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L’éducation et les lois spirituelles

L’éducation et les lois spirituelles

 

 

L‘un des sujet favoris des psy éso est l’éducation.
C’est également sur ce sujet que les psy éso se montrent les plus agaçants possible ! En effet -et pour parler franc- les psy éso pensent que les spécialistes de l’éducation des enfants s’y prennent comme des manches !
D’ailleurs, si leur méthode était si bonne que cela, il y aurait bien moins de jeunes loubards dans les rues et nous devrions bien moins faire semblant de ne pas voir la réalité en face.

 

Mais bien que leur méthode ne soit pas efficace, se sont encore et toujours les mêmes qui conservent « le pouvoir de faire changer les choses ou de les laisser stagner. » Une méthode qui MARCHE, qui a fait ses preuves, mérite de perdurer, de devenir « l’étalon modèle » d’une société qui se veut prospère.
Au lieu de cela, que voyons-nous vraiment ?
Des parents désabusés, qui ont baissé les bras et sont complètement découragés en réalisant que leurs efforts en vue d’élever leurs enfants et de leur transmettre certaines valeurs humaines, se soldent souvent par un échec.

 

Et ceux qui ont réussi, me rétorquerez-vous passablement outrés car piqués au vif en tant que parent ? Réussi à quoi ? A avoir des enfants qui se sont élevés seuls et étaient, de toutes façons, déjà formés et éveillés dès leur prime adolescence ?
Formez un jeune athlète qui s’ignore aux jeux olympiques puis essayez la même chose sur un homme handicapé et dans un fauteuil roulant et vous comprendrez !

 

Avons-nous le pouvoir de faire changer les choses ? Si les « autorités compétentes » ne réagissent toujours pas, c’est qu’elles ont très peur de devoir avouer leur propre incompétence à répondre aux besoin réels du peuple.
Pour mémoire, notre actuelle manière de concevoir la « Démocratie » se résume à voter pour des gens qui, ensuite, décideront à notre place et en notre nom, de promulguer des décrets (ou des lois) susceptibles de nous protéger et de faire respecter la liberté et le bien-être de tous.
Mais est-ce vraiment le cas, concrètement ?

 

Qui détient le pouvoir et en abuse sans même plus prendre la peine de se cacher ? Ceux qui pensent que tout va pour le mieux dans le meilleurs des mondes devraient courir, de toute urgence, chez un bon Ophtalmo !
Pour les moins frileux de l’âme, pour ceux qui n’ont pas froid aux yeux et osent regarder la réalité en face, la réponse est bien évidemment celle-ci :
NON ! Cela ne marche pas et, d’ailleurs, cela ne marchera jamais !
Du moins, tant que les gens n’accepteront pas de s’avouer deux vérités humaines essentielles :

 

1. Chacun ne pense en réalité qu’à sa propre gueule et les autres ne servent que de prétexte extérieur pour arriver à des fins individuelles précises.

 

2. Personne ne veut voir la vérité en face car chacun craint de devoir ainsi se remettre en cause à chaque instant et pour chaque domaine de la vie.

 

Évidemment, l’une des répliques les plus succulentes -et les plus ringardes aussi- des inconditionnels de notre chère « Raie Publique » (lol) est celle-ci :
« Et toi, qu’as-tu à nous proposer de mieux, beau parleur prompt à la critique mais pauvre en la méthode ? »
(Oui, les pleutres ont parfois un langage des plus châtié !)
Le problème n’est jamais de trouver des solutions mais de se donner le pouvoir de les appliquer.  Ou de s’autoriser à agir enfin.
Car il est inutile d’attendre de le recevoir de la main de ceux et de celles qui ne le lâcheront jamais et pour rien au monde !
L’évolution préférable à la révolution.
Autant dire que les « beaux parleurs » seront forcés de le demeurer, faute de pouvoir démontrer qu’il est toujours possible de faire mieux.
Nous pouvons transformer notre vie et à notre propre niveau mais pour transformer une société, il faut être plus nombreux.
Ainsi, pour  » faire mieux « , il est absolument nécessaire que le pouvoir puisse changer de mains.
Mais pas « changer de mains » dans le sens de passer des mains de la droite à celles de la gauche, toutes deux composées d’hommes et de femmes qui ne songent qu’à leur propre nombril.
Ce qu’il nous faut, peu importe les origines et appartenance politique, ce sont des êtres humains véritables, des hommes et des femmes qui acceptent de se mettre à la place des autres et qui refuseraient de faire aux autres ce qu’ils ont horreur que l’on fasse à eux-mêmes.

 

Mais avez-vous déjà rencontré un Tyran qui accepte de céder sa place à meilleur que lui ? A « meilleur tyran » que lui, certes, il en existe, mais à MEILLEUR tout court, il n’en existe pas car dans le cas contraire, il ne s’agirait pas d’un tyran mais d’un grand sage.

 

Donc, et pour le moment, nous ne parlerons de « solutions » à court terme car ces dernières nécessitent que le pouvoir soit réellement rendu au peuple et ne soit plus entre les mains crispées de vieillards décrépis et aigris dont l’avenir repose sur l’inexistence forcée des autres. Réagir ne serait-ce qu’à notre humble niveau est déjà une révolution en soi !

 

Nous allons plutôt parler « d’astuces » à appliquer en famille et individuellement et à ne pas mettre sous les yeux des « spécialistes diplômés d’État » qui, par nécessité, sont obligés de se ranger du côté du plus fort s’ils désirent conserver les avantages sociaux relatifs à leurs postes.
Donc, homme de pouvoir, tu es prié de cesser de lire à ce point de mon article et d’aller boire un café en méditant sur une manière novatrice pour prendre au peuple cela-même que tu lui a promis, afin d’accéder au pouvoir.

 

Plus sérieusement, sachez que plus une méthode d’enseignement fait hurler un spécialiste des enfants, plus elle est susceptible d’être efficace et donc, de démontrer l’incompétence de ceux qui ont des diplômes à la place d’un cœur et des programmes à suivre à la place du cerveau.
La véritable psychologie de l’enfance est invariable car elle est relative au fonctionnement de lois spirituelles bien spécifiques et invariables elles aussi.
Ces lois s’appliquent de ce fait à TOUS les enfants, quels qu’ils soient, bien que les effets, en terme de qualité et de « réponse dans le temps », puissent varier d’un enfant à un autre, bien évidemment.

 

Les enfants sont intuitifs et non intellectuels. Du moins, au départ.
Ils sont donc tout naturellement guidés par les lois spirituelles et n’ont aucune raison de s’y opposer.
Certains enfants naissent avec un caractère déjà formé.
Le mieux, dans ce cas, c’est de leur offrir ce dont ILS ont vraiment besoin, et NON ce dont Vous croyez qu’ils ont besoin.
De toutes manières, dans le cas contraire, les résultats seront aussi catastrophiques pour l’adulte que pour l’enfant.
Bien que ce sera l’enfant qui en pâtira le plus et en fin de compte.
Voyez si c’est là un de vos buts visés !

 

Un peu de technique pour techniciens de l’esprit !

 

Passons à présent à une partie un peu plus technique.
Nous progresserons lentement et, si cela s’avère nécessaire, nous découperons ce présent article en plusieurs morceaux afin d’en faciliter la lecture.
Question : pourquoi les parents sont généralement énervés et stressés lorsqu’ils doivent sévir avec leurs enfants ? En voilà une question qu’elle est bonne, non ? (En français dans le texte.) La réponse est évidente et, comme souvent, se trouve sous notre nez, comme on dit.

 

Savez-vous ce qu’est une « DDP« , en électricité ?
Ce une « Différence De Potentiel »
Lorsqu’une chose est « plus chargée » qu’une autre, on parle alors de différence entre le potentiel énergétique (sa charge) de l’une par rapport au potentiel énergétique de l’autre.
Dans le cas qui nous concerne ici, qu’avons-nous exactement ?
Nous avons d’un côté un parent qui essaye d’enseigner « les bonnes manières » à son enfant parce qu’il est persuadé que cela est juste et bon, et de l’autre côté, nous avons un enfant qui n’en a rien à braire et qui se réjouit à la seule idée de n’en faire qu’à sa tête !

 

Conserver toujours une vision dépassionné du sujet.

 

Vous voyez mieux le tableau une fois dépeint selon une vision dépassionnée qui n’est ni « pour » l’adulte, ni « pour » l’enfant mais juste « pour » ce qui existe et se passe  » dans l’actualité  » ?
Selon cette loi, ce « principe de polarité », vous êtes le pôle qui es « chargé à fond », par rapport à l’enfant qui, lui, est complètement « déchargé. »
Ici, la « charge » correspond à un savoir donné (ce qu’il faut ou non dire ou faire en société, par exemple.)

 

Quels que soient le but, le motif et les moyens invoqués, lorsque vous tombez sous le coup d’une loi (ou l’employez sans même le réaliser), vous devez à tout prix suivre les directives de cette même loi sinon, vous courrez à l’échec, au mieux et à la catastrophe au pire.
Sans doute serez-vous quelque peu étonné d’apprendre que la plupart de nos actes tombent tout naturellement sous le coup d’une ou de plusieurs lois.
Il ne devrait pas vus paraître difficile d’en comprendre intellectuellement l’énoncé.

 

C’est après que cela se corse, comme on dit à Ajaccio !
L’homme a créé de hautes murailles dans son mental, de véritables forteresses de certitudes, comme le dit un poète méconnu (==> Serge Baccino ^^)
Nombreux sont ceux qui croient que ce qui appartient à un domaine précis, doit nécessairement tomber sous le coup d’une loi différente de tout ce qui appartient à un autre domaine tout aussi précis et différent.

 

Les lois spirituelles omniprésentes dans notre vie.

