Note importante : Attention, ces textes sont très longs ! Il s’agit d’un Dossier, pas d’un simple articles. De fait, il contient des ajouts successifs, couvrant de nombreux mois. A lire en prenant tout son temps et en plusieurs fois.

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INTRODUCTION (Troisième édition)

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Une partie des textes qui vont suivre sont tirés de posts qui faisaient parties d’un ancien forum. Il me semble à présent intéressant, après ces quelques années de passées, de les présenter au public, alors qu’à l’origine, ils n’étaient réservés qu’à une poignée de membres. D’où le ton « léger » (voire un brin relâché !) des propos qui vont suivre. Si certains termes et expressions « poétiques » vous choquent, sachez que pour redevenir moins « prout-prout » de l’âme, il suffit de vous lâcher un objet pesant plus de dix kilos sur les orteils, puis de noter l’élégance et le style indéniables qui seront les vôtres lors de vos jurons les plus sincères, ceux qui viennent vraiment de soi et non du Moi-Idéalisé ! Bonne lecture et n’oubliez pas de sourire !

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Compte tenu des deux années qui s’en viennent, je trouve opportun d’aborder ici et avec vous, un sujet qui me paraît non seulement de circonstance mais qui plus est, vous permettra peut-être de passer le cap de 2012 sans péter une durite ou deux. Vous devez essayer de comprendre puis de TENIR COMPTE de ce qui va se passer sur cette planète, durant les années à venir et ce, à partir de juillet/août de l’année 2012. Je ne vous propose pas ici de lire ce topic, de vous écrier : « Mon Dieu que c’est beau et comme il écrit bien, ce con ! » Puis de passer à autre chose : Je vous demande de vraiment en tenir compte ! Mieux encore : de vivre désormais en fonction de ce que vous allez lire ici. Certes, vous êtes libres de ne pas suivre les conseils éclairés de la psychologie ésotérique ! Ne sommes-nous pas « En république », comme le dit mon Charcutier, grand philosophe devant l’éternel ? Mais même en République, je pense que nous pouvons vivre plus heureux et en se prenant beaucoup moins la tête, vous ne croyez pas ? Moi oui.

 

Voyons ce que nous savons déjà du sujet… Dès cet été (2010) et jusqu’à environ janvier/février 2013, de nouvelles énergies vont affecter en profondeur les cellules physiques de notre corps et libérer des idées et des émotions qui y étaient préalablement engrammées (enregistrées, intégrées, gravés, etc.)

Le résultat sera que « ce qui était caché sera crié sur les toits », pour reprendre un célèbre verset Biblique. Et croyez-moi, je n’aimerais pas être à la place de ceux dont la vie est bâtie sur le mensonge. Et on peut s’attendre à des réactions plus ou moins matures de la part de nos concitoyens. Il ne verront certainement pas d’un bon œil que ce qui les effrayait ou les gênait préalablement, soit placé au vu et au su de tous ! Mais ils n’y pourront rien et cela risque de les rendre un peu… Chagrin ! En clair, on peut s’attendre à quelques pétages de câbles, voyez-vous ? Et avant que ces choses là n’arrivent, il me paraît VITAL pour nous tous, de bien comprendre ce qui va se passer de manière à bien l’interpréter et de réagir (ou ne pas réagir) en conséquence.

Vous qui essayez de vous améliorer, de vous réformer et d’apprendre « qui vous êtes vraiment », vous méritez – il me semble – d’éviter le passage à la moulinette spirituelle ! Il n’est pas question ici de passe-droits, d’élitisme ou je ne sais quelle autre ânerie du même genre. Il est simplement question de prévoir, au mieux de nos intérêts communs, ce qui va se passer, cela de manière à se mettre par avance les fesses à l’abri. Voyez-vous mieux ?

 

La somme de tout ce que l’homme a refoulé, depuis des siècles, se trouve rassemblée sous ce terme générique (et pratique) : « ego collectif » L’ego, pour nous, psychologues ésotéristes, se résume à la somme de toutes les souffrances refoulées (à ne pas confondre avec le « Moi-Idéalisé » plus orienté orgueil et démesure.) L’ego est ce qui vous fait croire que vous êtes faibles, que vous ne valez pas un pet de lapin, et que vous allez nécessairement souffrir mille morts ! Ce qui, vous en conviendrez, n’a rien à voir avec l’orgueil ou même une haute vision de soi ! Bref, l’ego sera votre futur souci SI vous n’y prenez pas garde, car vous n’êtes pas obligé indéfiniment de vous laisser mener par le bout du nez sans même le réaliser ! Ce que l’on nomme susceptibilité,  jalousie, peur du rejet ou d’être abandonné, etc. ne représente que quelques-unes à peine des innombrables facéties de l’ego. Ce dernier vous fait croire (avec un franc succès) que vous êtes «ceci ou cela» et que, de ce fait, vous allez obligatoirement vivre «ceci» plutôt que «cela.»

 

Sachez qu’il existe des techniques très efficaces pour déjouer les pièges de l’ego.

 

Pour commencer, il faut comprendre que pour l’ego, il est primordial que vous preniez ses affirmations très au sérieux ! L’ego est terrorisé face à l’humour, par exemple, car cela lui donne le sentiment que vous ne l’écoutez pas vraiment et ne réalisez donc pas « la gravité des faits » qu’il vous présente si aimablement. Essayez de vous souvenir de ce qui suit :

Pour l’ego, tout est toujours « sérieux, grave et important »

La pire des choses qui puisse arriver à votre ego, serait que vous preniez la vie avec humour et légèreté et que vous ne vous sentiez que très peu concerné par ce qui se passe autour de vous ! Je ne dis pas que vous ne devez plus participer à la vie sociale : je dis que vous pouvez tout faire et même tout vivre mais sans vous croire obligé de tout ramener à votre petite personne.

Il n’y a rien qui puisse « vous arriver à vous » : il se passe seulement des choses autour de vous qui, la plupart du temps, ne correspondent pas à ce qui se passe en vous et ne vous concernent donc en rien.  Par exemple, vous pouvez très bien être en forme et gai, puis l’instant d’après, vous trouver agressé voire accablé par des évènements extérieurs. Souvenez-vous, à ce propos, que :

« Tout ce qui ne touche pas votre corps ne devrait pas non plus toucher votre âme »

 

En clair, cela veut dire que vous devez cesser cette manie morbide qui consiste en ce dérapage mental qui vous oblige à « vivre de métaphore. » Vous ne pouvez pas être « touché » par un événement mais seulement par un contact physique ! Vous ne pouvez pas être « encerclé par des problèmes » mais seulement être encerclé par des apaches qui en veulent à votre scalp, par exemple (ce qui est relativement rare.)

Par contre, vous pouvez être littéralement encerclé puis agressé par des idées à la con, qui se trouvent déjà en vous, gravées dans vos cellules, et qui n’attendent qu’un événement extérieur CORRESPONDANT (ne serait-ce que symboliquement parlant) pour se réactiver et vous empoisonner la vie !

