuis des générations !
Et vous n’auriez pas tort de penser cela, voire de vous comporter encore pour un temps en fonction de cet état d’esprit qui fleure bon l’objectivité la plus outrancière, car honnête.

 

Mais, d’un autre côté, vous auriez tort de penser cela ! Car en choisissant d’attendre sagement (et même avec courage) que la balance se mette à pencher du côté du Divin, vous conservez non seulement les anciennes énergies en vous mais vous devenez en plus leur porte-flambeau le plus fidèle !
Eh oui ! Ne pas vouloir se mouiller, choisir la voie de la Tiédeur, est typique des anciennes énergies. Et lorsque ces dernières devront enfin céder la place, vous risquez bien de devoir la céder aussi, la place ! Comme dit la pub affichée sur la vitrine de certains magasins qui liquident leur stock en période de solde :

 

Tout doit disparaître !

 

Les dinosaures qui pensent qu’il faut laisser aux autres le soin de faire tout le boulot afin d’arriver au dernier moment pour récolter les fruits de leur labeur, doivent disparaître eux aussi. Et encore plus vite que les énergies qu’ils maintiennent en activité. Mieux encore : ils doivent partir avant elles afin que puissent se retirer ensuite des énergies n’étant plus utilisées par personne (ou presque) sur Terre.

Essayons de résumer un peu le propos.
L’actuelle débandade psychologique qui frappe notre planète et ses illustres habitants, provient de l’arrivée, sur ce plan terrestre dense, d’énergies nouvelles auxquelles l’homme n’est pas encore habituées et à la présence d’énergies beaucoup plus connues et rassurantes auxquelles ils s’accrochent encore de ses deux mains et ce, sans même le réaliser.

 

Le stress énorme qui est actuellement généré par l’ensemble de l’humanité, provient de la prescience de cet évènement unique. Nous allons tous changer, soit ! Nous le sentons et en sommes persuadés, très bien. Mais avant cela et pour se faire, il va nous falloir mourir ! Mourir non pas par le corps de chair, comme nous savons si bien le faire (sic) mais par l’esprit. Nous devons renaître de feu, tout d’abord (mentalement) puis d’eau ensuite (émotions, sentiments.)

Or, tout le monde à peur, car s’il est facile de réaliser ce que l’on va perdre, il l’est beaucoup moins d’imaginer ce que l’on va trouver ensuite ! L’inconnu fait très peur à la l’espèce humaine toute entière. Et cette peur nous fait nous tendre, résister, argumenter et, en un mot, tout faire et tout tenter pour faire durer l’ancien !

Alors le nouveau attend mais cela génère des frictions, des conflits et va jusqu’à perturber l’espace et le temps lui-même. Sans parler des conditions météorologiques. Voilà qui devrait ouvrir un débat intéressant.

A vous le clavier ! 😀

 

L’induction mentale

L’induction mentale

 

 

Le sujet de l’induction mentale est connu depuis des millénaires par les ésotéristes qui ont eu le courage de suivre la voie psychologique, nommée parfois « le troisième niveau » et qui, de tout temps, a été réservée, non pas à une élite (comme le prétendent les artichauts) mais bien aux plus courageux d’entre les véritables chercheurs de Lumière.
C’est d’ailleurs grâce à ce phénomène naturel d’induction mentale que les Maîtres du passé purent transmettre une grande partie de leur force et de leur savoir à leurs disciples les plus zélés.

Certains savent que les Maîtres de jadis avaient souvent une suite formée par une quantité réduite de  Chéla (en Sanskrit) ou d’élèves qui les suivaient régulièrement. En effet, vivre avec le Maître permettait alors de bénéficier en grande partie de son énergie et de son exemple vivant, bien plus efficace que toutes les belles paroles de sagesse du monde. L’induction mentale est soit positive, soit négative dans ses effets et ce, quelle que soit l’intention de départ. Cela dit, il paraît évident que le fait de fréquenter des saints ou des criminels endurcis, pourra donner des résultats sensiblement différents ! Si l’induction positive (bénéficier de l’apport énergétique et de l’exemple vivant positifs d’un tiers) est assez facile à comprendre, l’aspect négatif de ce même phénomène est beaucoup moins connu, ou, vais-je dire, moins reconnu et donc accepté.

 

 

Ces mots qui piquent et qui agacent.

 

Qui n’a pas subi l’influence négative d’un tiers ne serait-ce qu’une fois ? Qui n’a pas été influencé, plus jeune et ne serait-ce qu’une fois, par les « meneurs » d’une bande de gamins ? Nous avons tous, peu ou prou, subit l’influence négative de l’induction mentale.A fréquenter des cons…. On devient comme eux, oui ! L’exemple le plus frappant d’induction mentale négative est ce que l’on nomme l’hystérie collective.  Par exemple, les actes de barbarie perpétrés durant des matchs de foot, entre supporters, ou ces personnes piétinées par la foule en cas d’incendie, etc. Ce bref résumé pour nous amener à ce qui nous intéresse plus particulièrement ici, à savoir cette forme d’induction mentale très particulière, subie mais rarement intellectualisée, qui se produit par le biais de notre participation à un salon d’échange (Chat) ou à un forum, par exemple.

 

 

L’espace ne compte pas.

 

Il ne faut pas croire que du fait de l’éloignement physique, nous sommes tous bien à l’abri derrière notre petit écran ! Que nenni ! Et le fait de nous cacher courageusement derrière les traits impersonnel d’un avatar digne de nos années de lycée n’y change absolument rien, bien au contraire !
Même les scientifiques, dont l’ouverture d’esprit n’est plus à démontrer (sic), commencent à soupçonner la présence de particules en rapport avec l’activité mentale et qui  » voyageraient  » à une vitesse bien supérieure à celle de la lumière. Je veux parler ici des scientifiques « ordinaires », et non de ces nouveau génies que sont les physiciens quantiques.

 

 

Des particules d’énergie qui voyageraient à une vitesse supérieure à celle de la lumière ? C’est du moins leur version frileuse et lancée pour tester les réactions du public. Bref, personne n’ose encore parler de télépathie ou même d’aura universelle (la somme de toutes les auras individuelles) mais bon, hein, il ne faut pas non plus bousculer les vieillards de l’Académie des sciences alors qu’ils se proposent de disputer une course en fauteuil roulant.

 

Une efficacité qui fait peur.

 

Donc, cette fameuse induction mentale va permettre, du fait même de son manque cruel de notoriété, de remplir son office avec une précision quasi chirurgicale et à l’insu de l’intellect qui, comme chacun l’ignore (lol) demeure sous la tutelle de l’ego, ceci aussi longtemps que la personne ne bénéficie pas d’un mental dit « illuminé » (comprendre déprogrammé et auto-éclairé.)

Dans nos cours privés et sur le forum de suivi personnalisé, il est fait usage de ce phénomène naturel d’induction mentale, afin d’aider nos membres inscrits à ces mêmes études privées, d’y voir un peu plus clair en eux-mêmes. Du moins, quand ils n’oublient pas leurs bonnes résolutions, certes, puisque c’est eux-mêmes qui, en devenant étudiants, font la demande tacite d’être guidés, instruits et conseillés durant un certains temps du moins.