 

En réalité, l’essentiel de ce que pense, dit ou fait un homme, dépend d’une loi spirituelle ou d’une autre et est totalement régit par elle !
C’est l’action de cette Loi qui fait « réussir » ou bien « échouer » nos plans.
Comprenez-vous que je suis en train de vous dire que non seulement le hasard n’existe pas mais que, de plus, il est fort probable que vous n’ayez jamais « réussi » ou « raté » quelque chose que vous ayez entreprit en méconnaissant totalement l’existence de ces lois spirituelles ?

Relisez ces trois dernières phrases car elle valent leur pesant d’or, en terme de connaissance spirituelle.

 

L’homme qui ignore comment fonctionne son propre esprit, ignore du même coup qu’il n’agit pas vraiment mais que ce sont des énergies spirituelles (lois) qui agissent pour lui, à travers lui et… A sa place ! C’est un peu comme si vous aviez l’habitude de faire la sieste au soleil et en maillot de bain, tout en ignorant les effets de l’exposition au rayonnement de l’astre solaire.
Vous pourriez en arriver à croire que « vous vous faites bronzer la peau » (sic) alors qu’en vérité, c’est le soleil qui fait cela pour vous et à votre place !

Celui qui ignore les lois du fonctionnement de l’esprit, vit sa vie comme il jouerait une partie de dés !

 

Il est naturel et compréhensible qu’il en arrive à croire ensuite au destin », au « hasard », à « la chance », etc. Toute notions aussi abstraites que fausses qui disparaissent dès que nous remplaçons l’ignorance par la connaissance.

Par la connaissance des lois et des principes qui régissent le fonctionnement de l’esprit.

 

Une célèbre phrase dit «Homme, connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les Dieux.» Cette phrase qui ne fait que deux mots, en Grec, était gravée sur le fronton du Temple de Delphes, en Grèce. On serait en droit de se demander par quel miracle le fait de se connaître soi-même pourrait ainsi nous instruire sur tout le reste !
Et pourtant ! Lorsqu’on a compris que notre esprit est le même que celui de tous et qu’il fonctionne donc de la même manière que pour tous les autres, connaître le fonctionnement de notre esprit, revient à s’offrir la capacité de comprendre et de connaître tout le monde.
Dès lors, nous commençons à pressentir l’existence d’une formidable vérité.
Une vérité qui nous laisse admiratif et infiniment plus libres et en paix qu’auparavant. Mais revenons au sujet de l’éducation des enfants par des adultes qui ne connaissent rien aux lois mentales (ou spirituelles)

 

Nous avions laissé un adulte qui essayait de transmettre sa connaissance du « bien vivre en société » à son enfant. Nous avons compris que lorsque deux personnes discutent (ici un adulte avec un enfant), celle qui sait le plus de choses est également celle qui est le plus « polarisé », c’est à dire celle à partir de laquelle l’énergie pourra circuler du pôle plus au pôle moins.
C’est donc vraiment comme en électricité, et comme, par exemple, les deux bornes de la batterie de notre automobile.

 

Ne pas toucher aux pôles !

 

Il est évident que des deux, l’adulte est celui qui est le plus polarisé (instruit) en « savoir vivre » et l’enfant est celui des deux qui l’est le moins. Ou qui est le plus privé de conditionnements mentaux, en fait ! L’adulte s’imagine donc qu’en étant lui-même le pôle à partir duquel circulera l’énergie, il réussira à repolariser l’enfant et ce, afin de le rendre identique à lui.
Le but inavoué est donc d’en faire une copie conforme de son père (ou de sa mère, pour une fille) Et même si ce n’est pas là le but poursuivi sciemment, c’est du moins le résultat que cette méthode pourrait donner si elle venait à être couronnée de succès.

 

Hélas ! Trois fois hélas ! (Hélas, hélas, hélas, donc) Ce n’est pas ainsi que les choses se passent dans les faits ! L’idée première étant de faire circuler l’énergie d’un pôle à un autre (enseigner, éduquer), le subconscient des deux parties (l’adulte et l’enfant) va donc faire en sorte que cette même circulation d’énergie DURE le plus longtemps possible.

Pourquoi cela ? Parce que c’est l’un des rôles du subconscient de faire durer tout ce qui produit du plaisir. Et il est plaisant et valorisant, pour un enfant, d’avoir un parent… Qui s’occupe de lui ! (et qu’importe de quelle manière.)

 

Bien sûr, l’adulte croit agir dans l’intérêt de son enfant. Son but est de l’éduquer, de le former, de lui apprendre « les bonnes manières », et ce, en fonction de ce que l’adulte a lui-même appris et qui l’a aidé à devenir ce qu’il est devenu. En somme, cela revient, pour cette adulte, à SE reproduire mentalement dans son propre enfant et donc d’en faire un fac-similé.
Il nous faut bien comprendre arriver à cette partie de cet article, que :

Quels que soient nos buts et motivations, le subconscient réagira en fonction des lois spirituelles et produire donc des effets qui correspondront à ses mêmes lois et pas nécessairement à nos attentes, toutes légitimes qu’elles soient par ailleurs.

 

Remplacer le devoir ou l’obligation par le plaisir de savoir enfin.

 

La plupart des adultes qui ont des enfant désirent sincèrement remplir leurs devoirs et obligations de parents. Et l’un de ces devoir qui n’est d’ailleurs en rien « une obligations », consiste à faire circuler le savoir. De le faire circuler d’un pôle + à un pôle – et non de changer la polarité d’origine.
Et c’est ce qu’un parent inattentif aux lois de l’esprit, peut réussir à produire s’il essaye de «se transmettre» (dans le sens de se déverser) au mental de son enfant. Un enfant qui n’a nul besoin de reproduire son père (ou sa mère) mais qui a un besoin urgent de se connaître lui-même.
Du moins, de se connaître tel qu’il serait si on lui laissait la chance d’être ! D’être lui-même et non pas cette pâle photocopie ratée de l’un quelconque de ses parents, voire des deux à la fois !

 

Notre subconscient raisonne par déduction et par association d’idées.

 

Notre subconscient raisonne par déduction et par association d’idées. Il perçoit immédiatement tout ce qui nous tient à cœur et aussi bien ce qui nous réjouit que ce qui nous terrorise. L’un de ses rôles pourrait s’identifier à celui d’un serviteur aussi docile qu’attentif à satisfaire la moindre de nos requêtes.
Toutefois, son principal « défaut » est qu’il est incapable de discernement.
C’est à la conscience objective (ou « de veille ») qu’il appartient de juger, de réfléchir, de mesurer, de peser et de prévoir. Le subconscient est incapable de mesurer les conséquences de ce que nous réclamons de lui et ce, plus ou moins consciemment.

 

Un allié précieux.

 

Notre subconscient fera toujours tout son possible pour nous faire plaisir, pour accéder à nos requêtes, mais il ne peut pas fonctionner à l’encontre des lois spirituelles. Ne pouvant transformer un enfant/ignorant en un adulte/connaissant (ni même d’ailleurs un « adulte/connaissant en un « enfant/ignorant »), il choisira l’option la plus logique : faire durer le plaisir !
A savoir, faire durer l’échange énergétique et psychologique, cette transmission de savoir. Et c’est cela qui tisse des liens parfois difficiles à gérer, plus tard et dans la vie relationnelle enfants/parents. En effet, arrivé à l’âge adulte, cette transmission d’énergie ininterrompue qui s’écoule toujours du « pôle parent » au « pôle enfant » peut devenir pesante pour ne pas dire mieux.

 

Ainsi, l’énergie va circuler sans cesse entre les deux pôles (adulte-enfant)sans jamais cesser et, plus fâcheusement encore, sans jamais parvenir à réaliser ce qui était préalablement visé comme but : instruire l’enfant ! Comprenez-vous bien ce que je suis en train de vous révéler ici ? Et, surtout, tout ce que cette révélation apparemment anodine implique ?
Bien sûr, l’adulte pourra se convaincre qu’il a bien remplit son rôle. En fait, il aura en effet essayé et l’enfant pourra alors apprendre à tricher et à faire semblant d’avoir était correctement éduqué.


Mais tout ceci sera aussi illusoire qu’inutile.
Vous doutez ? Alors observez les adultes qui composent actuellement notre société et dites-moi honnêtement si, au volant et sur les routes, par exemple, ils se conduisent VRAIMENT de la manière qui a leur a été enseignée !
Vous doutez moins, maintenant ?

 

Commencer par changer notre propre monde intérieur.

 

Voyons à présent non pas «la solution», puisque nous n’avons aucune reconnaissance officielle ou pouvoir de décision à notre disposition, mais une astuce.
Une astuce que vous pourrez d’ailleurs mettre directement à l’épreuve quand vous voudrez et si, bien sûr, vous avez des enfants de moins de 17 ans sous votre responsabilité. Car après dix-sept ans, les enfants se désintéressent du degré de véracité de ce que leur inculquent leurs parents et se terminent seuls, pour ainsi dire.

Cette astuce repose sur une loi spirituelle qui explique que : «La nature humaine fonctionne par mimétisme et ce, aussi longtemps que l’intellect, formé par la mémoire de ce qui est appris et retenu, ne vienne détourner l’attention mentale d’un individu des objets extérieurs pour la concentrer sur ses propres processus mentaux.»

Traduction : De la naissance jusqu’à ce que l’éducation perturbe le fonctionnement naturel de l’esprit de l’homme, l’attention est presque exclusivement orientée vers l’extérieur et les évènements qui s’y déroulent.

Une fois éduqué, un adulte aura son attention mentale détournée vers ses processus mentaux et ne saura plus vraiment distinguer «ce qui se passe au-dehors et dans l’actualité» de tout «ce qui se passe au-dedans et au sein de sa réalité personnelle.» Vous comprenez ?