 

N‘en avez-vous pas raz le fion de vous comporter comme une bibliothèque ambulante qui sursaute chaque fois qu’on tire un bouquin d’un rayonnage ? Surveillez vos propres pensées et votre ego sera dans le pétrin (autant que cela lui arrive à lui, pour une fois) Et surtout…

Arrêtez de vous prendre pour le nombril du monde !

 

Tout ce qui se passe autour de vous ne vous concerne pas nécessairement, vous savez ! Il ne vous arrive RIEN à VOUS, en particulier ! C’est seulement l’ego qui se sert des évènements extérieurs et, surtout des autres, pour réactiver les blessures inscrites dans vos cellules. Essayez de le comprendre une bonne fois pour toutes, s’il vous plaît ! Puis vivez en tenant compte de cette nouvelle compréhension.

Le savoir ne sert à rien ni à personne, s’il n’est pas applicable puis appliqué.

 

Et quand allez-vous appliquer à votre vie sociale, tout ce que vous apprenez ? Après votre mort ? Il ne vous arrive rien à vous en particulier, OK ? Sauf si on vous touche, vous frappe physiquement ou si un pigeon se soulage sur votre épaule. Et encore, pour le pigeon, n’allait pas croire qu’il vous avait visé;  il ne vous connaît même pas, le pauvre vieux ! La seule chose qui peut vous arriver à VOUS doit nécessairement concerner votre corps ou votre esprit (votre enveloppe extérieure ou votre conscience intérieure.)

Un enfant qui manque tomber d’une chaise ne fait pas cela uniquement pour essayer de vous faire mourir de peur ! La postière qui vous accueille en tirant une tronche qui traîne par terre, n’a aucune aversion pour votre personnalité, je vous le jure ! Elle a juste un mari qui ne désire plus l’honorer pour ses charmes, par exemple. En somme, c’est à elle qu’il arrive quelque chose, pas à vous ! Vous captez ? Espérons pour vos fesses.

On se pond une ch’tite Loi de l’esprit ? Allez !

 

Si l’ego réussit à vous faire croire que ce qui se passe à l’extérieur vous concerne et vous arrive à vous, il a gagné la première bataille. S’il réussit à vous faire croire que ce qui vous arrive à vous est sérieux, grave et important, il a gagné la guerre !

 

Allez-vous éternellement succomber à… vous -mêmes ? Faudrait être con, non ? Moi je dis. Vous désirez vraiment faire cesser l’illusion, la Maya ? Alors commencez déjà par vous extraire de votre propre songe ! Et alors, croyez-moi, vous aurez déjà fait quelque chose de grandiose pour l’humanité.

 

L‘ego est un fin stratège mais il est tout, sauf intelligent ! S’il était intelligent, il se serait déjà suicidé ! De fait, il ne vous sera que d’un faible secours de répéter inlassablement :« ça ne me concerne pas… ça ne me concerne pas… » Le subconscient retiendra surtout le fait que vous entretenez une sainte trouille à l’idée de vous sentir concerné. Un état d’esprit nouveau est déjà une astuce en soi, pour ainsi dire.

Si vous décidez vraiment de moins vous prendre au sérieux et de vraiment relativiser le prétendu pouvoir que les autres et l’extérieur ont sur vous, vous pourrez alors respirer par le nez et aller en paix. Le tout est de vous confectionner un nouvel état d’esprit dans lequel vous savez que vous n’avez rien à perdre ni à gagner, et que c’est votre propre esprit qui vous force à être ceci plutôt que cela.

 

Si vous réalisez que seul existe l’esprit et que la différence entre vous et le voisin d’à côté est une différence dans l’amalgame de pensées que vous appelez complaisamment « Moi », alors vous serez déjà détenteur d’une grande connaissance qu’il ne vous restera plus qu’à transformer en sagesse, cela, en l’appliquant avec intelligence et humour à votre vie de tous les jours.

La sagesse, c’est la connaissance intelligemment appliquée

Merci à ceux/celles qui participent déjà à ce nouveau débat qui devrait nous en apprendre beaucoup plus sur nous-mêmes que sur ce qui en sera les simples effets (les années 2012 et +)

 

En réponse à une question au sujet de la différence entre l’ego et le Moi-Idéalisé, en psy éso

 

La différence entre l’ego et le Moi-Idéalisé est assez facile à comprendre, du moins en rapport avec les enseignements de base de la psy éso. Pour ce qui est du « moi idéal » que l’on peut trouver sur le Net, dans les bidules de psychologie, faut déjà un Bac+5 pour comprendre ne serait-ce que les termes employés par ceux qui se branl… euh… qui essayent d’expliquer ce sujet.

 

Voici en termes clairs et nets

 

Le Moi-Idéalisé naît directement de l’ego qui refuse d’accepter certaines choses et s’invente un « moi » de procuration bien plus beau et censé remplacer le « moi » originel mais jugé bien trop moche pour être assumé. Or donc, tandis que l’ego est relatif à toutes nos limites (avérées ou présumées) et aux souffrances qui en découlent, le Moi-Idéalisé, quand à lui, sert à nier le moi véritable.

Imaginons que vous n’aimiez pas ce que vous êtes ou la vie que vous menez… Vous allez donc vous inventer un « moi » de procuration, plus « beau » et qui brille même au soleil, ceci dans l’espoir immature de réussir à éluder tout ce que vous êtes et vivez vraiment.

En plus, il n’est même pas nécessaire d’être vraiment une fiente de pigeon et de vivre une vie de toilettes publiques, pour avoir recours au Moi-Idéalisé : il suffit de CROIRE que nous sommes de la fiente et que notre vie ressemble à un urinoir public, pour qu’il apparaisse comme par magie !

L’ego n’est PAS l’orgueil, bien au contraire 

L‘ego est fait de faiblesses, de plaintes, d’apitoiements sur soi, de souffrances, de honte, de colère rentrée, de culpabilité et de tout ce qui donne envie à un être humain ordinaire, de se trouver ailleurs en étant quelqu’un d’autre. Le Moi-Idéalisé est un peu le Zorro psychologique qui vient tirer l’homme ou la femme de sa solitude, de sa torpeur, de ses souffrances ou de son manque de motivations réelles. Est-ce plus clair exposé ainsi ?

Extraits avec citation et en réponse à…

 

Citation:

que se passe-t-il en 2012? On suppose que la planète (attention je vais être encore plus brouillon lol) subit un changement vibratoire (c’est bien cela?) donc nous et toute autres choses en subissons les conséquences.

 

Pour parler techniquement, on va dire que la partie la plus intérieure de l’homme, commence à se poser de nombreuses questions sur la valeur de ses aspirations et buts réels, ainsi que sur ses origines divines. Ces questionnements sont tout ce qu’attendait la Divinité Dormante au cœur des êtres, pour se Manifester pleinement. Comme il serait impossible à Dieu de nous sauter dans le cœur en une seule fois tout en nous laissant vivant, ce Réveil se passe par vagues successives, chacune d’entre elles permettant un contact à la fois plus intime et efficace entre les deux pôles d’une même chose, que sont l’homme et Dieu. La première vague est arrivée en 1995, la seconde en 1998 et la plus importante, celle qui permettra (un peu plus tard) à la chair elle-même de ressentir la Présence Divine, se produira lors d’un alignement planétaire qui devrait avoir lieu aux alentours de décembre 2012.