 

C’est à ce titre que, dans le passé, nous avons laissé librement s’exprimer de gros boulets, ceci afin d’induire un effet mental approprié dans l’esprit de nos membres. Ce qui, au passage, a permis à quelques-uns, qui n’avaient de cesse de se mentir tout en feignant une recherche spirituelle  » authentique  » (sans commentaires), de faire des choix qui s’imposent.

 

 

Quand le mal fait du mal au mal en nous.

 

D’aucuns se sont donc demandé pourquoi je laissais des personnages inquiétants demeurer sur le forum des cours, tandis que d’autres étaient virés sans crier gare et sans fanfare alors qu’ils paraissaient plutôt inoffensifs, bien qu’étant gros boulets également. En fait, certains présentent des formes de compulsions que j’oserais qualifier d’efficaces et d’utiles à l’économie de la vie, tandis que d’autres n’invoquent pas les mêmes schémas et ne servent donc pas autant la communauté. En effet, pour qu’un être se débarrasse d’une schéma mental qui conditionne son vécu, il doit pouvoir en prendre conscience et ce, d’une manière ou d’une autre. Le mieux est encore que cela se passe lorsqu’il est entouré de gens compétents et compréhensifs, capables de le guider voire d’orienter ses réactions et de lui permettre ainsi de réaliser la nature exacte du problème avant de s’en débarrasser.

 

Ceux qui trouveraient cruel ce genre de technique psychologique, n’ont qu’à se demander de quel droit une personne viendrait semer le trouble dans une communauté de gens qui désirent la paix. Réponse évidente : Du droit qu’elle s’octroie elle-même ! De ce même droit que s’offrent généreusement les dirigeants de notre forum privé.

 

 

Fuir le problème revient à fuir aussi sa solution.

 

Par ailleurs, il n’est pas nécessairement utile ou même intelligent de vouloir fuir un problème ou de chercher à s’en débarrasser sans prendre la peine de voir si ce même problème ne contient pas quelque précieuse indication à notre sujet. Pourquoi certains ont ce pouvoir de nous faire réagir ou même bondir comme si nous étions montés sur ressort ? Où se trouve le pouvoir de réaction, chez les autres ou en nous-mêmes et existant à notre insu ? Tout ceci demande réflexion. La liberté est toujours à double sens, n’en déplaise à ceux qui, agissant pour le Mal, ne supportent pas que le Bien leur fasse… Du mal (j’adore cette phrase) Vous désirez vous libérer vraiment de toute votre compulsion ?

Oui ? Juré craché ? (non, pas par terre sur le tapis, c’est dégueulasse !)
Alors surtout, ne partez pas ! Je veux dire, ne quittez pas l’état d’esprit à partir duquel vous pourrez comprendre la nature exacte de vos problèmes et donc, comprendre du même coup ce qu’il convient de faire pour y mettre un terme définitif.

 

 

Être attentif à Soi.

 

 

La prochaine fois que vous sentirez un malaise en présence d’un tiers ou lorsque les paroles d’une personne que vous connaissez bien vous blesseront, ayez le réflexe salvateur de ne pas réagir depuis l’extérieur ! Essayez, au contraire, d’aller voir en vous-mêmes (ésotérikos, en Grec) ce qui se passe et qu’elle est l’origine réelle de ce malaise, de cette vexation.
Les autres, au-dehors, ne sont au mieux que des révélateurs, un moyen comme un autre (mais très efficace !) de ne plus laisser ce qui vous bouffe de l’intérieur, œuvrer à son travail de sape en toute impunité. Une impunité qui découle simplement de l’inconscience de la cause de vos problèmes.

Si vous conservez à l’esprit que puisque c’est vous qui réagissez à ce que vous sentez en vous-mêmes, le problème se trouve donc en vous, et non dans les paroles ou dans les actes des autres, à l’extérieur, vous verrez que, très rapidement, quelqu’un va faire naître en vous agacement, jalousie, colère, etc..

Sachez que si vous n’aviez plus rien à « révéler » (ou à rendre conscient) en vous, l’extérieur et les autres n’auraient plus aucun pouvoir de vous faire ressentir des choses jugées par vous négatives. Jugées trop rapidement par vous négatives !

 

Non pas qu’il soit spécialement agréable d’être publiquement humilié ou de réaliser que les autres nous prennent pour un con depuis des lustres et à notre insu ! Disons plutôt que ce n’est là que la partie apparente de l’iceberg. L’essentiel du problème psychologique demeure encore sous des couches et des couches d’inconscience.

 

 

La peur de la mise à nue de l’ego.

 

 

Vous connaissez bien ce pouvoir démoniaque que vous prêtez hélas aux autres et qui consiste à faire naître, en vous, agacement, jalousie, colère, etc. Nous sommes rendus à une époque où tout ce que nous tentions désespérément de cacher aux autres depuis des années, semble vouloir être crier au grand jour ou « sur les toits », comme il est dit dans l’un des versets de la Bible.

Et cette peur terrible que les autres vous découvrent brusquement sous un jour qui ne serait pas complètement à votre avantage, correspond à l’activité du Moi-Idéalisé. Un autre sujet traité et débattu comme il se doit dans les cours privés et sur le forum qui leur est associé, mais sur lesquel nous pourrons disserter et à votre demande si vous ignorez l’essentiel de ce sujet.

 

A noter que l’extrême candeur et l’orgueil le plus abominable, font tous deux parties intégrantes des schémas mentaux les plus usuels de notre humanité. Il n’existe pas de bon ou de mauvais état d’esprit, car presque tous sont conditionnés par une foule de dogmes, de croyances, de peurs et de doutes sur soi. Il serait pour le moins inutile de rechercher la présence de celles et ceux qui vous paraissent incarner la Déesse ou le Dieu des Boulets !

Vous seriez surpris de tout ce que peut également déclencher, en vous,  une personne apparemment « saine d’esprit » si d’aventure vous commettiez l’outrecuidance de déranger son petit confort mental ou de ne pas être en accord total avec ses idéaux !

 

 

Ce qu’il faut retenir de tout cela.

 

 

Pour résumer mon propos, je dirais qu’il est utile, pour notre évolution, de ne pas chercher à fuir le relationnel, même si ce dernier s’avère parfois pénible et producteur de souffrances psychologiques. La souffrance provient de notre résistance à l’effort. A cette pression du pouvoir de la vérité sur notre âme. Tout, en nous, pousse vers plus de conscience et d’intelligence : si nous résistons à la vie, cela en tentant d’éluder notre processus de réforme psychologique (s’améliorer, se libérer l’esprit), nous allons nécessairement souffrir. Tout comme nous souffrons si nous refusons de manger et de boire.

 

Les ésotéristes oublient un peu trop souvent que le relationnel est la base de toute évolution véritable. Plus de 90% du travail d’une individualité, sur les Plans de conscience supérieurs (l’Au-delà, l’invisible, etc.), consiste en du relationnel. Sur Terre, il nous est possible d’éluder une partie de ce relationnel, de fuir certaines obligations, dirons-nous afin de simplifier. Mais hors du corps de chair et sur d’autres plans d’existence, cela est impossible.