 

Observez les jeunes enfants : on pourrait croire qu’il passent le plus clair de leur temps à découvrir le monde ! Pour eux, tout n’est qu’une excuse supplémentaire pour découvrir le monde et, surtout, pour jouer ! D’ailleurs, ce jeu ne leur sert à son tour que d’excuse pour découvrir comment ça marche, comme fonctionne ce monde extérieur si fascinant.

 

La nuit venue, les bambins insouciants tombent dans un profond sommeil durant lequel tout ce qui a été découvert et observé, durant la journée, sera passé en revue, classifié et précieusement archivé par la mémoire subconsciente.

Et c’est tout ce que l’enfant aura découvert et rencontré vraiment qui formera plus tard son monde réel, et non ce que des parents surtout soucieux de remplir correctement leur rôle et des éducateurs surtout soucieux de conserver le leur, lui auront inculqué de force, de la manière que l’on gave les oies d’élevage.

 

Quand l’art du Mime devient enfantin.

 

Le mot a été lâché quelques lignes plus haut : MIMÉTISME.
Nous sommes à peu près tous persuadés de connaître ce mot et d’en comprendre le sens général. Mais sommes-nous bien certains d’en connaître les diverses implications psychologiques ?

Une petite fille va tenter de copier sa mère, d’en reproduire les gestes et attitudes (Mudra, en sanskrit) et enfilera ses chaussures à talon, mettra ses robes et tentera de suivre le tracé de sa petite bouche avec le rouge à lèvres de maman. Le petit garçon, de son côté, adorera suivre son père dans l’atelier pour le voir travailler et, si possible, pour lui emprunter certains outils susceptibles de lui couper un doigt ou deux au passage.

 

Pour nous, c’est cela, le «Mimétisme» et uniquement cela. Quelques-uns penseront à faire allusion à cette mode à laquelle succombent un nombre effrayant de jeunes et qui consiste à se prostituer moralement pour devenir «une star» en une semaine et remplir tous les écrans de télévision.
Mais pour la plupart, le mimétisme, c’est ce qui consiste à copier ceux que nous aimons ou admirons, un point c’est tout.

Mais ceci n’est que la partie émergée de l’iceberg ! C’est seulement «Le principe du centième singe» mais hélas, revu et corrigé puis enseigné par une scientifique, c’est à dire une personne programmée à ne voir et ne retenir que ce qui coïncide avec ce qui se trouve déjà dans sa tête ou qui n’en dérange pas trop l’admirable ordonnance.

Autant dire que les découvertes ne dépasseront pas notre besoin de réussir à tout étiqueter et de nous sentir ainsi plus rassurés.

 

Un enfant ne va pas se contenter de reproduire bêtement les gestes et attitudes (Mudra) des membres adultes de sa famille : il va surtout se mettre dans leur peau pour comprendre ce qu’ils ressentent, pourquoi et, surtout, s’il est légitime pour eux de suivre leurs traces. C’est cet aspect beaucoup moins connu de l’enfance qui nous intéresse ici.

 

Ne pas prendre les canards du Bon Dieu pour des enfants sauvages !

 

Bien que les enfants soient considérés comme étant sans vice, il ne faut pas non plus les prendre pour des tarés ! Par exemple, si vous leur interdisez de fumer, de boire de l’alcool ou bien encore d’employer des mots grossiers, il faudra alors leur expliquer pour quelles raisons vous pouvez vous-mêmes fumer, boire et jurer comme un véritable charretier !
Leur intention ne sera pas de «défier votre autorité», comme vous pourriez être tentés de le croire, ou encore de vous placer dans une situation psychologique inconfortable : ils n’ont pas d’intellect assez développé pour être déjà aussi cons !

 

Leur position est simple et sans détours : Pourquoi devraient-ils ne pas faire certaines choses considérées comme mauvaises ou indésirables alors que votre comportement à vous démontre que ces mêmes choses sont en vérité bonnes et désirables ?

A moins de leur expliquer que vous êtes totalement abruti et incapable de vous appliquer à vous-mêmes une hygiène de vie que vous tentez de faire admettre à vos enfants !

 

Des réponses-bateaux du genre : «Cherche pas à comprendre et obéis !» et «Parce que toi tu es petit et que moi je suis un adulte!» vous feront perdre définitivement toute crédibilité aux yeux de vos enfants. Bien sûr, ils ne l’intellectualiseront pas ainsi, mais réagiront désormais en fonction de cette  version de vous-mêmes que vous leur avez imposée.

Ils seront sans aucun doute déçus et chercherons, intuitivement, d’autres méthodes d’apprentissage, voire d’autres personnes à mimer. Sans doute que vous non plus ne réaliserez pas tout de suite ce qui vient de se passer. Ce n’est que bien plus tard que, à leur tour, ils vous manqueront également de respect mais à leur manière.

 

Nos actes instruisent bien mieux que de belles paroles.

 

Comprenez bien ceci : vos enfants se moquent comme de l’an quarante du pouvoir relatif autant qu’illusoire que les adultes prêtent aux mots prononcés ! Eux ne se fient qu’à l’évènementiel et ne sont capables de comprendre que par reproduction de faits extérieurs avérés.

En clair, ils doivent voir ce que vous leur dites ou, si vous préférez, en avoir la preuve formelle, extérieure et concrète. Intuitivement, ils compareront toujours ce que vous dites aux faits, à vos actes et donc, à tout ce qui se passe vraiment et sous leurs yeux.

 

Si vous leur enseignez une chose mais en faites une autre, ils retiendront uniquement vos actes et se désintéresseront de vos paroles. Les paroles et le sens qui doit leur être prêté, ne s’adresse qu’à un intellect correctement formé (ou plutôt déformé, mais bon )
Et les enfants n’ont pas ET NE DEVRAIENT JAMAIS AVOIR un intellect de formé, du moins pas avant la fin des sept premières années

Il n’est pas dans mes intentions de rentrer dans les détails à propos de cette dernière assertion car il nous faudrait alors évoquer des sujets assez complexes concernant le fonctionnement naturel de certaines glandes endocrines, dont l’activité décroît rapidement entre l’âge de cinq et de sept ans.

 

Réfléchir sur l’image projetée sur nos enfants.

 

Il est bien plus important de se souvenir, par exemple, que si les deux parents sont des personnes stressés en permanence, l’enfant le deviendra aussi. Sauf si son chemin de vie ou sa trajectoire spirituelle n’avaient pas prévu ce trait de caractère et qu’il puisse fortement contrarier ses buts.

Instruire un enfant d’une manière intensive ne sert à rien, du moins les sept première années. Vos enfants vous observent avec une acuité extraordinaire au vu de leur âge et agiront et réagiront toujours EN FONCTION de votre propre comportement, et non de ce que vous attendez d’eux.
Même si l’envie vous prend de les rouer de coups.
Toutefois, s’il leur est fait violence, ils feront mine d’obéir à vos paroles puis chercheront à vous mentir et même à vous manipuler, dès que leur âge ou leur développement mental le leur permettra.

 

Les enfants apprennent très vite à mentir car les parents mentent sans arrêt à leurs enfants, prétextant en cela qu’ils sont trop jeunes, trop fragiles, etc. En fait, les enfants sont souvent une bonne excuse pour permettre à leurs géniteurs de se trahir en toute quiétude et avec une raison valable aux yeux de tous. Mais même s’il est universellement partagé et admis, un mensonge ne se transforme pas pour autant en vérité !

Les enfants sont des machines à dire la vérité; c’est pour cela que, dans un magasin, ils vous mettent la honte en vous demandant à voix haute :

« Dis, maman, pourquoi elle est si grosse, la dame, là ? »
Ils font ce genre de chose car ils captent intuitivement que les adultes partagent souvent des secrets qui leur bouffe l’âme. Et vous savez à quel point les enfants peuvent se montrer curieux !

 

Et vous, qu’est-ce que vous en dites ?

 

Voilà un premier jet au sujet de l’éducation des enfants, selon les psychologue ésotéristes. Plutôt que de poursuivre sur le même rythme, je préfère vous inviter à participer à un échange convivial sous la forme de commentaires, ce qui sera sans doute bien plus enrichissant, pour vous et pour moi, que de nous borner moi à écrire et vous, à me lire.


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Conscience d’acte et conscience de sa propre valeur

Conscience d’acte, conscience de sa propre valeur…

Il semblerait que l’une des plaies de notre société moderne soit la perte de certains repères fondamentaux. L’un de ces repères psychologiques fondamentaux est le sens de notre valeur personnelle. Si nous ignorons notre valeur réelle, nous ignorons du même coup quelle peut être notre place légitime au sein de la société en général.

En clair, les gens ont perdu le sens de leur valeur véritable. Ils ne savent plus ce qu’ils valent vraiment ! Du coup, soit ils se surestiment, soit il se placent volontiers plus bas que terre. Cela se manifeste d’une manière tristement évidente au niveau de la jeune génération.

Et bien que chaque jeune y réagisse soit en argumentant sans cesse sur sa valeur présumée, soit en accusant autrui de ne pas accepter de la reconnaître, le résultat est le même en fin de compte : De nombreux jeunes sont devenus déprimés, paumés et prêts à se vendre au plus offrant, telles de vulgaires marchandises comestibles.

Voir à ce sujet le succès hautement suspect des « Reality shows » et autre « Stars académies » ou la prostitution morale est de rigueur.

Nous pourrions argumenter sans fin au sujet des « responsabilités » qui incombent à nos dirigeants qui ont le pouvoir décisionnel et ont installé les diverses méthodes d’instructions académiques imposées dans nos écoles laïques. Mais cela ne ferait que compliquer le problème et ne nous offrirait pas pour autant un moyen rapide et efficace de nous extraire de ce marasme définitivement installé par ailleurs.

 

Notre but n’est pas de rechercher des coupables pouvant encore plus nous DÉRESPONSABILISER : notre propos et de comprendre réellement ce qui nous arrive puis d’y remédier du mieux possible et… Au plus tôt.