 

Mais les dates sont d’intérêt secondaire face à l’Éveil des consciences à un niveau Planétaire. Je NE dis PAS que tout le monde va devenir divinement inspiré du jour au lendemain : je dis seulement que, pour la première fois depuis 12 000 ans, Monsieur ou Madame Toulemonde va pouvoir sans effort ni exercice, ressentir Dieu et avoir certaines preuves de son existence, preuves qui seront, bien évidemment, en rapport direct avec son degré exact d’évolution à ce moment là (2012/2013 et +) Pour les puristes, signalons que la vraie « vague » a toujours été prévue pour Octobre/ Novembre 2011, et non pour Décembre 2012. La confusion de date avancée étant seulement affaire de sensibilité. Certains mettront en effet une année entière pour commencer à ressentir les effets spirituels profonds de cette vague initialisée en 2011, ce qui entrainera ce « retard » jusqu’à la fin de l’année 2012.

 

En somme, et pour faire simple, dès Janvier 2013, même les plus bornés ou insensibles des êtres pourront, s’il ne s’y opposent pas sciemment, expérimenter des états et avoir des expériences vivantes qui, jusqu’à ce jour, n’étaient réservées qu’aux initiés. Pour certains, la vague « forcera » un peu (ou beaucoup) les circuits et s’imposera comme une évidence qui, cette fois, sera très difficile à éluder. On peut prévoir quelques dépressions nerveuses voire quelques pétages de câbles. Tu suis l’idée générale, [Ici le nom du membre] ?

 

Citation:

pour l’égo, j’ai bien compris « l’utilité » de le « transcender » (je note entre guillemets par manque de vocabulaire, ne tenant pas plus que cela à cette « nomenclature » de transcendance) bref. c’est aussi utile en temps « normal »

 

En fait, l’ego est une structure naturelle et voulue de la psyché humaine. Il n’a donc pas à être détruit ou même dépassé. Par contre, et attendu qu’il est devenu, au fil des siècles, une véritable poubelle à complexes et conditionnements mentaux en tous genres, il est devenu urgent de l’épurer. On ne jette pas un tapis couvert de poussière, on le secoue. 

L’ego est ce qui nous permet d’avoir une identité terrestre

 

Cette identité est relative à des choix d’expériences, à des engagements contractés par cette partie Divine de notre être global. L’ego est donc un instrument du Divin et non une sorte de Diable ou d’ennemi à abattre. Par contre, la compulsion d’un ego abandonné à lui-même est ce qui, dans la Bible, est représenté par la Bête qui est dite issue du Dragon (l’intellect.)

 

Citation:

Concrètement donc que devons nous faire pour passer le cap 2012? Comment ce cap se traduit-il? (hormis un « séisme » plus ou moins prononcé de notre moi profond)

 

Celui qui réussit à demeurer véridique (authentique, simple et sans fard) est aussi celui qui passera 2012 sans même réaliser le moindre changement extérieur (ou si peu, comme d’habitude.) Les gens authentiques et pour qui le mensonge est devenu une chose inutile et dépassée, sentiront ce qui se passe en eux mais n’en seront pas (ou très peu) incommodés. Les plus matérialistes seront seulement un peu décontenancés face à certains phénomènes psychiques qui les pousseront très certainement à consulter. Du moins la première année. Ensuite, attendu que les témoignages fuseront des quatre coins du globe, même les plus endurcis des hommes, les fameux Athées, en arriveront à la conclusion rassurante que « Ces choses là sont naturelles et scientifiquement explicables, mais que nous ignorions préalablement leur existence » (sic)

Ce ne seront pas nécessairement ceux qui ont le plus lu les bouquins d’ésotérisme et qui en auront le plus parlé, sur des forums de spiritualité gérés par des Modérateurs aux manières de Nazis, qui se sentiront le plus « à l’aise » lors des toutes premières manifestations tendant à prouver qu’il existe autre chose au-delà de la chair…

 

 Les évènements se produisent mais ils ne nous arrive rien à nous !

 

Répétons-le ici afin de bien marquer les consciences :

Il ne vous arrive absolument rien à vous !

 

Faites-en votre Mantra, votre protection, votre bouclier face aux pétages de câbles de vos contemporains, qui ne manqueront pas de se manifester. Et même si un chauffard vous coupe la route, brûlant la priorité à un rond point, par exemple, ne pestez même pas ! Soyez attentif au fait positif que vous n’avez pas eu d’accident, malgré la connerie de certains, pensez que vous êtes protégés (sauf de vous-mêmes) et comprenez que le chauffard est une personne paumée qui est en train d’assumer de force son karma, autrement dit, sa façon non-harmonieuse de penser.

C‘est A LUI ET A LUI SEULEMENT qu’il arrive quelque chose, vous comprenez ? Pas à vous !

Vous allez finir par bien saisir l’idée, vous allez voir ! Et alors vous allez être dégouté en réalisant à quel point vous vous êtes fait du mal tout seul, durant des années (pour éviter de devoir dire à votre Soi Naturel : « durant des vies et des vies. » )

 

Que vous font les idées qui se trouvent (apparemment) dans votre têtes ?

 

Note : Au sujet du manque de simplicité des gens et pour étayer le propos, un texte final, issu de l’échange fastidieux entre un membre féminin et moi.

En résumé, je demande à l’une des membres qu’elle veuille bien placer une photo d’elle sur laquelle elle apparaît de près, seule et de face, comme le font de bonne grâce et sans discussions inutiles tous les autres membres, anciens ou nouveaux. Et au lieu de répondre « non », par exemple ou « je n’en ai pas envie », tout simplement, la personne essaye de feinter, de projeter, de se justifier, cela au lieu de s’exécuter simplement ou de refuser tout net et sans en faire un roman fleuve. Ensuite, la membre en question essaye adroitement de faire passer l’idée que ce sont les autres, participant au débat, qui ont un problème et manquent de simplicité.

Ne réussissant pas à user efficacement de son stratagème quelque peu éventé, elle s’énerve, se fâche et refuse ensuite de suivre ce fil de discussion. A noter que SEUL compte l’état d’esprit et que c’est LUI qui est remis en question, et NON la jeune femme elle-même. Comme il se doit, le sujet avait été invoqué volontairement et en pleine connaissance de ses effets ultérieurs plus que probables.

 

Que de complications et de bavardages, alors qu’il s’agit seulement de placer une simple photo, ne trouvez-vous pas ? Que de tergiversations, de feintes, de « Et si on causait plutôt de tes problèmes à toi, dugland », plus ou moins adroits.
On parle beaucoup et longtemps d’une chose qui est censée être apparemment « inutile » ou bien « futile » ou alors si… Triviale et secondaire ! Vous pressentez le piège ? Vous ressentez la présence discrète mais attentive de Mister ego, le frileux de service ?