Dès lors, autant nous habituer et accepter de bonne grâce d’être ainsi régulièrement « testés » par la vie et par l’intermédiaire des autres. Ces tests sont là pour nous aider à RENDRE CONSCIENT tout ce que nous ignorons encore à notre propre sujet.

 

L’induction mentale, que d’autres préfèreront appeler « interrelation » ou encore « interaction humaine », consiste en le principal outil spirituel assez puissant pour nous permettre d’évoluer, d’un point de vue spirituel. Et pour évoluer, nous devons absolument rendre conscient l‘ensemble de notre inconscience. Et c’est là un travail titanesque et de longue haleine.

Nous ne serons donc jamais assez pour nous entraider. Et pour nous entraider, il suffit de demeurer nous-mêmes, spontanés, sans chercher à « faire » une chose qui se fait bien mieux lorsque nous la « subissons » au lieu de la produire ou de chercher à la gérer afin de s’épargner un peu de souffrance et donc, de prise de conscience.

 

Si vous avez des questions, des commentaires, je suis à votre disposition.

 

Serge Baccino

 

Illogisme de l’éducation

Illogisme de l’éducation

 

 

Lorsque nous sommes enfants, on nous apprend généralement à toujours dire la vérité, parce que cela est « Bien. » Lorsque nous faisons une bêtise, que nous cassons quelque chose ou commettons une erreur notoire, nous devons avouer notre faute parce que, justement, la vérité est « le Bien » et le mensonge est « le Mal. » Et lorsque nous avouons notre faute, notre erreur ou notre manquement aux règles des adultes, nous sommes punis car on nous apprend aussi que toute erreur commise, toute faute, mérité sa juste punition.

Et cela aussi, c’est « le Bien. » Un bien qui peut éventuellement nous empêcher de nous assoir durant quelques heures.

Voilà que l’enfant se retrouve avec un paradoxe sur les bras : s’il commet une faute et l’avoue, il est fidèle à l’idéal de Bien mais s’en prend plein la tronche !
S’il ment et cache la vérité, il penche inexorablement vers le « Mal », mais il conserve ses joues ou fesses intactes. Si vous étiez un enfant, comment réagiriez-vous à cette forme d’éducation ?
Que choisiriez-vous, « le Bien » (avec le cul qui cuit !) ou « le Mal », avec l’occasion de pouvoir vous assoir sans aucun problème ?

Vous avez été des enfants, nous l’avons tous été. Et devinez ce que certains d’entre nous ont choisi, finalement, comme option ? Appelez votre passé, il a des choses à vous raconter ! De toutes façons, ce « passé » est bien présent en vous et il conditionne depuis des lustres certains de vos comportements les plus intimes et involontaires.

Quand on n’est plus un enfant, on est en droit de réclamer la liberté qui ne nous a pas été offerte (et pour cause) lorsque nous étions des bambins inconscients.
Vivre sur un passé conditionné « à cause des parents et de leur éducation » est non seulement stupide, mais aussi très lâche.

 

 

La responsabilité des parents s’arrête là où l’adulte a commencé à refuser d’assumer les siennes.

 

 

Il est bon par contre de remarquer le « confort mental » qu’offre à certains le fait de réagir encore comme un enfant ! (n’est-ce pas ?) Mentir est aisé et en plus, cela permet de ne pas avoir à payer pour la pomme volée sur l’étalage du marchand. La faim est une excuse mais la négation est bien plus payante, surtout quand elle se transforme en réflexe.

Oui mais voilà : quand on veut s’améliorer, évoluer, s’unir à la partie divine de nous-mêmes, etc., il devient alors urgent de revisiter nos bases, assises ou repères psychologiques. Et l’une de ces bases, foyer de problèmes et de névroses en tous genres, est justement la période de l’enfance durant laquelle certaines prédispositions ont peut-être été contrariées et durant laquelle certaines habitudes malsaines ont été contractées.

Même lorsqu’un enfant fait mine d’obéir, de céder à la pression psychologique quand ce n’est pas à la violence physique, il COMPENSE toujours cette obéissance par quelque chose d’autre. Quelque chose qui, plus tard, lui nuira encore plus que le sentiment de sa dépendance passée.

 

 

Défense ou tentative de manipulation ?

 

 

Il arrive souvent qu’un mécanisme de défense (ex : mentir pour ne pas se faire punir) se transforme avec le temps en mécanisme de domination (mentir parce que ça sert à obtenir ce que l’on veut) Le subconscient raisonne par déductions et associations d’idées : pour lui, il est évident que si le mensonge préserve de la fessée, alors le mensonge est efficace puisque il préserve du mal véritable ! Énoncé ainsi… Oui mais voilà : plus ça marche et plus on emploi le mensonge, et plus on ment et moins… on ressent la vérité !

Pourquoi ? Parce que nous ressentons toujours ce que nous pensons (son contenu formel) et si nous changeons notre façon de penser, nous changeons du même coup notre ressenti.
Entendons-nous bien : la psychologie ésotérique n’a rien à voir avec les règles de morales, parfois aussi stupides et inadaptées que contraignantes à souhait. Ce qui nous intéresse ici, c’est l’efficacité réelle de nos divers états d’esprit. Nous désirons savoir ce qui est bon pour nous et rejeter ce qui ne l’est pas, un point c’est tout. Mentir aux autres n’est pas le problème, je vous l’assure, mais mentir au point de ne plus être capable de ressentir la vérité, pour soi et même en secret, alors là, ça commence sérieusement à craindre !

Une fois installé comme règle de vie (voir le mode de raisonnement déductif propre au subconscient) le mensonge nous coupe de notre ressenti et donc de notre Soi car ce dernier se manifeste surtout par ce que l’on ressent (et qui est censé provenir de lui, n’est-ce pas ?)

 

 

La conscience préfère toujours Abel à Caïn.

 

 
La vérité se résume toujours à ce que nous SENTONS, cela parce que ce que nous sentons est véritable, puisque nous le sentons en nous ! Et bien qu’il s’agisse de « notre vérité », de toute façon, nous ne pourrons jamais accéder à une autre vérité que celle qui passe par le filtre (plus ou moins propre) de notre mentalité. Pour nous, le ressenti est la plus haute forme de perception directe car elle passe par la conscience.

 

Et il n’est pas possible, pour nous, de prendre conscience d’une chose si elle n’existe pas au moins pour nous !

 

Lorsque nous étions petits, nos parents nous faisaient parfois sentir leur déception à notre égard. Par exemple, une promesse non tenues, un devoir mal (ou pas) fait ou une habitude mauvaise qu’ils pensaient que nous avions perdue (ben non, on mentait, comme eux, et toc !) Leur façon de nous faire sentir leur déception à notre sujet était soit « doucereuse », soit brutale, soit plaintive, soit vicieuse (piques, allusions, etc.)