Que dit l’ego d’une personne complexée ou qui ignore totalement sa valeur, cela au point d’avoir recours au jugement d’autrui afin de pouvoir la définir ?
Il dit à peu près ceci :

« Tu ne vaux rien, tu es une vrai merde, le sais-tu seulement ? »

Pour compenser cette affreuse prise de conscience, ce sentiment écrasant de nullité, le « Moi-Idéalisé » arrive au galop et se met à claironner :

« Faux ! Si seulement on t’offrait une chance de prouver ta valeur, tu pourrais alors montrer à la face du monde qui tu es vraiment ! »

Bien entendu, ces termes ne font que renforcer plus encore le sentiment de dépendance à autrui (« Si seulement on t’offrait une chance…« )

Les moins atteints ignorent simplement leur valeur et n’attendent que certains indices positifs -et bien évidemment EXTÉRIEURS- pour réussir à compenser cette absence d’informations qualifiantes à leur propre sujet.

 

Mais la plupart des gens n’ont pas cette « chance » et ce qu’ils sentent, à chaque minute de leur vie, est hélas bien trop puissant et surtout précis pour leur laisser la moindre chance de ne pas bien capter le message.
Et ce message est celui-ci :

« Tu es une merde, voilà tout ! »

Essayons de comprendre tout d’abord l’origine de ce sentiment affreux et terrible à porter une vie durant. Nous n’évoquerons ces origines que très brièvement, car ce sujet est traité ailleurs dans un autre article qui lui est consacré.

Au départ, l’enfant doit obéir à ses parents, cela est un fait évident pour chacun de nous. Que cette obéissance découle d’une façon « légitime » de penser ou que ce soit « pour le bien de l’enfant » (sic), force nous est de constater que peu importe le motif et l’état d’esprit à la base du fait, un enfant n’est pas libre de penser et d’agir comme il le souhaite : il doit obéir à ses parents, un point c’est tout.

Fort de cette prémisse, il est dès lors plus facile d’avancer logiquement et de définir l’origine de ce manque de confiance en soi qui cède rapidement la place à la perte totale du sentiment de notre valeur personnelle.

Si l’enfant doit « répondre » aux attentes (légitimes ou pas) de ses parents, il devra du même coup dépendre également de ces derniers pour savoir si son comportement correspond vraiment à leurs attentes. (« Tout est double« )

 

Du coup, l’enfant passe sous la double tutelle mentale et émotionnelle des parents, car ses pensées et ses sentiments découleront désormais de sa capacité à satisfaire l’état d’esprit de ses géniteurs.

L’enfant commence alors à demander :

« Vous, là, dehors, dites-moi vite ce que vaut mon comportement, car j’ai besoin de vous pour le savoir ! »
Avec les années, l’habitude sera installée et deviendra une seconde nature.
L’adulte aura besoin du regard d’autrui pour connaître sa valeur véritable, c’est à dire sa capacité à répondre aux exigences quelques peu tyranniques de notre société et des olibrius qui la composent gaiement.
Cela, c’est l’origine, OK ?

Voyons à présent ce qui peut se passer « en profondeur » c’est-à-dire dans la conscience intime d’une personne d’âge mûr (après la trentaine, donc)

Nous savons déjà que les plus jeune se contentent soit de souffrir en silence (et de se droguer ou « d’inexister » avec une application louable), soit de se transformer en excités de première, capables de camper toute une nuit sur un trottoir et par un froid d’hiver et ce, dans le seul espoir d’être accepté aux présélections de « la Star ‘AC. »

 

Nous savons ce que recherchent ces jeunes gens : le sentiment de leur valeur.  Mais ils le cherchent là où il ne se trouvera jamais. C’est d’ailleurs pour cela qu’ils le cherchent encore, à l’orée de la trentaine d’années.

Pour les plus âgés, la chose est un peu différente. Leur expérience vivante a eu le temps linéaire de leur démontrer que l’extérieur et les autres ne semblaient pas posséder ce qui leur manquait si cruellement.
Leur Quête change alors de direction : ils vont visiter un peu leur intérieur à la recherche de cette fameuse valeur. Bien que certains ne le fassent pas, nous sommes bien d’accord là dessus. Je ne m’arrêterai qu’à des généralités, seul compte l’état d’esprit et non le nombre exact de ses représentants.

Bien évidemment, il ne la trouvent pas plus « au-dedans » qu’au dehors.
Mais n’allons pas trop vite et essayons de comprendre pourquoi.

 

Certains, supposant s’y être mal pris, vont alors se tourner vers la spiritualité : les moins chanceux vont devenir… Bouddhistes !
(Non ! Je déconne, respirez ! lol) Les plus futés se tourneront plutôt vers l’ésotérisme puis, rapidement, vers la forme de psychologie transpersonnelle qui semble lui être intimement liée.

C’est à ce stade que nous voyons débarquer de nouveaux « chercheurs de Lumière » sur un forum de spiritualité quelconque.
Grâce à ces nouveaux outils, -du moins lorsqu’ils ne se sont pas perdus carrément en cours de route à la recherche d’eux-mêmes- voici nos chercheurs tous beaux et propres sur eux et occupés à apprendre des techniques efficaces censées leur permettre de s’intérioriser plus encore, cela au point d’atteindre, tôt ou tard, les premières strates de leur subconscience.

Et que trouvent-ils dans ces mêmes strasses premières ?
La preuve formelle que si, à l’origine, d’autres qu’ eux étaient responsables de leur dépendance, ils sont devenus désormais responsables de leur penchant naturel à demeurer dépendant d’autrui !

Il est en effet plus pratique d’attribuer la cause de nos échecs à l’incompétence d’autrui et de s’attribuer les mérites de tout ce qui ressemble de près ou de loin à une forme quelconque de réussite.

Cela, c’est la première chose qu’ils découvrent et, en général, la plupart font un peu la grimace et rient jaune mais se prétendent disposés à poursuivre leurs investigations et même à se déguiser en spéléologues de l’âme, si besoin est !

Mais là où leur enthousiasme chute comme un avion dont les moteurs se serraient brusquement arrêtés de fonctionner, c’est lorsqu’ils atteignent la couche subconsciente dans laquelle se trouvent enregistrés les actes qui découlent de leur propre façon de penser en tant qu’adulte libre et responsable !

Et là, c’est la catastrophe ! Non pas parce que ce qu’ils découvrent alors est horrible ou est « impossible à imaginer » au préalable mais bien et au contraire, parce que ce qu’ils découvrent est d’une logique effroyable, car incontournable et absolue. Et ce qu’ils découvrent pourrait se résumer ainsi :

« Ta valeur dépend de la valeur de tes pensées et des actes qui en découlent : si tu n’as pas conscience de ta valeur, c’est que tu ne poses jamais aucun acte de valeur. Et si tu as le sentiment d’être une merde, c’est parce que tu te conduis comme si tu étais effectivement de la merde ! »

Comme vous pouvez le constatez, c’est à la fois simple, logique, rationnel et surtout, sans pitié ! Ainsi, ceux qui n’ont aucune conscience de leur valeur sont aussi et surtout ceux qui « ne se mouillent jamais » et n’ont encore rien fait qui puisse avoir de la valeur.

Ils ne sont pas « moches » : ils sont… Rien du tout !  Leur Tiédeur naturelle fait que par peur de passer pour des cons ou par honte d’assumer d’éventuels échecs, ils n’ont encore rien fait de notoire et qui soit susceptible de les informer sur leur valeur véritable. Vous captez l’idée ?

OK, Mais pour les autres, alors ? Est-ce à dire que si je me sens moche, c’est parce que… Je le suis en vérité ? Oui et non !
(J’adore écrire ça, les apparents paradoxes me font jouir.)

Oui, si vous avez commis l’erreur de VOUS IDENTIFIER à vos processus mentaux de merde (en Français dans le texte)
Non, si vous comprenez que vous n’êtes pas ce que vous pensez mais celui qui pense toutes ces choses merdiques au possible !

En clair, c’est votre état d’esprit qui est merdeux, pas vous.
Vous suivez toujours ou vous êtes déjà évanoui d’horreur ?
Pour ceux qui n’ont pas encore succombé, nous poursuivons gaiement.

 
Seconde partie

 

Dans la première partie de cet article, nous avons appris qu’il existe deux types d’individus incapables de définir avec quelque exactitude leur valeur :

1. Ceux qui ne ressentent rien, car il n’existe en fait rien à ressentir à ce propos, et qui devraient apprendre à se mouiller un peu, à « prendre des risques » et, en un mot, qui devraient commencer à se mettre à VIVRE pour de vrai, et non pas seulement « en esprit » (ou dans leur imagination débordante.)

2. Ceux qui se sentent étrangement merdeux ou moches et qui, en fait, se servent de processus mentaux si négatifs ou destructeurs (égoïsme, rancune, jalousie, etc.), qu’ils ne peuvent avoir un autre ressenti que celui qui est présentement le leur. (Relisez, au cas ^^)

Dans le premier cas, il existe un vide à combler pour prendre conscience de sa valeur. Dans le second cas, il serait temps de transformer son état d’esprit général, cesser de faire des choses moches pour se sentir enfin quelque peu valeureux, en somme.

Inutile de dire ici que ceux qui se découvrent appartenir à la seconde catégorie se dépêchent de se trouver des justificatifs ou de mettre en doute le degré d’exactitude de leur découverte !
Bien que de se contenter de nier le mal ne le transforme pas en bien pour autant, mais bon, c’est « humain« , il paraît…

Mais une fois le premier moment de découragement passé et si la colère ne prend pas le dessus sur le bon sens, la personne met son mouchoir là-dessus, comme on dit (elle ne s’y attarde pas) et passe courageusement à la seconde étape, la seule qui coûte et qui consiste à se réformer complètement.

C’est d’ailleurs à cette fin que les psy éso ont mis au point le fameux P.R.P. ou Processus de Réforme Psychologique.