Posez-vous cette virile question : Et si c’était un sujet important, ça donnerait quoi, dans ce cas ? Didiou ! Sachez tout de même -et en dehors de toute méthode psychologique employée sur ce forum (Psukelogos) un peu « spécial« – que personne, ne vous « oblige » ni ne vous « pousse » à quoique ce soit. Personne n’en a d’ailleurs le pouvoir, vous êtes en sécurité derrière votre écran, que diable ! Quoique…

Et si pression il y a, elle ne peut provenir que de vous et de personne d’autre que vous. Demandez aux « anciens » membres : eux aussi, et pour la plupart, se sont fait avoir, en leur temps, ressentant le malaise au-dedans mais persistant tout de même à en chercher la cause au dehors et, bien entendu, chez un autre !

Et alors même qu’ils venaient à peine d’être avertis, ils se sont fait piéger malgré tout ! 

 

Jusqu’au jour où il ont fait (dans un ancien Atelier confidentiel) un acte de foi immense envers leur propre Dieu intime et ont accepté que la vie les malmène un peu dans le but enviable d’être enfin débarrassés de leurs « démons intimes. » Qu’elle les malmène par le biais de ceux et de celles qui Aiment vraiment, c’est-à-dire tous ceux qui ne font aucune concession au Mal.

Le vrai Ami n’est jamais celui qui flatte et encourage à tout bout de champs, mais bien celui ou celle qui pointe du doigts la blessure niée et y enfonce son index à l’intérieur, histoire d’aider l’autre à ne plus se mentir, à ne plus se trahir sans cesse.

Vu de l’extérieur, ces hommes et ces femmes-là sont de vrais démons, n’est-ce pas ? Essayez un peu de jouer leur rôle ne serait-ce qu’une journée, et vous pourrez, pour une fois, être vraiment sincère en avouant que vous n’y arrivez pas ! Pour y arriver, il faut avoir perdu définitivement le goût pour le regard aimant et approbateur des foules et des gens « comme il faut. »

Écoutez avec un sourire entendu mais bienveillant ceux et celles qui se précipiteront pour vous convaincre du fait que eux, ils ont vraiment rien à foutre du regard des autres, qu’ils ont « dépassé » ça ! Vivez simplement une petite journée avec eux et vous verrez que la seule chose qu’ils aient dépassé, c’est une chance supplémentaire d’être authentique et véridique en tant qu’être humain.

 

Si vous vous faites piéger, ne vous en faites pas : peu ou prou, tout le monde y passe, d’une manière ou d’une autre, et je ne parle pas de ce forum mais de la Grande Vie, de la Vraie Vie, de celle qui fait éclater les murailles intérieures les mieux cimentées. Sans doute que certains mots, certaines phrases auront ce rôle ingrat de « révélateur », de « fouille-merde », comme disait un ami, dans le passé. Mais je vous promets que, selon la Loi, vous vivez toujours ce que vous pensez. Lorsque vous croyez qu’une allusion vous vise personnellement ou que quelqu’un cherche à vous nuire réellement, que sentez-vous et, surtout, où le sentez-vous ?

Vous sentez un malaise, évidemment, mais c’est bien à l’intérieur de vous que vous le ressentez, n’est-ce pas ? Alors ça ne peut concerner QUE VOUS et personne d’autres. Et si vous réagissez dehors, vous commettez un « péché » (d’un mot hébreu qui, en français, signifie « mal viser ») et vous trompez de cible, de flèche et… De direction.

 

Les lois spirituelles ont ceci d’agaçant qu’elle sont sans pitié pour le petit bonhomme humain, le pauvre chou ! Et ne croyez surtout pas que l’homme soit moins sensible ou « exposé » que la femme : il réussit simplement à mieux se mentir, voilà tout (et ça se voit moins.) Comme précisé plus haut, comprenez bien que PERSONNE ne vous oblige à rien, ici, si ce n’est ce qui se trouvait déjà en vous avant d’y venir. (souffrances refoulées, mensonges, conditionnements mentaux, etc.) Par contre, il est tout à fait exact et probant que le forum Psukelogos a le pouvoir de déloger tout ce qui était « adroitement » caché (Note : écrit en 2010.)

Et la seule façon de se mettre à l’abri de sa vibration spécifique, c’est soit de très peu participer, soit carrément le fuir pour rejoindre des lieux bien plus reposants et où il n’y a rien de dérangeant à découvrir sur soi. C’est ce que font la plupart des membres quelques jours seulement après leur inscription ! Ils repartent « étudier la spiritualité » afin de mieux apprendre à se fuir.

Avec nous, sur le forum, ils allaient s’apprendre eux, ce qui fait toujours très peur !

 

Allez, je le dis une fois encore, une fois de plus, pour les novices :

Sur un forum de psychologie ésotérique véritable, il faut s’attendre à être dérangé durant sa sieste !

Et à ce propos, je suis très fier de tout ce que ce forum est capable de remuer, de faire sortir comme merde. Son pouvoir vient en partie de ses membres les plus actifs et en une autre partie d’autres « membres », moins apparents, certes, mais « diablement efficaces » (si je puis dire.) J’avoue être très fier de l’astuce psychologique de la photo réelle en avatar, bien que cette idée ne soit pas de moi.

Cela marche à tous les coups et ceux qui se croyaient « simples et décontractés » sont ceux qui se font le plus languir pour placer une photo d’eux (avec ou sans lunettes noires, l’essentiel étant d’être seul et de face pour voir le contour des traits généraux.) Je dis cela sans chercher à mettre quiconque mal à l’aise, car c’est juste un fait évident pour tous (sauf sans doute pour les concernés, certes.)

Outre la photo, il y a le lieu réel de résidence, en général remplacé par une belle phrase donnant le change, vous savez, le truc classe qui fait vachement branché spiritualité ! En général, les gens répugnent à révéler le nom de leur ville, voire de leur département, un peu comme si l’ensemble de l’humanité n’avait que ça à foutre de relever un maximum d’informations sur leur importante personne, ceci afin de pouvoir mieux leur nuire ensuite.

 

Lorsqu’on explique aux gens quelles sont les prémisses de la paranoïa, du Retrait sur soi (ou effondrement sur soi) et de la peur de l’autre, ils se fâchent tout rouge comme si on venait brusquement de leur enfoncer un doigt dans le… euh… Dans l’oreille. En général, leur réaction un brin disproportionnée, provient du fait que ces prémisses ressemblent étrangement à ce qu’ils ont déjà dépassé depuis quelques années il est vrai. Le thème de ce fil de discussion est précieux et consiste en un des sujets-phares de la psychologie ésotérique.

Voici six mille ans de cela, les Siddha tentaient déjà d’expliquer à leurs élèves, les frasques de l’esprit et, en particulier cette tendance égotique à s’imaginer que tout nous concerne, tout nous vise ou complote peu ou prou contre nous.

Vous voyez ce que je veux dire ?

 

Qui n’a jamais ressenti un léger malaise en entendant pouffer de rire dans son dos ? Qui ne s’est jamais senti concerné par ce qui peut être pris, sur le coup, pour de la moquerie ? Bien sur, lorsqu’on en parle, les gens font mine de ne pas être concernés. Il est bien connu que l’ego adore se découvrir, se dévoiler entièrement face aux autres, n’est-ce pas ? Et pourtant, que voit-on le plus souvent ? Des gens qui ne s’aiment pas, qui se critiquent eux-mêmes, qui n’apprécient pas leur vie, leur travail, leur conjoint, leur patron, leur voisin, Dieu, le Diable, bla, bla, bla !