Une fois devenus adultes, nous nous comporterons d’une certaine façon lorsque nous serons déçu par le comportement d’autrui. Cela parce qu’un tel comportement réveillera (ou évoquera) en nous des souvenirs liés aux diverses déceptions de nos parents à notre sujet. Soit nous reproduirons la manière toute particulière de réagir de nos parents, soit et à l’inverse, nous tenterons de nier ces réactions en nous comportant comme nous aurions aimé que nos parents le fassent avec nous.

 

Inutile de dire que, dans les deux cas, ce pauvre adulte ne l’est guère et que nous sommes devenus, avec le temps, se comportera d’une manière largement conditionnée.  En effet, réagir comme ou réagir à l’inverse de, cela revient à réagir et non à AGIR. Or, une individualité (du latin « Indivi » = Qui ne peut être divisé) est une chose insécable, unique et dont les actes sont sans antériorité, sans aucun schéma directionnel relatif au passé ou à l’expérience d’autrui.

Dès lors, nous ne saurons jamais comment nous aurions réagi en tant que nous et dans des conditions identiques à celles de notre enfance mais en occupant, à notre tour, ce rôle si délicat de parent ou d’éducateur. Et nous ne pourrons pas le savoir parce que ce que nous sommes devenus demeure conditionné par ce que nous avons vécu au contact d’autrui.
A moins que nous puissions nous libérer ce conditionnement.

 

 

Reproduire ou tenter de nier ?

 

 

Si nous repensons à la manière dont nos parents se comportaient envers nous lorsqu’ils étaient déçus par nos actes et si nous prenons le temps d’observer comment nous réagissons, à notre tour et aujourd’hui, lorsque une autre personne trahit nos attentes jugées « légitimes », nous en apprendrons bien plus sur nous-mêmes qu’en cinquante séances chez un psychiatre !

Et nous conserverons notre argent, surtout. Une fois les mécanismes éventés, une fois que l’on comprend pourquoi « maman faisait ceci » et pourquoi « Merde, je refais pareil qu’elle, au secours !!! » (lol) il reste à observer tranquillement, sans passion mais sans complaisance, notre degré exact de probité mentale (et non « morale. ») En clair, une fois que nous avons compris que nous reproduisons le comportement de nos parents ou que, et à l’inverse, nous essayons de nier leur influence « rien que pour les faire suer », reste à nous avouer si on tient à ce mécanisme ou s’il nous fait vraiment gerber.

 

Car ne vous y trompez pas : vous risquez d’être étonné lorsqu’il sera question pour vous de vous débarrasser d’une chose qui produit pourtant de la souffrance… Vous pourriez bien découvrir, horrifiés, que vous ADOREZ ces mécanismes et qu’il n’est pas question de les laisser tomber ! Mais même dans ce cas, vous aurez fait un grand pas : vous aurez repris le contrôle de votre vie et même vos souffrances passeraient alors immédiatement sous votre pleine et entière responsabilité. Et qui dit « redevenir responsable » dit du même coup « retrouver le pouvoir » car nous ne pouvons agir que sur ce qui nous appartient et dont nous avons la pleine responsabilité.

 

 

L’amour, une chose qui se mérite ?

 

 

Parlons à présent de ce qui fâche ou choque les frileux de l’esprit…  Il existe très certainement des enfants qui ne méritent pas l’amour inconditionnel que leur prodigue leurs parents. Suis-je dur ? Pas vraiment… En tout cas infiniment moins que ces petits morveux qui en font baver à leurs parents, cela parce qu’ils savent que ces derniers n’oseront jamais leur nuire et préfèreront plutôt souffrir en silence. « Par amour », diront-ils en grimaçant.
Et oui ! Il y en a pour tout le monde est le fait d’être objectif ne protège ni des déceptions, ni de passer pour « une personne mauvaise » en dénonçant le véritable mal chez les autres.

Il suffit d’être libre de conscience, objectif et honnête envers soi-même pour comprendre ces choses… Avoir de l’amour, de la compassion, vouloir jouer aux super héros de la spiritualité qui s’obstinent à aimer durant leurs séance journalière sodomie sans vaseline (lol), ceci est l’affaire des faibles, pas de ceux qui ont calmé les mouvements de leur propre esprit et peuvent donc voir les choses « en l’état » et d’un œil aussi détaché que viril.

 

Notez au passage que les plus grands mystiques n’avaient pas d’enfant ou s’ils en avaient, ils avaient cessé toute relation avec eux. Cela vous choque aussi ? Si oui, contrôlez par vous-mêmes et vous verrez bien. Pour les bouddhistes, revoyez donc la vie du Prince Siddhartha.
Ceux qui pensent que de bons parents « attirent » des enfants de M… et que des enfants merveilleux attirent des parents pourris ont parfaitement raison !
Cela dit, il n’est pas certain que ceux qui ont déjà trouvé cette synchro soient aussi capables d’en définir la raison logique sous-jacente. Et encore moins la Loi spirituelle qui se cache (à peine) derrière les faits.

J’arrêterai là mes propos, préférant encore répondre aux questions, commentaires et autres critiques qui, toutes, en ce qui concerne ces dernières, seront accueillies de la même manière : sans passion et avec cette objectivité qui n’est guère du goût des tempéraments par trop émotifs, dirai-je pour demeurer poli.

 

 

 

    Serge

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LA GLANDE PINÉALE (ou épiphyse)

 

 

 

 

 

 

 

 

Sur cette image tournante, nous pouvons  apercevoir (en rouge) la position approximative de cette glande très importante qui se trouve dans notre cerveau.

 

LA GLANDE PINÉALE (ou épiphyse)

De toutes les glandes endocrines (à sécrétion interne), la pinéale est certainement la plus fascinante de toutes. Non pas seulement parce que le monde scientifique et médical est loin d’avoir épuisé le sujet, mais parce que le monde spirituel et ésotérique lui-même ignore encore de nombreuses choses à son sujet.

En effet, il n’y a que quatre cents ans (au plus) que les plus hauts initiés d’Europe connaissent l’existence de cette glande, quelques-unes de ses principales fonctions psychiques et spirituelle et, surtout, comment développer d’une manière raisonnable et sans dangers quelques-unes des facultés magnifiques offertes par une activité notoirement accrue de cette glande, et ce, à ses niveaux physiologiques, psychologiques, psychiques et spirituels.

 

Avant cela, les Égyptiens (aux alentours de 1500 avant J.-C.) et plus tard les Grecs (Dès les deux ou trois premiers siècles après J.-C.) reçurent une connaissance plus ou moins complète et valable sur les activités et fonctions secrètes de ce minuscule organe physique, véritable trait d’union entre le Ciel et la Terre, entre les hommes et les Dieux. Certains textes anciens précisent que les Atlantes furent les tout premiers hommes à détenir des connaissances vraiment poussées sur les glandes endocrines et, en particulier, sur la glande pinéale.