Grâce à cette technique, une personne apprend lentement mais surement à inverser les processus mentaux entérinés dès la prime enfance.
Elle apprend à obéir à ses besoins naturels, à sa nature la plus authentique (même si jugée moche), ceci afin de réapprendre à S’ASSUMER totalement et à retrouver le goût de l’effort personnel, seul garant officiel du sentiment véritable de notre valeur à tous.

A l’évidence, si vos pensées et vos actes sont ceux d’un animal sauvage, vous ne pourrez pas vous ressentir comme étant un saint homme ! Mais le but n’est pas de se flatter ou de devenir un surhomme : le but est de redevenir responsable de ce que nous sommes et des sentiments qui en découlent.

Car peu importe qui vous pensez être en ce moment :

Si vous n’êtes que le pâle reflet de votre éducation, alors vous n’existez même pas encore !
Essayez de le comprendre vraiment, complètement et une fois que vous aurez dépassé le stade bien compréhensible de tous les « Oui, mais… », (lol)
venez en discuter avec moi. En psy éso, on ne paye jamais « pour voir » !

Je vous attends avec vos questions, commentaires ou avis personnels.

N’hésitez pas, personne ne mord sur ce Blog 🙂

 

 

La pratique des Bija-Mantra

Les Bija-Mantra

 

Pour une pratique journalière

 

 

Qui dit énergétique dit rapidement centres psychiques ou Chakra (sans  » s  » même au pluriel, car ce n’est pas du Français mais du Sanskrit, merci ^^)
Plusieurs d’entre nous connaissent les Chakra mais ce qui nous intéresse ici, ce sont les « Bija-Mantra », c’est à dire les vibrations sonores capables d’activer et/ou de ré-harmoniser nos Centres énergétiques (autre nom, en Français, pour Chakra)

 
Chacun de nos Centres énergétiques est sensible à une sonorité et, plus précisément, à la vibration que cette même sonorité produit lorsque nous entonnons ces sons-là. Cette vibration, comme toutes choses, est de double nature (« Tout est double » – Principe de Polarité.)

Il me semble important de préciser la chose puis d’insister sur ce point car personne ne semble trouver utile de seulement le mentionner. D’ailleurs, l’avantage d’expliquer les deux aspects (ou pôles) de cette Loi en ce qui a trait aux sons vocaux, permet de rendre plus rationnel et donc crédible, l’emploi même de sons vocaux dans le développement personnel.

 

 

Ainsi, l’effet d’un son vocal est de double nature, disais-je, la première relative aux fréquences vibratoires émises dans la pièce et par le son lui-même (version la plus connue) et la seconde, relative aux vibrations plus physiques engendrées par la résonance sonore issue du palais et des lèvres, durant la prononciation de ces mots ou « Mantra ».

 

Par exemple,  si nous plaçons nos doigts sous la gorge puis si nous entonnons le son vocal « M » (« Mmmmmmm » comme pour dire qu’une chose est bonne), nous pouvons remarquer alors que « ça vibre » légèrement. De même si nous plaçons nos deux index directement dans le conduit auditif de nos deux oreilles.

 

Cette vibration, qui est donc purement physique, agit sur certaines glandes telles que la thyroïde, la pinéale (épiphyse) et la pituitaire (hypophyse.)

 

 

A présent, voyons comment nous devons procéder. Afin d’obtenir les meilleurs résultats, nous devons pratiquer d’assis, trouver une position confortable et ne ressentir aucune tension ni gène que ce soit.

Tout l’art réside dans la convergence de trois techniques qui peuvent être employer séparément et dans d’autres exercices spirituels. Dans le cas qui nous concerne aujourd’hui, nous devrons employer :

 

1. La concentration (attention mentale polarisée)

 

2. La respiration profonde et rythmée (régulière, en fait.)

 

3. L’intonation de sons vocaux (lettres, voyelles  ou mots composés.)

 

Le cumul de ces trois techniques est assez simple, puisqu’il s’agira pour nous d’inspirer lentement et profondément par le nez puis d’exhaler tout en entonnant le sons décrits plus bas et ce, en conservant notre attention mentale focalisée sur un Centre précis. Après une douzaine de cycles, environ (ou répétitions), vous devrez faire la même chose pour les points 1 et 2 mais passer à un autre Chakra pour le point 3.

 

 

Position des Chakra et Bija associés.

 

 

 

* Le premier Centre, le Coccygien, situé entre l’anus et les organes génitaux (pas loin de la prostate, chez les hommes) réagit au son LAM.


* Le second Centre, le Sacré, situé aux alentours du nombril, réagit au son VAM.


* Le troisième, le Solaire, situé à mi-chemin entre la pointe du sternum et le nombril, réagit au son RAM.


* Le quatrième, le Cardiaque, situé au centre géographique de notre poitrine, réagit au son YAM.


* Le cinquième, le Laryngé, situé dans la petite dépression sous la gorge, un peu au-dessus de la ligne des clavicules, réagit au son HAM.


* Le sixième, le Frontal, situé un centimètre au-dessus de la ligne des sourcils, réagit au son OM.


* Et le septième, enfin, le Coronal, au sommet du crâne, réagit aux deux sons différents que sont le AUM et le YOD.

 

 

Il est important de prononcer correctement chacun de ces Bija-Mantra car leur effet dépend essentiellement de la manière dont on réussit à les moduler.
Évidemment, il est plus aisé d’expliquer ce genre de chose sur place, en présence d’une personne, que de décrire comment prononcer des sons !
Leur effet est puissant et apporte réellement des bienfaits en divers domaines, notamment la santé physique et mentale, ainsi qu’une activation non négligeable de certaines facultés psychiques (pour ceux qui bossent assez longtemps avec ces sonorités, bien évidemment.)

 
Il n’est ni utile ni souhaitable de faire tous ces sons en même temps et dans la même séance, avec pour intention de brûler les étapes.
L’idéal est encore d’employer un son par jour de la semaine, en essayant de faire coïncider le Bija du Centre Coronal avec le Dimanche, si c’est possible.

 

 

Par exemple, vous commencez par faire le Bija du premier Chakra le Lundi, celui du second Chakra le Mardi, etc…
Chaque Bija-Mantra devra être répété une douzaine de fois environ, avant d’entamer une période de détente, de relaxation ou bien de méditation, selon vos choix ou aptitudes.
L’intonation des Bija se fait toujours sur l’expir, sans forcer et sans élever inutilement la voix qui doit demeurer sur une note basse et constante.
En entonnant le Bija sur chaque expir et douze fois d’affilées si possible, veillez à bien découper les syllabes de chaque son (deux ou trois, selon le son vocal)

 

 

Exemple de prononciation pour chacun des Bija-Mantra :

 

 

LAM = Llllll-Aaaaaa-Mmmmmmmm


VAM = Vvvv-Aaaaaaa-Mmmmmm


RAM = Rrrr-Aaaaaaaaa-Mmmmmm


YAM = Iiiii- iaaaaaaaa-Mmmmmm


HAM = HAaaaaaaaaaa-Mmmmmm


OM = Oooooooooo-Mmmmmmm


AUM = Aaaa-Ouuuuu-Mmmmmmm


YOD = Iiiiii-iooooooooooooo-D

 

 

Exemple d’exercice complet journalier.

 

 
1. Assis sur une chaise ou un fauteuil (pas couché), détendez-vous, inspirez puis expirez profondément trois fois : inspirez par le nez, expirez par la bouche complètement et à fond (sans gonfler les joues), ceci afin de vider le bas de vos poumons qui a tendance à se remplir de gaz carbonique, qui est plus lourd que l’oxygène.
2. Fermez les yeux puis ayant choisi le Bija du jour, inspirez et expirez en entonnant le son, douze fois d’affilées. Faites trois séries de douze répétitions au maximum et ce, jusqu’à trois fois par jour mais pas plus.

(Par exemple, une série de trois fois douze sons le matin, une autre vers midi et une dernière le soir.)
3. Une fois l’exercice terminé, conservez les yeux fermés et, respirant normalement, demeurez détendu et sans pensées à rien de précis durant dix minutes. C’est à ce moment que vous pourrez, si vous en avez envie ou si cela vous est habituel, faire une méditation ou un autre exercice, cela à la condition expresse qu’il n’implique pas l’intonation de sons supplémentaires.
Puis, lorsque vous avez terminé, levez-vous et vaquez à vos occupations ordinaires.

 

 

Nota : Il me semble important de préciser ici que l’emploi des sons vocaux n’a rien de magique ! Il a été démontré, depuis des années, que ce sont les vibrations émises par les sons qui, en étant amplifiées par certaines cavités naturelles (comme notre bouche et certaines zones cervicales) produisent un effet émollient sur certaines parties de notre système nerveux et, en particulier, sur nos glandes endocrines.

A ces vibrations de nature physique, viennent s’ajouter les vibrations bien plus ténues et subtiles de celles de l’éther, de l’atmosphère ambiante, si vous préférez.

 

 

D’ailleurs, si vous avez un jour l’occasion de pratiquer cet art des sons vocaux dans une vielle église abandonnée ou dans une petite grotte ou cavité rocheuse, vous aurez la démonstration de ce que peuvent produire les Bija-Mantra lorsque les ondes sonores ainsi produites et déployées, se répercutent sur une ou sur plusieurs parois.

 

 

Il va sans dire que le fait d’essayer cet exercice durant quelques jours n’engage à rien et ne coûte que la difficulté de ne pas passer pour un fou (voire pire) si notre voisin de palier nous entend chanter à tue-tête  » Om, Om, Om !  » (sic)

Essayez donc de vous retrouver seul et tranquille avant de pratiquer.

Il est bon également de penser à débrancher le téléphone.