L’être humain adore s’abaisser mais ne supporte pas qu’on le fasse à sa place.

L’aviez-vous remarqué ? Oui ? OK, alors si c’est le cas, dites-moi donc la raison de ce comportement aberré ? Pourquoi dire du mal de soi et refuser que d’autres en disent sur nous et à notre place ?

La réponse est aussi unique qu’évidente… Tiens, jouons : qui la connaît ? Qui veut la donner ici et pour le bénéfice de tous ? Qui osera ensuite ne pas se dire concerné par le propos ? Réfléchissez donc avant de répondre et de trouver peut-être bien plus qu’une simple réponse à une question « innocente. »

 

Ah ! Diantre ! J’allais oublier le plus important, vous savez, comme dans les films où il faut marquer que durant le tournage, aucun animal n’a été maltraité et blessé (le chien écrasé était une peluche, arrêtez de chialer, voyons !) Alors voici pour tous les inquiets qui se sentent observés par l’univers lorsqu’ils vont aux toilettes :

Tout ce qui est écrit dans mes posts ne concerne personne en particulier (sauf mention directe et nominale) et certains posts me servent simplement d’excuse ou ne font que m’inspirer des propos parfois trop virils pour quelques-uns qui se sentent obligatoirement visés. Mais si cela vous arrive tout de même, si malgré mes avertissements du générique de fin, vous vous sentez offensé ou insultés, sachez que….

Il ne vous arrive rien à vous !

 

 (Suite d’entretiens divers, de réponses et de mises au point vis à vis de membres qui ne peuvent s’empêcher de croire que ce qui est écrit en général les vise eux seuls et en particulier.)

 

Comme je l’ai déjà mentionné, personne n’est visé en particulier par mes propos, bien que de me répondre du tac au tac prouve bien un besoin inconscient de se « disculper » ou d’expliquer des motivations qui, de toutes manières, ne peuvent concerner ou bien gêner que soi-même. A eux d’en tirer ou non, des conclusions, mais seuls, face à eux-mêmes et non vis à vis de moi ou de quiconque sur le forum, d’ailleurs. Mais s’il agissent autrement, c’est bien aussi, car les membres apprennent le plus des écrits et réactions des autres membres, c’est évident. D’où mon action, souvent, de « titiller » quelque peu et toujours gentiment, là où ça gratte déjà, afin de réveiller les ressources cachées des uns ou des autres. Et croyez-moi, ça marche à tous les coups !

Vous pouvez tous vous détendre, je n’attends rien de vous en particulier et vous pouvez remettre des avatars impersonnels qui iront très bien, rien ni personne ne vous oblige à rien, je pense la chose entendue.    (Mais faites quand même comme vous sentez, il est bon de ne suivre que soi, parfois, et râler un peu vous instruira surtout sur vous-mêmes.)

La bonne foi d’un individu se mesure à sa prise de conscience

 

Si une personne s’abuse, et même si c’est évident aux yeux de tous, si elle ne le réalise pas, en toute sincérité, alors la personne ne ment pas, elle est seulement inconsciente du véritable problème.

Un peu comme la justice humaine qui se veut clémente envers les enfants ou les personnes handicapés mentalement, par exemple. L’action des lois universelles est toujours double à ce sujet : ce que nous pensons puis faisons, entraine des réactions, certes, mais toujours proportionnelles à notre prise de conscience.

Elles n’agissent pas dans l’absolu ou d’une manière aveugle ou prédéfinie. Par exemple, si nous faisons du mal à une personne sans le réaliser et si cette personne ne nous en informe pas, alors il n’y a pas de « karma » car aucune prise de conscience d’un acte inapproprié. Aucun compensation ne sera donc requise pour « pardonner » une prise de conscience ignorée.

Toujours la Loi de Polarité (« Tout est double ») et surtout, cet Amour inconditionnel du Créateur pour ses créatures, qui est un exemple parfait de sagesse et de bon sens. Ceux qui ont des enfants font comme la Loi sans le savoir : si un gosse demande des infos au sujet du sexe, vers l’âge de six ans, il reçoit des infos génériques, sans incidence pour son équilibre psychologique. Mais plus tard, il faudra bien tout lui expliquer, tout lui révéler, et ce sera alors à lui (ou à elle) de réagir en fonction de sa nouvelle prise de conscience.

 

Comme vous l’avez sans doute remarqué, ce forum (Nota : Psukelogos, à l’époque) possède des membres « qui jouent le jeu », qui s’impliquent et font vivre notre petite communauté virtuelle (merci à eux en passant) tandis que d’autres n’interviennent que ponctuellement, surtout si le sujet ne risque pas de blesser quelque facette précieuse de leur Moi-Idéalisé.

Le silence « lourd » de certains, qui sont concernés au premier chef par les sujets les plus « chauds », démontre aussi qu’ils se sentent concernés mais espèrent, par leur silence inhabituel, faire croire qu’ils ont dépassé ces gamineries.

Je me souviens d’une fille, sur un ancien Salon (T’Chat) qui me confiait son « secret » : lorsqu’elle se sentait concernée ou « attaquée », elle ne répondait jamais, cela en vertu de l’adage qui dit que si on bondit à l’énoncé d’un problème, c’est que ce problème nous concerne en premier lieu !

En somme, cette brave fille avait inventé une forme de manipulation mentale d’autrui s’inspirant des lois spirituelles relatives au comportement humain. Nombreux furent les gens que j’ai rencontré, avant et ensuite, qui se servaient hypocritement de la psychologie pour tromper leurs prochains au sujet de leur degré réel d’avancement.

On appelle cela « le syndrome de l’initié » et il consiste à mentir sans relâche, sans avouer ses faiblesses humaines ni les laisser transparaître de la moindre façon. Et pour cela, il faut déjà posséder un solide orgueil ainsi que certaines connaissances permettant de « biaiser les lois de l’âme » et fausser ainsi les rapports humains.

Pourquoi je vous raconte cela ici et maintenant ? D’abord parce qu’On me le demande, ensuite parce que je sais quel est le prix à payer pour celui ou pour celle qui use de ce subterfuge anti-fraternel et anti-spirituel au possible.

Savoir c’est pouvoir, dit-on.

 

Je vous fais donc ce cadeau empoisonné qui vous interdira, désormais, de tromper votre prochain à votre sujet. Et si vous le faites malgré mes avertissements et votre connaissance des faits, la réaction de l’énergie animique (de l’âme, donc) en vous, ne se fera pas attendre ! Mais vous êtes de grands garçons et de grandes filles, désormais, non ? Alors vous ne devriez plus ressentir ce besoin compulsif et narcissique au possible, de vous justifier voire de vous valoriser aux yeux d’autrui.