 

Bien évidemment, il n’existe plus de preuves tangibles (écrites) de ces affirmations mais ceux dont les fonctions et attributs de cette glande ont été légèrement activés, prétendent que « Les Archives de la Nature » , des Hommes et de La Vie Terrestre en général » (Annales Akashiques) tendent à démontrer qu’il en est bien ainsi, que les Atlantes avaient poussé leur études et leurs connaissances bien au-delà de ce que nous avons pu réussir à faire et ce, même à notre époque moderne. Leur avance proviendrait moins de la chance ou du « piston divin » (sic) que de leur manière toute particulière d’aborder le sujet (à l’inverse de nos scientifiques et de leurs appareillages essentiellement matérialiste.)

 

Ainsi, il existe encore, de nos jours, un savoir théorique et pratique qui n’a pas encore été complètement exhumé des temples enfouis sous les sables de l’oublie, et qui concerne les fonctions et pouvoirs exacts de cette glande mystérieuse. Plus près de nous, les Rosicruciens, malgré leurs ridicules luttes intestines entre écoles et groupements plus ou moins « autorisés », détiennent un savoir plus que respectable concernant ce noble sujet.

Selon ces mêmes Rosicruciens, nos glandes se comportent comme « Nos invisibles gardiennes » et ont un impact prononcé sur notre caractère et nos facultés mentales (un fait désormais reconnu scientifiquement, depuis plus de cinquante ans, et…même en France ! (sic) Comment se positionnent les psychologues ésotéristes par rapport à ce sujet des plus intéressants ?

Comme à l’accoutumée, leur version est à la fois sobre, logique et non linéaire, en plus d’être non scientifique, ceci afin de ne pas avoir à se justifier pour demeurer dans le courant rétrograde de la science, qui avance en avouant à peine qu’elle s’était trompée auparavant mais détient désormais la nouvelle vérité. Voici ce qu’ils proposent, une fois les plus récents textes remodelés, afin de les adapter un peu plus à notre langue et à notre actuel état d’esprit moderne :

 

« Il importe peu de savoir si les fonctions d’un organe ou d’une partie d’un organe plus complexe (comme le cerveau, par exemple, N.D.L.T.) sont utiles à ceci ou à cela car en vérité, tout ce que contient le corps, de visible ou d’invisible aux yeux de la chair, existe pour servir dans un domaine ou dans un autre. Ces domaines sont, partant du niveau le plus bas, la santé et l’équilibre, à la fois du corps, de l’âme et de la Conscience. »

 

Ils ajoutent plus loin :

 

« … Il serait laborieux autant que grossier, pour ne pas dire orgueilleux, de chercher à définir avec quelque exactitude les fonctions pertinentes de chacun des organes ou partie d’organe et ce, que leur nature vibratoire fasse d’eux des organes physiques, psychiques ou même spirituels. Ce qui importe pour l’initiable aux choses de l’esprit, c’est de savoir qu’ils existent et comment leur offrir un terrain favorable à leur pleine et entière activité, quelle que soient la nature et le plan sur lequel se situe et s’exprime cette même activité… »

 

(Notes : Les dernières traductions ont été élaborées à partir de textes ayant un peu moins de deux cents ans, mais il est plaisant de leur laisser un peu de leur rythme et de leur cachet d’antan)

 

La glande pinéale

 

Que nous faut-il savoir exactement à propos de cette glande pinéale ? D’un point de vue purement physiologique, peu de choses en vérité, c’est à dire juste le nécessaire pour ne pas trop frustrer notre intellect ! Toutefois, et attendu que certains des étudiants de l’ésotérisme pourraient désirer connaître le point de vu généralement partagé et véhiculé par le biais du Net, voici et pour notre seul plaisir, un condensé de ce qu’il est possible d’y découvrir.

 

Un peu de théorie, de physiologie et d’histoire :

 

Jusque dans les années 1950, on a considéré la glande pinéale comme un organe unique, probablement vestigial. Les études d’anatomie comparée démontraient en effet que la pinéale avait la même origine embryologique que le  » troisième œil  » d’autres vertébrés moins évolués. Chez plusieurs lézards par exemple, un  » œil pariétal  » qui comprend une cornée, un cristallin et une rétine est relié au cerveau par un pédicule comparable au nerf optique. Il vient ainsi se loger sous la peau du crâne en passant à travers le trou pariétal qui existe dans le crâne de ces espèces. Chez les amphibiens, les oiseaux et les mammifères, ce trou pariétal étant fermé, la glande pinéale demeure dans le crâne.

 

Elle a évidemment perdu sa fonction visuelle, mais son action sur le reste du corps par l’entremise de la mélatonine est loin d’être négligeable. Des études histologiques subséquentes ont aussi démontré que la glande pinéale est bien un organe double mais que les deux hémisphères qui la constituent sont presque fusionnés. Comme mentionné plus haut, l’hormone sécrétée par la glande pinéale, la mélatonine, ne fut découverte que vers la fin des années 1950. Le rôle de cette hormone dans les rythmes biologiques se dévoila ensuite progressivement. Il n’en demeure pas moins que la glande pinéale fut la dernière des glandes endocrines dont la fonction fut identifiée. Pendant des siècles, le rôle de la glande pinéale a donné lieu à de nombreuses spéculations, tant physiologiques que métaphysiques.

 

Le fait que cette glande soit la seule structure du cerveau à ne pas apparaître en double a sans doute contribué à alimenter les hypothèses à son égard. En effet, contrairement aux autres structures du cerveau qui se présentent toujours en deux exemplaires, l’un à gauche et l’autre à droite du plan sagittal, la pinéale semble unique et se trouve exactement au milieu de cette ligne virtuelle qui passe entre nos deux hémisphères cérébraux. La plus célèbre de ces théories est sans doute celle du philosophe français René Descartes (qui était d’ailleurs Rosicrucien) qui fit de cette glande le siège de l’âme. Descartes était dualiste et voyait dans cette structure unique l’interface possible entre le corps matériel et l’âme immatérielle. D’autres y virent un symbole signifiant, à savoir que cette glande devait sans doute être la seule partie physiologique du corps humain a pouvoir communiquer avec « l’Unité des choses et des êtres. »

 

 

Pour Descartes, prendre conscience de la présence d’un objet quelconque (une flèche par exemple) nécessitait dans un premier temps une action mécanique sur la rétine, signal qui était ensuite retransmis mécaniquement par un autre médium jusqu’à la pinéale où le signal devenait finalement immatériel pour atteindre notre champ de conscience. Cette transformation, inexplicable de l’aveu même de Descartes, devait aussi pouvoir se faire dans l’autre sens si l’individu voulait par exemple pointer la flèche : la décision de l’esprit immatériel devait se matérialiser au niveau de la glande pinéal qui pouvait ensuite initier la réponse musculaire responsable du mouvement.

 

D’autres partent du principe que puisque « tout est double », si la vision consiste à percevoir des vibrations issues de l’extérieur transformées ensuite en images, dans notre conscience, alors il doit être possible de former des images dans notre conscience puis de les projeter ensuite vers l’extérieur et vers les autres. Pierre Gassendi, philosophe contemporain de Descartes, situait pour sa part ce mystérieux lieu de rencontre entre l’âme et le corps au niveau du corps calleux. De nos jours les neurobiologistes, travaillant uniquement dans une perspective matérialiste, rejettent le dualisme cartésien, comme ils rejettent, bien évidemment, tout autre interprétation, analyse ou propositions jugées comme étant par trop fantaisistes, c’est à dire ne correspondant pas à leur vision des faits.