 

 

Une dernière précisions enfin : Il faut environ trois semaines de pratique pour obtenir des effets objectivables ou mesurables. Avant cela, il est possible que vous ne sentiez ni ne remarquiez rien de bien précis et ce sera normal.

 

 

A l’inverse, et si vous êtes une personne très sensible, vous pourrez ressentir des effets dès le second ou troisième jour. Ce qui ne veut pas dire que vous devrez alors abandonner et trépigner de joie ! Cela voudra dire, plus sobrement, que vous avez tout intérêt à poursuivre cet exercice avec le plus grand sérieux.

 

Je me tiens à la disposition de tous et de chacun pour répondre aux éventuelles questions, que cela soit avant de pratiquer et pour clarifier certains points de l’exercice vous paraissant encore un peu obscur, ou après cet exercice, pour expliquer d’éventuels effets 🙂

 

 

Dans tous les cas, le seul fait de poster un commentaire ici et à la suite de cet article, sera pour vous un moyen efficace de me remercier pour le temps que je consacre aux autres et pour mon désir de partager ma passion pour l’ésotérisme véritable ou « Originel » 🙂

 

 

 

Actualité ou Réalité ?

ACTUALITÉ ET RÉALITÉ

 

 

On dit parfois que « la psychologie ésotérique se résume à l’observation de l’actualité spirituelle d’un individu »

Avant de développer ce postulat, il serait bon de définir la différence exacte entre la réalité et l’actualité
L’actualité, c’est tout ce qui se passe vraiment, en nous et autour de nous, que nous en soyons conscients ou non.

 

Un avion avec des anges pour passagers

 

Par exemple, un avion est en train d’atterrir sur l’aéroport du Bourget, mais comme je me trouve à Cavaillon, ville du Vaucluse, je ne peux pas en être conscient et cet évènement ne fait donc pas partie de ma réalité, de ma prise de conscience personnelle.

 

Conscience de notre réalité

 

La réalité est tout ce dont nous sommes conscients, que cela soit vrai (authentique) ou non. Par exemple, je suis conscient de tous les objets qui m’entourent mais je peux être aussi conscient de cette idée que si ma femme est en retard, c’est peut-être parce qu’elle a eu un accident de voiture.
L’idée et l’émotion déplaisante qui en découlent, sont « réels » dans le sens où j’en ressens véritablement les effets sur moi mais ne reposent pas nécessairement sur des faits réels, sur l’actualité, donc.
En effet, lorsque ma femme arrive enfin, saine et sauve, , je puis être rassuré et rire de ma crainte non fondée mais ayant toutefois provoqué une véritable émotion.

 

Inconscience de l’actualité

 

Dans l’actualité, il se passe des choses… En réalité, comme nous ne pouvons pas être conscient de tous les évènements en simultané, nous sommes obligés de faire appel à d’autres facultés dites « subjectives » pour essayer de savoir tout de même les choses qui nous intéressent le plus. Ces facultés subjectives reposent sur notre « réalité intérieure« , c’est-à-dire sur la mémoire, l’imagination, l’intuition, etc. Elles forment également notre réalité intérieure mais ne correspondent pas nécessairement à l’actualité. En fait, notre réalité correspond RAREMENT à l’actualité !

 

Ce qui tombe sous les sens

 

Lorsque nous essayons de connaître ce qui ne tombe pas sous les sens, nous sommes obligés de faire appel au côté subjectif de notre être pour repousser les limites imposés par nos sens objectifs (vue, ouïe, gout, etc.)
Ceci n’est pas mauvais en soi mais a le pouvoir de nous couper temporairement de l’actualité, c’est à dire de  » ce qui se passe vraiment.  »

 

Rêver la réalité

 

A quels moments de notre vie faisons nous appel à notre subjectivité ?
Uniquement pour compenser les limites usuelles de nos sens ?
Certainement pas ! Nous le faisons tous, depuis des décennies (pour les plus vieux) afin non pas de connaître ce qui n’est pas immédiatement accessible, mais bien pour essayer de NIER ce qui se trouve pourtant sous notre nez !
Bref, notre subjectivité nous sert en grande partie à nous mentir, c’est à dire à nous couper sciemment d’une actualité qui ne nous plaît pas ou qui ne nous plaît plus.

 

La peur de devoir bouger pour de bon

Pourquoi ferions-nous cela ? Parce que nous croyons que si nous acceptons ce que nous proposent nos sens objectifs ainsi que notre ressenti, nous allons devoir  » agir « , c’est à dire  » faire quelque chose pour essayer de changer ce qui nous dérange au sein de cette actualité. » Et c’est mal ? Certes non ! C’est même des plus légitimes !

 

Améliorer notre réalité personnelle ?

 

Alors quoi ? Eh bien ! Alors, nous croyons que nous ne pouvons pas changer ou simplement améliorer cette actualité que nous vivons et qui nous déplaît. Et en réaction à cette simple croyance rarement fondée, nous ressentons une immense frayeur. Le pire c’est que, à son tour, cette peur vient corroborer les affirmations de la croyance qui indique que nous n’avons pas le pouvoir de changer notre vie.

 

En clair, le seul fait d’avoir peur démontre que nous savons ne pas pouvoir changer les choses. Cette association d’idées est non seulement infondée mais découle d’un processus de raisonnement aberré (ou à l’envers.)
Or donc, cette peur de ne pas réussir à améliorer un quotidien qui nous déplaît nous force à  » faire mentir l’actualité  » et nous pousse alors à nous réfugier dans notre tête, c’est à dire à nous inventer un monde idéalisé dans lequel nous sommes parfaitement heureux, merci pour tout et au revoir !

 

L’émoi idéalisé

 

Ce besoin de fuir une réalité jugée inacceptable et de la remplacer par une version idéalisée de nous-mêmes dans laquelle nous obtenons tout ce que nous désirons, est appelée  » Moi-Idéalisé  » en psychologie ésotérique (ou psy éso.)
Lorsqu’une personne ne supporte plus de voir et d’assumer la vie qui est pourtant la sienne, elle n’a pas d’autres façons de survivre que de s’inventer une vie différente et largement valorisée.

 

Esprit, quand tu nous tiens !

 

Aussi étonnant que cela puisse sembler, du moins pour qui ne connait pas les agissement de ce  » moi  » de procuration très dangereux pour l’évolution de l’âme et aussi présomptueux qu’inutile, ce sont les personnes le plus fortement orientées vers la spiritualité qui succombent le plus facilement, et les premières, aux pièges sournois tendus par le Moi-Idéalisé.

 

Le retour du Jet d’ail

Il est rare, par exemple, qu’un matérialiste convaincu, même s’il a loupé sa vie (selon lui), se prenne pour un Elfe, un Jedi ou un archange venu sur terre pour sauver les pauvres âmes en détresse…
Pour ce genre de de fantaisie, il faut au moins avoir quelque prétention à briller plus fort que ses semblables. Et la recherche spirituelle a ceci de dangereux qu’elle peut faire croire à une  » âme simple  » qu’elle est devenue une personne importante, différente et, bien entendu, supérieure à ses (anciens) semblables !

 

Entre vouloir et savoir

A noter enfin que c’est le de Moi-Idéalisé qui nous fait passer pour des Tanches de la Baltique aux yeux de personnes équilibrées, à l’esprit brillant et qui seraient disposées à s’informer plus avant sur l’ésotérisme véritable.
En effet, qui pourrait prendre au sérieux une personne se disant « ésotériste » quand on sait que la plupart des ésotéristes de nos jours, s’imaginent être des extraterrestres réincarnés ou des anges envoyés sur Terre par un dieu débordé par les conneries inventées par ses créatures ?

Moi non plus je ne serais pas très enclin de croire ou même d’écouter un jeune de 20 ans qui se déclare  » demi-Elfe  » et qui désire témoigner des buts profonds de son peuple !  Ne riez pas, j’ai pu lire ceci en toutes lettres sur un forum relativement connu et dont je tairai le nom par pure bonté d’âme.

 

Réveillez-vous !

 

Vos réactions à chaud, commentaires et avis ?
Vous pouvez vous exprimer librement, que vous soyez en accord ou non avec mes propos. De toutes manières, si vous êtes également un Elfe ou un ange réincarné, votre avis à ce sujet ne devrait pas sortir de cet ordinaire auquel la fréquentation de nombreux forums de  » spiritualité  » m’a hélas habitué !

Bien à vous autres, simples humains de passage, comme moi !

 

 

Le Détachement Spirituel

LE DÉTACHEMENT

 

 

Ou comment commencer à prendre possession de son esprit après dix minutes de lecture !

 

 

Les spiritualistes modernes ont une compréhension désastreuse de ce concept ésotérique. Que signifie ce terme « détachement » ? Et de quoi donc devrions-nous nous détacher ?
Du bonheur ? Du plaisir ? De l’argent ? De tout ce qui rend la vie terrestre supportable une fois qu’on y est ?

 

 

Un bien qui nous ferait du mal ?

 

 

N‘avez-vous pas la sournoise impression qu’on vous demande de vous « détacher » de tout ce qui est agréable et désirable ?
A moins qu’il ne nous faille vous détacher de tout ce qui provoque de la souffrance ? Tiens donc ! Et qu’est-ce qui provoque de la souffrance ?
Réponse : L’attachement ! Ben voyons !

 

On ne sait toujours pas ce qui nous « attache » et ce qui nous « détache« , en fin de compte. Qu’à cela ne tienne : il existe des gourous, des maîtres à penser et des institutions « sérieuses » à n’en plus pouvoir qui se chargeront certainement de nous faire savoir ce que nous devons faire.

 

L’idée de détachement provient évidemment du désir de faire cesser la souffrance. Les Bouddhistes nous proposent de nous détacher du désir, qui selon eux est « à l’origine de la souffrance. » Cela sans même réaliser qu’un tel but ne peut provenir lui-même que d’un ÉNORME désir : celui de de se détacher pour faire cesser la souffrance ! Gag !