 

Il est clair que l’on peut tromper son prochain, même un véritable initié incarné, mais il est hors de question de réussir à tromper ceux qui, sans un corps de chair, lisent dans le cœur et dans l’esprit des hommes et des femmes qu’ils se sont généreusement proposé d’aider et de guider….

Plus personne n’enseigne les danger de la tromperie du Mensonge à Soi

 

Plus personne ne parle du prix qu’il faut payer ensuite pour compenser les dégâts psychologiques occasionnés bien involontairement, le plus souvent. Alors je le fais, une fois, ici et à présent, puis on n’en parlera plus, OK ?  Voilà, c’est fait !

Cela dit, si d’autres désirent encore donner leur avis au sujet de notre demande de mettre une véritable photo en guise d’avatar, ainsi que de bien vouloir indiquer leur vrai lieu de résidence, qu’ils ne se gênent surtout pas, car vous savez aussi bien que moi que c’est de la discussion que vient la Lumière.

Et essayez un peu de vous détendre et de ne pas croire que votre vie sociale et intime fascine littéralement l’ensemble des anges et archanges de l’univers !
Quoique… (hihi)

S’observer Soi

 

Je sais que d’apprendre à s’observer soi au lieu d’observer les autres pour essayer de leur transférer nos propres problèmes, est devenu bien plus plus qu’un simple challenge. C’est une chose tout simplement impensable pour le Français moyen, qui est à l’hypocrisie ce que Victor Hugo est à la littérature.

Malheureusement, ici (sur l’ancien forum Psukelogos, donc) on ne fait QUE de la Psychologie Ésotérique ET NON de l’ésotérisme (ou de la spiritualité) de bon ton (l’étude de sujets qui ne dérangent pas.)

Le forum Psukelogos, ainsi que les sujets  » hots «  qui y sont parfois abordés, sont pour les êtres forts et courageux, pas pour les gens qui se donnent bonne conscience et se disent spiritualistes dans l’espoir immature de se démarquer du troupeau. Et si en lisant mes paroles écrites VOUS avez le sentiment d’être jugé(e), dites-vous bien que c’est VOUS qui vous jugez tout seul et à partir de ce que vous sentez en vous-même. Alors par pitié, assumez-le au moins une fois dans votre vie !

 

Psukelogos est un forum qui est entièrement consacré à la psy éso, ce n’est donc pas aux membres de la Team de s’adapter à ceux dont la pression interne personnelle menace de leur faire péter un câble mais bien l’inverse. Nous partageons un savoir, nous ne pratiquons pas la prostitution mentale.

Quand je suis invité chez une personne, je ne me permets jamais d’émettre la moindre critique sur sa manière de se comporter ou de décorer son intérieur, par exemple. Si je ne suis pas capable d’apprécier les choses en l’état, je vais tout simplement chez un autre ami dont les goûts correspondent plus à mes attentes, du moins si ces dernières ont eut définitivement raison de mon jugement et de mon libre arbitre.

 

Pour ceux qui nous auraient fait l’honneur indicible de lire un ou deux textes de la partie administrative du forum (règlement intérieur, us et coutumes, etc.) il paraît évident que ce forum n’abuse et n’abusera jamais de ses prérogatives.

Il a un article précieux et rare à « vendre » et il le vendra que cela plaise ou non à quelques uns. Il possède ce droit, car il ne force personne ni à venir, ni à rester. Et je crois bien que c’est ce dernier point qui rend cinglé quelques-uns qui aimeraient tant qu’on les retienne, qu’on les pousse, force, etc.

Pourquoi ? Simplement pour tenter de justifier leurs problèmes, pour les rendre moins responsables d’eux-mêmes et pour, en fin de compte, laisser durer cette double insanité qui se nomme « C’est grâce à toi si… » ou « C’est à cause de toi que… »

Les gens se disent libres et ne supportent pas qu’on leur impose quelque chose, mais c’est en affirmant qu’ils vont bien « grâce à » ou qu’ils vont mal « à cause de » qu’ils trahissent leur manque total de liberté. Car quand on est libre, on ne dépend plus de personne pour assumer le bien et le mal que nous abritons encore.

 

Pour ma part et celle de Lætitia, ma précieuse compagne dans la vie comme dans l’Universel, nous n’avons jamais compris cet état d’esprit qui consiste à râler lorsqu’un endroit que l’on a soi-même choisi de visiter, ne correspond pas à nos attentes.

A croire que cet endroit est le seul que la vie, dans son désir de tyrannie continuelle, leur a imposé ! Qui s’impose quoi, quand celui qui se dit offusqué persiste à côtoyer ses  » offusqueurs «  ?

Les gens se vexent lorsque je leur dit que la porte de ce forum demeure ouverte dans les deux sens et qu’il leur suffit de cliquer sur le « X » blanc sur fond rouge, en haut et à droite de la fenêtre de leur explorateur, pour que cesse leur souffrance intime qui leur est « infligée » chez nous (sic)

Cela les met dans une colère noire, car ils réalisent alors leur incapacité à faire cesser une souffrance qu’ils croyaient liée à un évènement extérieur, une personne, une condition, un lieu, etc.

Du coup, ils ne sont plus aussi importants et leur avis semblent ne plus intéresser qu’eux.

 

Mais généralement, les gens qui se prétendent « dérangés » (ce qui est absolument le cas) ne partent pas et préfèrent faire suer des dizaines d’autres membres plutôt que d’avoir l’humilité de s’adapter ou de partir avec panache. Ou alors ils partent, en claquant la porte et en laissant derrière eux quelques sécrétions verbales bien odorantes, afin de nous faire sentir leur mécontentement.

Un peu comme si de leur avis personnel et définitif, dépendait le destin des êtres et des choses. Ces personnes-là sont oubliées deux minutes après, bien entendu, et leurs fientes égotiques immédiatement effacées.

 

Je sais bien que le manque de simplicité et le besoin de se valoriser sans cesse est de rigueur à notre époque de transition, mais je sais aussi que si les gens apprenaient un peu à S’AIMER EUX-MÊMES et à ne plus SE JUGER, ils n’auraient plus, ensuite, à jouer les boulets de première, pour ce reste de l’humanité ayant l’infortune de croiser leur chemin.

Suis-je dur ? Possible, oui, mais moins que ne le sont envers eux-mêmes ceux auxquels je me réfère ici. Suis-je impartial et objectif ? Absolument ! L’objectivité véritable pique le cul des concernés et les font bondir d’indignation. Et c’est parce que les gens adorent et préfèrent qu’on leur mente, que le franc-parler des psy éso leur défrise la boîte à réflexion.

 

Vous remarquerez que ceux qui déclarent en avoir marre qu’on leur impose ceci ou cela, sont TOUJOURS ceux qui alimentent le plus les débats. Ils répondent du tac au tac, sans prendre le temps de souffler ni même de réfléchir, comme si leur réponse pouvait décider de leur avenir ou qu’il s’agisse de quelque joute verbale dont puisse dépendre leur propre vie. Sans doute espèrent-ils ainsi que les administrateurs du forum Psukelogos – qui sont les propriétaires et seuls décideurs – leur laissent le luxe inouïe d’exprimer leur mécontentement en leur laissant le dernier mot (vous savez, comme les marmots, quand ils se disputent !)