 

 

 

D‘un point de vue uniquement ésotérique, la Pinéale est le lieu de rencontre du Haut et du Bas, c’est à dire des énergies Cosmiques et des Plans Invisibles avec les énergies planétaires et de la personnalité terrestre. Comme l’apprennent nos élèves dans les cours privés réservés aux étudiants de notre Association Culturelle, la glande Pinéale n’est pas le troisième œil, même si elle joue un rôle très important dans l’élaboration de ce dernier. Ce sujet du 3e œil est étudié en rapport avec la glande Pituitaire (hypophyse.)

Tandis que nous sommes incarnés, notre perception passe en grande partie par nos sens et, de toutes manières, les limites de notre véhicule de chair se confondent avec nos limites de perception usuelles.

 

En somme, nous pourrions dire que nous ne percevons pas plus haut que notre corps ne nous le permet. Toutefois, la glande Pinéale est capable à elle seule de faire mentir cette assertion. En effet, cette glande est capable de capter des fréquences vibratoires cosmiques puis de les transformer en fréquences basses afin que notre cerveau puisse transcrire en sons et en images ce qui a été préalablement capté sous formes d’ondes et/ou de particules. Dit autrement, la glande Pinéale est notre « Tuner Spirituel », capable de nous offrir la « FM universelle », même tandis que nous sommes incarnés. Bien entendu, deux conditions essentielles se posent afin que nous puissions bénéficier de cette capacité :

 

1. Que la glande Pinéale soit correctement éveillée ou développée, d’un point de vue purement énergétique (ou psychique.)

2. Que la glande Pituitaire soit elle aussi correctement développée, ceci afin que soient retransmis au cerveau puis à la conscience du « moi », tout ce que la Pinéale aura permis de « capter » des hautes fréquences cosmiques.

 

Bien sur, l’idéal serait que toutes les glandes endocrines fonctionnent correctement et d’une manière équilibrée, toujours d’un point de vue spirituel ou psychique, mais lorsque ces deux glandes de notre cerveau (Pinéale + Pituitaire) fonctionnent correctement, nous devenons alors capables de participer de la Grande Vie d’une manière déjà satisfaisante. Nos capacités mentales et notre intuition s’en voit accrues et, parfois, multipliées par trois ou même cinq. Nous verrons un peu plus tard que l’idéal est que les glandes Pinéale, Pituitaire, Thyroïde et Surrénales soient développées et actives pour avoir toutes les facultés d’un maître véritable. Mais il est rare (pour ne pas dire mieux) de trouver des individus présentant ce degré de fonctionnement psychique (énergie) et physiologique (sécrétions) optimal.

 

 

Entre l’âge de 5 et 7 ans, certaines glandes endocrines s’étiolent ou diminuent, soit pour céder la place à l’activité antagoniste (opposée) d’une autre glande ou à des caractéristiques secondaires (tels que ceux liés à la sexualité, par exemple) soit par manque d’utilité et donc, d’utilisation. En plus du Thymus (étudié dans l’une de nos Leçons privées), la glande Pinéale est l’une des rares glandes à s’étioler après les premières années de l’enfance. Quelles que soient les explications scientifiques ou médicales, nous savons que la véritable raison du dépérissement de la Pinéale provient de la suractivité mentale et, surtout, intellectuelle du cerveau, dès l’âge de cinq ou six ans (programmes scolaires.)

Nous ne ferons ici aucun commentaire désobligeant sur les programmes scolaires imposés aux enfants dès leur plus jeune âge… Disons, plus sobrement, que tout ce que doit apprendre, comprendre et retenir l’enfant, dès ce jeune âge, perturbe puis fait cesser l’activité psychique de la pinéale.

 

 

L’attention consciente que polarise la glande pituitaire se porte sur les processus mentaux et sur les évènements extérieurs, ce qui oblige l’enfant à délaisser puis à abandonner carrément le type de perception psychique qui était également le sien, durant les cinq ou sept premières années. Il est rare qu’un enfant conserve ses facultés spirituelles et psychiques issues en droite ligne du Soi naturel après l’âge de sept ans. En règle générale, c’est même avant cet âge que la conscience individuelle s’est repliée sur les deux « mondes » du bas : le monde intérieur formé par les processus mentaux et le monde extérieur, formés par les évènements, les lieux, les personnes, etc.

 

Dès lors, « le Troisième Monde » (le spirituel) est abandonné et devient, comme la glande Pinéale, un vestige de nos capacités d’antan. Mais tout comme « le passé » demeure PRÉSENT en notre conscience, de même, nos pouvoirs d’antan demeurent présents en notre cerveau physique. Ils le demeurent sous la forme d’une « Oreille Interne » qui n’est plus habituée à entendre puis à écouter des sons qui échappent aux oreilles ordinaires.

On pense généralement que la Pinéale est tel un œil ancien qui se serait fermé mais cela n’est pas la bonne « disposition d’esprit. » La Pinéale est comparable à une Oreille Divine, et non à un organe visuel.

 

De fait, ce ne sont pas des images qui ont le pouvoir de l’éveiller de son sommeil mais… Des sons ! Les Psychologues Esotéristes savent que, selon la Loi, le chemin qui a servi à s’éloigner d’un lieu doit être aussi celui qui peut servir à s’en rapprocher de nouveau. L’erreur de l’homme à été d’orienter son attention mentale dans une seule et unique « direction psychologique » (le bas, la matière, l’évènementiel, etc.) Pourtant, il bénéficiait de deux yeux et de deux oreilles pour voir et pour entendre le monde de la Dualité et d’un œil et d’une oreille pour percevoir les images et les sons de l’invisible et de l’inaudible.

 

 

L’homme a oublié que « Tout est double » et désormais, il ne connaît plus que la dualité ! (ce qui fait assez gag, soit dit en passant !) Voilà qui serait amusant s’il ne s’agissait pas là d’un sacrifice aussi inutile que dramatique. Mais nous disions, plus haut, qu’il est possible de remédier à tout cela, de donner à l’homme le moyen de redevenir le Médiateur, le Médium (dans le sens de « entre deux-Mondes ») qu’il a toujours été et qu’il aurait du d’ailleurs demeurer, même une fois dans la chair.  Pour cela, il lui faut retrouver le chemin exact qui lui a servi à s’éloigner de sa propre Source, de son propre Soi-Conscient qui, lui seul, est capable de participer de tous les Mondes en simultané.

Dans un premier temps, il est donc nécessaire d’orienter notre conscience dans « l’Autre Direction » puis de Réveiller ce qui sommeille encore. Comme il est dit à juste titre dans le célèbre film de Science-Fiction « Dune » :

« Le Dormeur doit se Réveiller ! »

 

Qu’est-ce que « le Dormeur » ? Un Être ? Non ! Notre Soi-Conscient, c’est à dire « le reste de nos capacités inemployées depuis notre incarnation » ? Oui, tout à fait ! Le Dormeur est le résumé de notre source, de notre potentiel à être. Ce n’est pas notre Soi dans le sens individualiste de ce terme, c’est à dire que ce n’est pas une chose ou un être vivant et conscient mais tout ce qui nous manque encore pour être complet, cette partie divine de nous-mêmes que nous avons dû abandonner derrière nous en croyant pouvoir mieux jouer le Jeu de la Conscience dans sa partie la plus matérielle (basses fréquences.)