 

 

Qui est responsable de notre souffrance ?

 

 

Partons de l’idée que ce désir de « détachement » provient en droite ligne du désir (on ne peut plus légitime et humain) de faire cesser la souffrance.
Il nous reste donc à définir cette souffrance, sa cause ainsi que la méthode qui permet de s’en libérer. De quoi souffrons-nous, pourquoi souffrons-nous et comment ne plus souffrir, en clair.

 

A la première question « de quoi souffrons-nous ?« , la réponse est évidente :

De dépendance à autrui.

 

A la seconde question « Pourquoi souffrons-nous ? « , la réponse est toute aussi évidente :

Parce que nous pensons que nous dépendons des autres pour exister.

 

A la dernière question « Comment ne plus souffrir ?« , la réponse s’impose d’elle-même :

Il faut cesser de penser que nous dépendons des autres pour exister.

 

Une loi spirituelle affirme que « Tout est double et avance par paires d’opposés. » Merci de noter le fait que le contraire (ou l’opposé) de nos trois précédentes affirmations est tout aussi valable ! Nous devons aussi et absolument arrêtez de croire que les autres peuvent dépendre de nous ! Bien que la chose puisse paraître logique, il m’a semblé utile de le mentionner tout de même.  😀

 

A partir de ce point, nous pouvons déjà proposer les grandes lignes d’une méthode capable de nous libérer de la souffrance morale.
Cette méthode doit être simple et facile à appliquer.
Elle doit également être logique et s’inspirer des lois spirituelles qui ont cet avantage de ne jamais varier et d’être reproductibles à volonté.

En effet, puisqu’une loi est invariable, chaque fois que nous y faisons appel, cela donne les mêmes effets et les mêmes résultats.
Ce qui, il nous faut bien l’avouer ici, est plutôt rassurant !

 

 

Construire sur de bonnes bases dès le départ.

 

 

Pour commencer, nous pouvons poser les bases de travail et de réflexion suivantes : La souffrance est un sentiment, pas une simple idée.
Puisqu’elle peut être ressentie, c’est qu’elle n’est pas illusoire.

Notre mental ne saurait prendre conscience d’une chose qui n’existe pas et ce, au moins pour nous ! Un sentiment provient toujours d’une pensée : la pensée est donc toujours à l’origine du sentiment de souffrance.

 

De plus, les lois spirituelles nous apprennent qu’à une même pensée sera toujours attaché le même sentiment de souffrance. Par exemple, chaque fois que vous pensez à un ami décédé, vous ressentez des émotions identiques.

Chacune de nos pensées est donc reliée à des sentiments bien précis et chaque fois que nous pensons la même chose ou de la même façon, nous ressentons la même chose ou de la même façon.

 

 

Personne ne désire souffrir volontairement.

 

 

Il est clair que personne ne désire penser à ce qui le fait souffrir.
La souffrance provient donc de formes mentales « involontaires » (ou mécaniques.) Autrement dit, il nous arrive de penser sans même le réaliser et sans réussir à tracer un lien direct entre ce que nous pensons et ce que nous ressentons alors.

Toutes les pensées sont faites d’esprit : la souffrance trouve donc sa cause première dans les mouvements de notre esprit.

 

Les initiés de l’Inde affirment que ce qui nous fait le plus souffrir n’est pas vraiment la pensée en elle-même mais plutôt le fait qu’elle varie sans cesse.
Ils nomment cela « les vritti« , c’est à dire et en français, les « modifications » de l’esprit. On pourrait aussi bien dire que le fait de « sautiller » d’une pensée à une autre engendre une forme de déséquilibre mental qui nous prédispose au stress, à l’anxiété, etc.

Il a été démontré que les personnes capables de se concentrer correctement et assez longtemps sur ce qu’ils sont en train de faire, sont également celles qui sont les plus équilibrées, d’un point de vu psychologique.

 

 

L’esprit, un excellent serviteur mais un très mauvais maître !

 

 

L‘esprit peut produire des pensées mais pas des sentiments : c’est donc en l’homme (et grâce à son système nerveux) que se manifeste la sensation de souffrance. L’esprit peut produire toutes les pensées, sans distinction de formes ou de qualités : c’est donc au niveau de la conscience de l’homme que peut s’établir cette distinction (le discernement) entre les pensées qui produisent des sentiments agréables et celles qui ne donnent naissance qu’à des sentiments désagréables.

L’esprit ne veut ni ne désire quoi que ce soit. Son rôle unique est de créer, de donner forme à toutes les idées possibles et imaginables. C’est donc à l’homme qu’il appartient de choisir les créations mentales (pensées) qui lui sont le plus bénéfiques. Cela, bien évidemment, en fonction de sa volonté et de ses désirs humains. Des désirs qui sont nécessairement « légitimes » puisque ils proviennent de sa façon de penser et de sa manière de vivre.

 

Si la volonté et les désirs sont orientés vers un idéal de bonheur, la présence d’un sentiment de souffrance dans la conscience, trahit également la présence de formes mentales totalement contraires à cet idéal (croyances, superstitions.)
C’est à dire des idées, des croyances, des doutes qui sont comme autant de poisons pour le mental puisqu’ils ont le pouvoir de nier notre prétention au bonheur.

 

 

Notre conscience se résume à notre univers mental.

 

 

L‘homme ne peut être conscient que de ce qui se trouve dans son propre mental et qui est produit par l’esprit. La souffrance est donc engendrée par des formes spirituelles qui se trouvent dans le mental de l’homme, et nulle part ailleurs.  C’est donc à la personne qui souffre et à elle seule, qu’il appartient de faire cesser toute forme de souffrance psychologique.
Les « autres » n’y sont pour rien, même si, bien souvent, ils jouent le rôle, bien involontaire d’ailleurs, de « Révélateurs » de cette souffrance qui est en nous.

 

L’énergie suit toujours l’attention mentale : en se concentrant sur les pensées qui produisent un sentiment de souffrance, on leur donne plus de force et de pouvoir encore. Il est donc de première importance d’apprendre à SE DÉTACHER immédiatement de toute pensée morbide, négative et, d’une manière générale, capable de produire, dans notre système nerveux, un sentiment de souffrance.

 

 

L’origine de la souffrance : Une question de concentration ?

 

 

L‘origine de la souffrance provient donc de l’attention mentale, inconsidérément accordée à des idées négatives puis maintenue sur elles et qui contrarient l’idéal de bonheur.
Présenté autrement, si vous conservez la fâcheuse habitude de rester concentré sur une pensée négative et donc désagréable, non seulement vous lui donnez plus de force mais, de plus, vous perdez un peu de votre propre vitalité !
En effet, c’est votre propre vitalité qui vient « nourrir » vos processus mentaux ! Et c’est votre attention mentale qui « canalise » (dirige) cette même énergie vitale en direction de telle ou de telle autre pensée. D’où l’intérêt de ne se concentrer que sur des pensées ou des idées agréables et saines !

 

 

Se détourner du mal pour donner la priorité au bien.

 

 

Pour faire cesser la souffrance, il suffit donc de SE DÉTOURNER de toutes les pensées qui contrarient l’idéal de bonheur, puis de se concentrer fermement sur leur opposé direct. Par exemple, l’inverse de la tristesse est la joie.

On nomme « L’Art de la polarisation mentale » la technique qui consiste à concentrer notre attention sur quelque chose de précis (pensée, idée, souvenir, image mentale, etc.) En général, il s’agit d’une chose opposée à ce qui pourrait produire un sentiment désagréable. Ainsi, on ne se concentre pas sur l’idée d’échouer mais sur l’idée de réussite totale et définitive.

En polarisant notre attention mentale sur une idée à la fois joyeuse et positive, nous transformons complètement la fréquence vibratoire de notre mental et lui permettons de se repolariser, (de redevenir positif et donc puissant.)
Ce qui lui permet ensuite d’attirer à lui des formes mentales semblables, correspondantes ou complémentaires, selon le cas et les besoins. C’est là l’un des fondements de la fameuse « Loi d’Attraction » si médiatisée.

 

 

Quand le cinéma vient à notre secours !

 

 

Lorsque j’étais plus jeune, il me suffisait de visionner l’un quelconque des épisodes de « Laurel et Hardy » pour me bidonner comme un gros malade !
Il nous est facile de faire appel à tout média, support ou technique moderne pouvant favoriser la repolarisation mentale.

Visionner un bon film comique, aller voir un pote ou lire une blague marrante sur internet lorsqu’on n’a pas le moral, peut nous aider à le retrouver.
Se concentrer de nouveau sur l’aspect positif et heureux d’une chose, d’une condition, d’une personne ou d’un lieu, est LA SEULE MANIÈRE d’appliquer le détachement spirituel avec un maximum d’intelligence et… D’efficacité !

 

 

La formule du Détachement spirituel.

 

 

Nous voici à présent en mesure de formuler correctement notre technique appelée « détachement. » Bien que l’énoncé de la loi spirituelle qui va suivre a été largement revu et corrigé pour le rendre plus « buvable« , j’ai pris malgré tout un vif plaisir à en conserver le rythme et le souffle uniques.
Voici donc l’énoncé de la Loi qui concerne le Détachement, sous une forme moderne, plus aérée et plus en rapport avec notre mentalité d’Occidentaux.
« Le détachement consiste à se désintéresser de toutes les pensées qui produisent un sentiment de souffrance, pour orienter fermement notre attention mentale sur toutes les pensées qui génèrent le plaisir. Le plaisir est le contraire de la souffrance, et la présence de l’un de ses deux sentiments, contrarie ou annule la présence de l’autre et réciproquement. »

 

Nous avons compris, désormais, que du choix de nous concentrer sur une idée négative et triste ou sur une idée positive et gaie, dépendra notre état d’esprit du moment et, bien évidemment, notre caractère ou notre manière de nous comporter en société.