Évidemment, si ces mêmes personnes étaient Admins de leur propre forum, elles trouveraient alors déplacé qu’un simple membre veuillent « se la péter » et essayer d’avoir le dernier mot « chez eux » ! C’est en somme « Fait ce que je te dis, pas ce que je fais » ou mieux encore :

Faisons à autrui ce que je détesterais qu’il me fasse à moi-même.

 

 

Depuis que notre forum existe (2006) – et les anciens s’en souviennent – nous avons eu affaire de nombreuses fois à ce genre d’état d’esprit ringard au possible et totalement inadapté aux Énergies de Vie qui s’en viennent (2012 et +)

C’est pour ces états d’esprit que je parle, en général.

Mais je veux bien laisser à chacun, la liberté de le prendre pour lui-seul, si cela peut lui faire plaisir. Bien sur, je m’inspire de faits réels voire d’évènements en cours, pour écrire articles et posts, et de cela, chacun en est conscient.

Mais disons, pour être franc, que je ne m’intéresse pas à ces personnes à proprement parler mais seulement à leur état d’esprit.

Pourriez-vous non seulement comprendre cela mais, en plus, prouver votre compréhension en n’essayant plus de vous battre contre vos moulins à vents mentaux ? Ce serait chic ! 

 

Ce sont ces états d’esprit que je condamne et montre du doigt sans aucune pitié, pas les personnes qui s’en font les portes-flambeaux.
Si vous comprenez ces dernières paroles, vous ferez un bond colossal dans votre propre évolution, car vous placerez enfin votre susceptibilité humaine à l’abri du besoin de se défendre toutes les trente secondes. Si vous saviez à quel point cela fera des vacances à vos proches ! Je vais le redire pour les malentendants :

Vous n’êtes pas ce que vous pensez et ressentez sans cesse (états d’esprit) vous êtes cette conscience d’Être que certains appellent le Christ et d’autres, comme moi, Shiva. (Mais vous pouvez aussi bien l’appeler « Le Concombre Masqué », si ça vous chante)

C’est parce que vous vous IDENTIFIEZ à vos processus mentaux incessants et extrêmement brouillons, que vous croyez…

Qu’il vous arrive quelque chose à VOUS !

 

Mais c’est faux ! Il arrive simplement que VOTRE état d’esprit se heurte à un autre état d’esprit et s’y oppose, ce qui provoque des réaction émotionnelle en vous, voilà tout. Soyez logique un moment : vous ne rencontrerez sans doute jamais les gens avec lesquels vous pourriez vous « friter » sur internet ! Vous ne pouvez donc ni « les aimer », ni même « les détester », car vous ne les connaissez pas et ne les connaîtrez jamais. Surtout si vous êtes assez con pour les juger aux mouvements incontrôlés de votre propre esprit !

Par contre, vous pourriez bien adorer ou détester ce que vous ressentez en vous lorsque vous êtes en relation avec d’autres internautes.

L’idée fait un peu son chemin ou on continue à entretenir l’idée très avantageuse POUR VOUS que l’enfer, c’est les autres (dixit JPS) et que le forum Psukelogos est une secte dangereuse dont le vilain gourou qui la dirige, possède un pouvoir incroyable de vous faire devenir con, alors que vous ne l’étiez pas déjà et avant de l’avoir connu ? (m’ouarf ! )

 

Perso, le rôle de gourou (de secours) m’amuse, non pas par le titre ou par les infâmes détritus mentaux qu’il implique et véhicule désormais, mais du fait que ceux qui pensent cela devront tôt ou tard fournir des preuves substantielles, des exemples concrets et démontrer que, à un moment donné, des petites mains griffues se sont saisies de leur âme pour la croquer sans pitié

Je me réjouis, il est vrai et à l’avance, de ce jour où ils passeront définitivement pour des cons. Cela rend patient et sage, vous ne sauriez l’imaginer ! Bon, il faut bien se marrer un peu sur le dos des plus faibles, non ? Ah non, c’est mal ? OK, je ne le ferai plus, alors, c’est promis, Monsieur le Curé

 

Allez, puisque j’y suis de mon post en forme de pavé, comme d’hab’, voyons un peu ce que je pourrais bien vous apprendre de nécessairement vexant sur vous-mêmes au sujet du fameux « noyau dur » de l’âme dont certains font semblant de ne pas comprendre la légitimité.

Comme le savent les plus intelligents, la vie est ainsi faites que nous pouvons aimer ou apprécier certaines personnes plutôt que d’autres. Nous parlons alors « d’atomes crochus » tandis que les jaloux et les hypocrites, se bornent à parler de favoritisme.

La nature humaine nous pousse gentiment à préférer tout naturellement ceux qui nous ressemblent, qui pensent comme nous, peu importe d’ailleurs la manière et le contenu de cette façon de penser. Alors, que ce soit dans la vraie vie, sur le Web ou sur le forum Psukelogos, des amitiés et de fortes sympathies se créent et, bien entendu, ceux qui abritent la trouille bleue de se faire larguer, rejeter, etc. se font un devoir de beugler au scandale et trouvent tout naturel et en toute modestie, que ce soit tout un groupe qui s’adapte à l’expression égocentrique de leur souffrance intime.

Du coup, ce qui était naturel voire désiré par la Grande Vie, devient déplacé et mal venu ! Fallait y penser, non ? Quels sont LES FAITS ? (pour les parano, prière de consulter un psychiatre.)

 

Les faits sont très simples : sur notre forum, une douzaine au mieux de membres se connaissent physiquement, s’apprécient et se groupent régulièrement pour connaître ce plaisir chaque fois renouvelé, de leur présence mutuelle. Du moins est-ce ainsi, pour le moment.

Ceci est TRÈS PRÉSENT, très facile à ressentir quand on arrive sur « Psuké« . C’est palpable, je dirais. Et comme de bien entendu, ceux qui souffrent de quelques soucis relationnel et/ou affectifs, se sentent littéralement agressés par cette aura d’affection mutuelle MAIS… Forcément limitée.

Cela ne signifie pas que nous n’aimons pas les autres ou avons à cœur de leur faire sentir que leur seule présence nous emmerde copieusement; cela signifie que nous connaissons une relation intime et affectueuse, avec celles et ceux qui partagent nos secrets les plus intimes. Qui est vraiment incapable de comprendre cela ?

Le fait que nous soyons, par le plus grand des miracles, réunis tous sur le même forum, signifie simplement que nous partageons tous la même PASSION, en plus de la même tendresse. Donc, et pour vous éviter de vous sentir un peu moche, si vous croyez un jour que vous êtes « rejeté » par un groupe quelconque, posez-vous alors cette question terriblement couillue :

Qui sent et croit cela ? Où est-ce ressenti et qui ressent ce rejet et croit en une origine extérieure ?

Et là vous comprendrez à qui il revient de s’adapter à qui, de la personne individuelle un brin paumée ou des groupes spirituels déjà soudés depuis des lustres, voire plus. 