 

Il existe différentes manières de reconnaître les effets physiologiques et psychiques des efforts fournis par cette glande pour s’éveiller. De même qu’il existe diverses manières de l’éveiller, lentement et surement ou rapidement et en prenant quelques risques plus ou moins importants au passage. En règle générale, les « Kriya » (effets, symptômes, résultats, en sanskrit) relatifs à l’effort d’éveil d’une pinéale se présentent ainsi :

 

1. Douleurs dans la tête et en particulier, au-dessus de chaque oreilles et légèrement en arrière ou carrément au sommet du crâne (effet « clou enfoncé »)

2. Des effets de couleurs devant les yeux fermés, la nuit et avant l’endormissement, même si la pièce est plongée dans le noir.

3. L’impression que quelqu’un nous appelle par notre prénom, dans notre tête, juste avant de s’endormir ou lorsqu’on « pique du nez » lors de certaines méditations conduite alors qu’on a déjà sommeil (ou que l’on est trop fatigué pour veiller.)

4. L’impression que la pression atmosphérique varie dans nos deux oreilles à la fois, comme lorsqu’on monte à 500 mètres, en avion.

 

 

Bien évidemment, il peut y avoir d’autres Kriya (ou effets) mais ces quatre-là sont les plus répandus et, surtout, les plus significatifs d’un réel éveil de conscience. Dans tous les cas, les éventuelles douleurs ressenties ne doivent ni durer plus d’une semaine, ni provoquer de troubles auditifs ou visuels sérieux.

Mais dans un cas aussi extrême, il est préférable de consulter un médecin, à tout hasard car d’autres troubles purement physiologiques se partagent ce genre de symptômes, comme par exemple l’effet « battement d’ailes de papillon » dans une oreille, signal d’alarme d’une tension artérielle dans les choux.

 

Lorsque le travail psychique est suivi avec application et sérieux, c’est à dire non pas d’une manière abusive et par trop intensive mais exactement comme les exercices sont proposés, il ne peut arriver rien de fâcheux, tout au plus et pour les plus sensibles, quelques douleurs aussi légères que passagères ne durant jamais plus d’une journée ou deux. La Nature a pour habitude de « forcer les barrages » sans pour autant les faire éclater à chaque fois. Fort heureusement pour nous ! Les psychologues ésotéristes insistent toujours sur un point :

Les exercices présentés doivent absolument être pratiqués comme indiqué.

 

Dans ce domaine comme d’ailleurs dans bien d’autres, le manque de rigueur, de souplesse mentale (obéissance) et un zèle par trop appuyés, peuvent donner des résultats tout à fait contraires à ceux espérés. Pour ne pas dire mieux. De toutes manières, les exercices les plus poussés et donc les plus dangereux (et il y en a) ne sont jamais donnés par écrit ou d’une manière accessible à tout public, ceci afin d’éviter tout accident fâcheux. C’est sous l’autorité d’un Professeur compétent et, souvent, avec l’aide invisible mais très puissante d’entités d’un autre monde que celui de la chair, que les exercices les plus poussés sont présentés.

Mais même dans ce cas, il est exigé de l’étudiant qu’il se borne à exécuter les exercices comme indiqué et non comme il croit pouvoir ou devoir les faire.

 

Fait amusant, lorsque certains élèves (c’est déjà arrivé dans le passé) ont fait mine de pouvoir se passer des conseils éclairés de leurs aînés en connaissance et en pratique ésotériques, il s’est produit quelques incidents notoires mais la responsabilité des professeurs n’a bien évidemment pas pu être engagée.

Pourquoi cela ? C’est hélas très simple : les personnes qui détiennent le pouvoir social et représentent « la loi humaine » ne croient pas à « toutes ces salades », ce qui évite donc à de généreuses personnes de devoir assumer l’inconscience des élèves en lesquels ils avaient placé une confiance non méritée. La vie fait bien les choses et ce qui est malheur pour les uns peut s’avérer un bonheur pour d’autres.

Dans nos leçons par correspondance et sur le forum des cours privés, sont proposés des exercices qui sont puissants mais sans danger aucun.

 

Toutefois, il serait peu inspiré d’interpréter notre propos comme signifiant qu’ils ne peuvent absolument pas induire quelques déconvenues à ceux et celles qui essayeront ces exercices sans tenir aucun compte de nos conseils et avertissements à leur sujet. Mais comme le disent les gens qui n’ont jamais réussi à devenir libres par leurs propres efforts :

« Chacun est libre de faire ce qu’il lui plaît ! » (sic)

Pour les psy éso, chacun est surtout libre d’assumer ensuite chacun de ses choix. Il est vrai que nous sommes en République, voire en Démocratie.

C’est du moins ce qu’affirme la plupart des Français atteints de cécité et qui connaissent de nom le sens à donner aux racines grecques « Démos » et « Kratos. »

 

La glande Pinéale : Partie Dynamique (exercices)

 

 

 

 

Sur le schéma ci-dessus, nous pouvons trouver la position approximative de la glande pinéale dans notre tête. La vue de côté nous sera tout particulièrement utile, attendu que c’est par les deux points d’émergence énergétique (voir plus loin) que nous pourrons commencer à éveiller cette glande très importante aux yeux des psy éso. Qu’est-ce qu’un « point d’émergence énergétique » ?

Pour résumer très brièvement, il s’agit d’un point virtuel qui apparaît à la surface de la peau et qui est en relation directe, via un Nadi (circuit énergétique), entre cette position géographique à la surface de la peau et un Chakra (Centre énergétique), une glande, un organe ou un vortex énergétique. Autant de sujets étudiés dans nos leçons privées.

 

En somme, cela ressemble à un point d’acupuncture qui serait relié, vers l’intérieur du corps et par le biais d’une circuit énergétique, à une chose matérielle (glande) ou immatérielle (Chakra)

 

 

Sur le schéma ci-dessus on peut se faire une meilleure idée du point d’émergence énergétique relié à la pinéale, située au centre du cerveau.

 

EXERCICE N° 1

 

Assis sur une chaise ou un fauteuil, le dos droit, détendu, les pieds séparés et bien à plat sur le sol. Les trois doigts (index, majeur et annulaire) de chaque main sont placés au-dessus de l’oreille, de chaque côté, sur le point d’émergence. Les yeux fermés, inspirez puis expirez profondément, en prononçant le son vocal AUM lors de chaque expir, en trois syllabes :

Aaaa-Ouuuuu-Mmmmmmm

Faite-le d’une manière verbale (non chantée) sur votre voix naturelle ou à peine plus grave. Répétez une douzaine de fois maxi l’opération (le son AUM sur l’expir) puis baissez les deux mains, les poser sur les deux cuisses puis demeurer les yeux fermés et concentrés sur les deux points d’émergence, de chaque côté du crâne et juste au-dessus des oreilles.