Possédant la technique, il ne nous reste plus qu’à l’appliquer avec courage et conviction ! Il serait bon de créer un mécanisme, une habitude, qui nous permettra de virer immédiatement toute idée négative et morbide de notre mental puis de la remplacer sur le champ par une idée positive et vivante.

 

 

Jouer avec les couples d’opposés.

 

 

Il suffit généralement de prendre l’exact opposé d’une l’idée qui produit des sentiments embarrassants ou morbides, pour en annuler presque instantanément les effets ! C’est presque magique !

Retenez bien ceci : Notre mental ne peut pas se concentrer sur plus d’une chose à la fois.

Ainsi, tandis que notre attention se trouve polarisée (concentrée) sur l’idée de joie, il ne nous est pas possible de penser à la tristesse et donc, de la ressentir.
L’inverse est également vrai, bien évidemment.

Nous ressentons toujours ce que nous pensons !

Et nous ne pouvons pas penser une chose et en ressentir une autre.
En résumé, la connaissance des lois et des principes qui régissent le fonctionnement de l’esprit, peuvent grandement nous aider à améliorer notre quotidien et, si on s’en donne vraiment la peine, peut même transformer notre vie. Si vous avez des questions ou des commentaires, je demeure à votre disposition.

 

 

 

    Serge

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Symbolisme biblique (extraits)

Pour ceux qui seraient intéressés par le symbolisme psychologique qui se trouve dans la bible, voici quelques éléments de réflexion.

L’idée directrice, c’est chaque fois que vous lirez le mot biblique, il faudra comprendre son symbole, que je vous traduis ici.

Nota : les symboles sont livrés un peu au hasard, car ils sont écrits ici au fur et à mesure et en fonction des demandes d’informations des membres de mon association culturelle.

Ils n’ont jamais été publiés sous forme de livre (seulement sous forme de manuscrits confidentiels, échangés entre ésotéristes) et sont protégés par les droits relatifs à la propriété intellectuelle.

Je vous en livre quelques-uns ici pour vous montrer de quelle manière la psychologie ésotérique aborde le symbolisme en général et le symbolisme biblique en particulier.

 

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Synagogue: L’esprit. Temple: Le corps physique humain.

 

Serviteurs: Les pensées (qui sont censées nous être utiles, servir nos intérêts immédiats).

 

Champs: (de labour) Le mental humain, toujours prêt à être « ensemencé » d’idées nouvelles.

 

Moïse: La Loi de notre être sensible qui « sauve » des émotions (l’eau).

 

Jésus: Le « Je Suis » (Iéshua), la conscience illuminée, intérieure, le Soi etc…

 

Les démons: Pensées négatives, destructrices et productrices de mal.

 

Le lit: (pour coucher) Les attitudes mentales sur lesquelles repose l’homme (programmations, capitulations, laisser-aller, etc…).

 

Prendre son lit: Gérer nos attitudes mentales, se prendre en main.

 

Un homme mort: Idéal ou état d’esprit qui n’est plus incarné ou qui a été abandonné, car plus d’actualité.

 

Ressusciter un mort: Redonner à un idéal, un état d’esprit l’opportunité de renaître, le réaffirmer et le réactualiser.

 

Les disciples: Les attitudes mentales et les facultés qui nous suivent et nous servent fidèlement.

 

Ciel: Le mental.

 

Paradis: État au-delà des concepts, croyances, dogmes, idées (peut aussi être une allusion à l’état de conscience sans pensées).

 

Arc-en-ciel: (Là il faut voir le contexte, puisque ce symbole est censé relié deux conditions contenues dans la phrase.)

 

Terre: Support, état d’esprit, paradigme, ce sur quoi reposent nos processus mentaux, etc…

 

Ancien paradis: État de conscience originel où encore « Monde » à partir duquel tout a commencé ou a été « précipité ».

 

Ancienne terre: Ancienne façon de penser, anciens supports mentaux, repères psychologiques, etc.

 

420: Peut varier selon le contexte mais, en général, le premier chiffre désigne la vie matérielle, le second la vie psychique/psychologique et le troisième la vie spirituelle (0 = non concernée) ici, nous avons une vie sociale/matérielle riche, mais une vie intérieure ou psychique tourmentée et en proie à la dualité (par exemple).

 

Être vêtu de blanc: Le vêtement représente l’état d’esprit qui nous « habille », que nous avons investi. Ici, ça peut symboliser (selon contexte) soit de l’innocence et de la spontanéité, soit de la pureté d’intention, soit encore un état de sainteté quelconque. Le vêtement donne l’état d’esprit général qui est celui d’une personne (affirmé) et la couleur d’une éventuelle ceinture donne l’intention ou le désir de se sentir relié à une certaine façon d’être ou de penser (appartenances diverses). Le contexte est important pour être plus précis au sujet du sens exact.Le blanc symbolise aussi l’acquit, le manifesté, ce qui a été déjà mis « en lumière » et qui est donc connu.

 

Les animaux: Nos émotions les plus basiques, instinctives mais pas nécessairement mauvaises ou illégitimes.

 

Faire paître ses moutons: nourrir, entretenir et favoriser les émotions les plus élevées, douces, positives et lumineuses.

 

Les vents: Les opinions humaines (ont dit bien « le souffle de la calomnie, par exemple) ou la colère, selon le contexte pris en compte.

 

Les vagues: Les perturbations émotionnelles relatives aux peurs, aux envies, à la haine, à la jalousie, etc… Toutes les émotions assez fortes pour nous remuer, voire pour nous renverser et nous submerger (perte de contrôle).

 

Un lac: L’esprit (dans le sens de réflexion). Voir si calme ou agité pour connaître le sens exact. Si calme et limpide, les émotions sont saines et paisibles; si agité, trouble ou sale, les émotions perturbent la clarté du jugement et en ternissent l’éclat. (Si sale = émotions qui salissent l’âme.)

 

Commander aux vents et aux vagues: Maîtrise des pensées et des émotions.

 

Vivre parmi les tombes: Penser sans cesse au passé, vivre dans le remord, la rancune, les souvenirs, etc…

 

Le sépulcre: Le subconscient (dans lequel « pourrissent » un tas d’infos dont on se passerait volontiers !)

 

Un fils: Une pensée nouvelle.

 

Une fille: Une émotion nouvelle.

 

Fils (ou fille) unique: Pensée ou émotion prédominante et souvent volontairement entretenue (aimée, donc).

 

Le jeûne: S’abstenir, volontairement, du témoignage de nos cinq sens qui « nourrissent » notre mental d’illusions. (Autrement dit, ne plus prêter attention à ce que nous percevons avec nos sens, à l’extérieur. Ce « Jeûne » spirituel nous purifie l’âme de tous ses miasmes.)

 

Sabbat: Conviction, certitude intime, le repos du mental après l’attente, la paix qui suit la conscience de l’accomplissement.

 

Un homme atteint d’infirmité: Une pensée de faiblesse, ou une façon de voir la vie qui affaiblit notre jugement, notre pouvoir, etc.

 

Une femme atteinte d’infirmité: Un sentiment de faiblesse, une émotion qui affaiblit l’être et le rend dépendant, par exemple.

 

Pharisien: Celui qui adhère à la lettre et non à l’esprit d’une loi, d’un concept ou d’une croyance.

 

Lèpre ou lépreux: Esprit(s) malade(s), personnes dont l’état d’esprit général les a rendus malades, voire hideux et déformés, psychologiquement parlant.

 

Jérusalem: Niveau intérieur de l’être où demeure la paix et hors d’atteinte des conflits issus de la dualité. C’est l’endroit de notre âme où nul ne peut nous suivre et d’où personne ni rien d’autre que nous-mêmes ne saurait nous déloger. Par extension, notre Jérusalem représente nos certitudes intérieures qui nous donnent courage et force de continuer dans les épreuves, par exemple. La « Nouvelle » Jérusalem représente quand à elle, l’instant où nous trouvons un état d’esprit encore plus sublime et générateur de paix, à nos yeux, que celui qui était le notre, précédemment. Ceci arrive surtout lorsque l’homme fait un « bond quantique » dans sa propre évolution spirituelle, à la suite d’une métanoïa ou d’un changement total de paradigme, par exemple.

 

Verbe fait chair: (Se dit de Jésus, par exemple.) La pensée éclairée qui se concrétise, qui prend forme.

 

Prêtre: Celui qui rend sacrée une condition, une vision, cela en sacrifiant tous les aspects négatifs de cette condition ou de cette vision.

 

Progéniture: Manifestation extérieure (visible) d’une pensée (fils) et/ou d’une émotion (fille) est employé surtout pour dire qu’un état d’esprit général engendre souvent de nombreux états d’esprit « enfants » (directement issus de).

 

Les pieds: L’écoute naturelle, la compréhension directe, non-intellectuelle (on dit que nos pieds « écoutent » la planète) le contact vivant avec les réalités propres à un Monde, une Tradition, un concept, un archétype, etc…

 

Festin(ou festoyer): S’unir à la Présence intérieure et se Nourrir de son Essence illimitée.

 

Seigneur: La Loi de l’esprit, l’attitude dominante ou les schémas qui président (voir par exemple Romains ch. 12 verset 19). Se dit en général pour désigner la Conscience souveraine qui règne (en temps ordinaire) sur l’ensemble des processus mentaux.

 

Adam: Le mental (de « Adamah » = Terre rouge » c’est à dire l’esprit dans son aspect masculin) l’esprit créateur potentiel de toutes choses.

 

Ève: La vie sensible et intelligente, la Force Vitale. Ce qui donne souffle et vitalité à toutes les formes mentales engendrées en esprit.

 

Caïn: L’intellect, l’approche réfléchie, calculée, etc…

 

Abel: L’intuition, la sensibilité, le fait de laisser parler les émotions, le cœur, etc…

 

– Fin de l’extrait.

 

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