Conservez cet état de concentration (sans forcer) durant dix minutes environ puis levez-vous et vaquez à vos occupations usuelles.

 

Note : Cet exercice complet doit être effectué au moins une fois mais pas plus de quatre fois dans une même journée de 24 heures. Pour chacune des séances, pratiquez une quinzaine de minutes,  durant trois semaines si possible. Les premiers effets ne se font pas sentir avant une semaine environ.

Ne jamais faire cet exercice plus d’un mois d’affilé !

Vos glandes doivent suivre des cycles d’activité et de repos et ne doivent pas être stimulées sur un rythme trop soutenu. De toutes manières, d’autres exercices existent et permettent également de stimuler voire d’éveiller l’activité psychique et spirituelle de cette glande.

 

Pour peu que l’on se donne la peine d’y réfléchir, il n’existe en fait que deux directions de concentration mentale : celle relative aux objets, aux évènements et aux personnes, à l’extérieur, et celle relative à nos processus mentaux, « dans notre tête » ou « à l’intérieur. » (« ésotérikos », en Grec) Durant une vie entière, notre attention est soit volontairement orientée vers l’une de ces deux directions, soit elle y est attirée, par exemple par un bruit, au-dehors ou par une idée subite, au-dedans.

Lorsque notre attention se fixe sur les objets et « le monde extérieur », notre énergie, qui suit toujours notre attention mentale, s’échappe de nous vers l’extérieur et au bout de quelques heures, nous sommes épuisés. Lorsqu’elle se fixe « au-dedans », c’est à dire sur nos divers processus mentaux, volontaires et conscients ou autonomes et plus ou moins conscientisés, notre énergie de vie, notre vitalité ou « force vitale » sert en grande partie à alimenter ces processus mentaux et nous ressentons également une grande lassitude au bout de quelques temps. Phénomène qui découle de la dynamisation de nos processus mentaux les plus morbides.

 

Pourtant, nous pourrions tous demeurer conscients et actifs, mentalement et physiquement, sans pour cela avoir à dépenser plus d’énergie vitale que la Nature ne l’avait prévue au départ. Pour cela, il nous faudrait nous concentrer, quelques précieuses minutes par jour, dans ou sur « la Troisième Direction », qui ne dirige notre attention NI vers l’extérieur, NI vers l’intérieur mais… Vers la Conscience d’être, vers notre « Soi-Conscience »

 

La Troisième Direction.

 

Si on s’inspire de la position des deux centres d’émergences énergétiques (voir schémas plus haut dans la leçon) et que l’on imagine, partant du dessus des deux oreilles, qu’il existe une ligne virtuelle, droite, qui se dirige vers le centre du cerveau, on arrive à situer approximativement la glande pinéale à l’intérieur de notre tête.

 

 

Exercice N° 2

 

Assis dans un fauteuil, sur une chaise, le dos droit, les mains posées à plat sur les cuisses, les pieds bien à plat sur le sol et séparés, fermez les yeux et partagez votre attention mentale entre les deux points d’émergence énergétiques de la glande pinéale, qui se situent de chaque côté et juste au-dessus de vos oreilles.

A partir de ces deux points que vous pouvez sans doute sentir s’activer légèrement, dirigez votre conscience vers l’intérieur, en partant des deux côtés à la fois, puis imaginez que vous atteignez le centre de votre cerveau ou de votre tête et que vous voyez la pinéale, qui se présente à votre vue mentale comme une petite boule rouge terne (ou de couleur brique)

 

Conservez votre attention polarisée (centrée) sur cette petite boule rouge terne et imaginez alors que votre conscience s’écoule dans la troisième direction, la Direction Spirituelle, celle qui RENFORCE votre conscience, votre volonté d’être, vos pouvoirs personnels, votre énergie vitale, etc. Ne faites rien d’autre que de demeurer centré ou focalisé sur cette petite boule de chair plus petite qu’un pois chiche.

Restez de la sorte concentré sans penser à rien, juste en étant CONSCIENT du fait que vous êtes conscience et que cette conscience se focalise en cette direction et en ce point précis de votre tête.

 

Autrement dit, en voyant en esprit cette petite boule rouge terne, vous concentrez votre conscience sur ce point et comme vous êtes cette conscience qui se concentre ainsi sur elle-même, vous renforcez ce que vous êtes vraiment d’une manière exponentielle. Vous créez littéralement cette Troisième Direction !

Cessez au bout d’une dizaine de minutes ou plus, sans excéder plus d’une demi-heure, même si cet exercice vous semble agréable et digne d’être conduit bien plus longtemps.

Plutôt que d’augmenter le temps de focalisation mentale sur la pinéale, augmentez plutôt le nombre de séances, deux à trois fois par jour durant dix minutes étant un idéal.

 

Conseils : Si vous ne réussissez pas à rester ainsi durant dix minutes ou si des pensées parasites vous viennent, ne soyez pas agacés, ne vous découragez pas et sachez que cela est on ne peut plus normal, surtout au début.

Ne vous concentrez pas sur les pensées qui vous viennent et n’essayez pas de les chasser non plus : ramenez à chaque fois et inexorablement votre attention mentale à la glande pinéale, la petite boule rouge brique, et au bout de quelques minutes, les pensées cesserons toutes seules de venir vous agacer.

Sachez que votre intellect s’ennuie rapidement si vous essayez de faire taire la moulinette mentale à laquelle il est habitué et dans laquelle il adore se pavaner. Il n’aime pas ce genre d’exercice qui lui fait sentir le poids de son inutilité ou de son inefficacité en matière d’évolution et de spiritualité.

 

Poursuivez les séances, persistez courageusement et au bout de quelques jours, vous aurez le plaisir de vous sentir vraiment immergé dans votre propre conscience d’être, un peu comme si, pour une fois, vous pouviez « vous toucher du doigt », spirituellement parlant. Il n’existe pas de mot pour expliquer ou pour désigner ce que l’on ressent alors mais ce qui est certain, c’est que lorsque vous y parviendrez, vous reconnaîtrez cette sensation unique, sans la moindre chance d’erreur.

Cet exercice doit être conduit pendant trois semaine AVANT de pouvoir effectuer n’importe quel autre exercice. Ne cumulez pas les exercices car vous annuleriez alors leurs effets et obtiendriez des effets inverses à ceux désirés.

 

Ne vous pressez pas : l’essentiel est de commencer, pas de vite arriver car commencer consiste à se remettre dans le Courant et ce remettre dans le Courant est la seule et unique chose à faire, le seul « but » à atteindre et un tel but est atteint… Dès que vous avez commencé !

N’hésitez pas à poster vos commentaires ou vos questions. Ce serait également sympa de venir ensuite témoigner de votre expérience personnelle car chacun de nous réagit à sa façon à ce genre d’exercice et, parfois, l’expérience d’autrui nous en apprend presque autant sur nous que nos propres cogitations isolées.

Bien à vous.

Serge.

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