*******

Il est important que vous fassiez cesser MAINTENANT le risque toujours présent pour TOUS de « l’escalade égotique » (l’ego qui prend les rênes et dirige votre vie.) Dans le cas contraire, vous serez un jour comme ce type anéanti, assis par terre sur un parking de supermarché, avec deux flics qui l’entourent, et qui tient encore un démonte-pneu couvert de sang dans sa main droite. Il vient de fracasser le crâne d’un automobiliste qui avait « osé » lui piquer « sa » place de parking sous son nez ! (Fait hélas authentiques.)

Je sais, oui, vu de l’extérieur, comme ça et bien à l’abri derrière son écran et peut-être de bonne humeur pour le moment, ça peut faire sourire, oui… Et puis il est bien connu que ces choses là n’arrivent qu’aux autres ! Cela aurait certainement fait sourire quelques jours avant, ce brave homme au démonte-pneu ensanglanté, qui était marié et père de famille, et pas plus violent ou mauvais que vous et moi. Mais lui ne rira plus, désormais, et il ne sera plus jamais nécessaire de le convaincre par des mot ou des techniques de psychologie ésotériques, que :

l’ego, lorsqu’il est laissé sans surveillance, peut se transformer en une Bête immonde capable des horreurs les plus inimaginables.

 

Alors faisons comme si nous étions sages, intelligents et désireux de Briller d’une véritable Lumière, celle de LA CONSCIENCE.
Agissons comme ceux qui n’ont plus besoin de vivre les horreurs de la guerre, les viols, les massacres et autres barbaries, pour réussir à comprendre ce qui peut leur en coûter de ne pas tenir la Bête en laisse.

Que croyez-vous que symbolise vraiment « la Bête de l’Apocalypse », selon vous, hum ? Apocalypse signifie Révélation, du Grec « Apocalyptos. » Mais de quelle Révélation est-il question ? De notre Nature Divine ? Si ce n’était QUE cela, l’homme en aurait-il si peur ?

Non, cette Révélation, comme toutes choses, ne peut être que double et c’est la seconde partie qui effraye tant l’être humain, surtout s’il est un initié. Car il SAIT lui, que l’homme peut aussi bien être un ange qu’un démon affreusement cruel et sanguinaire, un monstre en somme !

 

Voilà pourquoi les gens ont peur et affirment avec un peu trop d’empressement qu’ils sont « plus près de Dieu que de l’homme. » On s’imagine bien pourquoi ils ont tant besoin d’en convaincre les autres ! Mais il est inutile d’avoir peur alors qu’il est seulement question d’apprendre à maîtriser un animal fougueux sans pour autant le brimer ou le blesser inutilement. Un animal qui ne souffre pas n’est pas dangereux. Cette fameuse « Bête » dont parlent les versets de l’Apocalypse, est-ce l’ego ? Oui et non !

Oui, parce que tout part de lui, il est vrai. Non, parce que l’ego seul ou pris comme vecteur naturel et souhaité de l’expérimentation humaine, n’est PAS dangereux en soi. Du moins pas à ce point là.
La fameuse Bête, à laquelle « le Dragon » donne naissance, c’est en fait le résultat d’un intellect (Dragon) surchargé devenu incapable de gérer ses émotions, qui ramène tout à lui, sans cesse, et qui devient complètement parano et projette son combat infernal intime sur l’extérieur et sur les autres. (sortir de l’onde, en termes bibliques.)

 

Essayez de comprendre que depuis des siècles, ce que vous êtes et rendez manifeste et qui a pris tant de visages différents, au cours des millénaires passés, s’est fourvoyé dans LE MENSONGE, la duperie et le besoin de séduire les autres afin de pouvoir mieux les contrôler. Et vous croyez qu’après tous ces efforts, cette partie de votre âme va se laisser découvrir, mettre à nue et rejeter sans piper mot et sans broncher ?
Vous avez fumé ou quoi ? Soyons logique : Après tout ce temps c’est établi en vous un mécanisme de défense imparable qui consiste à NIER, jusqu’à la mort s’il le faut, que vous abritez le mensonge et la tromperie face à vos semblables.

 

D‘ailleurs, et à une époque assez éloignée, mentir et tromper était le seul moyen de survivre, c’est un fait. Mais ce n’est plus le cas et votre « Soldat intérieur » s’aperçoit à présent que vous désirez vous passer de lui, malgré sa fidélité à toute épreuve et, croyez moi, il ne rendra pas ses armes sans se battre jusqu’à la mort. Alors voici les faits.

Je vous parle comme à des adultes et non plus comme à des enfants à qui il faut cacher jusqu’à l’existence même du mal :

Celui qui fut votre plus puissant allié va devenir bientôt votre plus mortel ennemi !

 

Il connaît vos intentions de Lumière et il compte bien vous empêcher de parvenir à vos fins.  Car pour que vous deveniez authentiques et véridiques, il faut que lui meure, c’est évident ! Le soldat va se transformer en Bête et va essayer de s’assoir à votre place sur le Trône de Pouvoir (diriger, contrôler, décider.) Allez vous le laisser faire, le laisser gagner, ou allez-vous mater la Bête et lui montrer QUI EST LE VÉRITABLE MAÎTRE ?

Vous vouliez savoir ce qu’étaient vraiment les Maîtres et la Maîtrise, ainsi que ce qu’ils avaient bien pu faire ou accomplir de valeureux pour mériter ce titre honorifique ? Réjouissez-vous : vous allez très bientôt le savoir !

Savoir surtout ce qu’il en coûte d’être un Maître, un vrai !

Et vous verrez alors que cela n’a rien à voir avec le tableau féérique que vous en avait dépeint votre Moi-Idéalisé ! Vous allez devenir Maître… de la Bête, en vous ! Ou alors c’est elle qui gagnera, une fois de plus. Et vous reviendrez pour recommencer, au lieu de revenir pour jouir simplement de la vie et apprendre de toutes ses splendeurs.

 

Lisez le passage de l’apocalypse de Jean qui parle de « la Dame revêtue de soleil avec la lune à ses pieds » (l’âme humaine) qui se fait dévorer par la Bête. Je vous fais la promesse que, très bientôt et avant que ne soit passée une année complète, vous serez confrontés à cette Bête Immonde (la folie d’un ego non maîtrisé) sortie de l’Abîme (inconscient collectif, sa partie « poubelle« .)

Vous y serez confronté deux fois et selon la Loi : la première fois avec la Bête d’un autre (ou des autres), la seconde avec la votre propre. Et à ces moments, vous penserez à ce forum, à son contenu et à la force qu’il aurait pu vous insuffler si vous aviez pris un peu plus au sérieux cette phrase apparemment innocente, voire burlesque :

Il ne vous arrive rien à vous !

 

Ajoutons que, pour la première fois de son histoire, l’humanité va pouvoir réaliser à quel point l’expression « se montrer philosophe » est devenue vitale ! Le mental a du mal à lutter lorsqu’il est question pour lui de nier des vérités belles et nobles précédemment entérinées comme « éternelles » par le subconscient. Par exemple, nous avons presque tous une vision positive au sujet de notions telles que « le sens de l’honneur », « le droit de réponse », « la réputation », etc.

Lorsque la vie vous interpelle, en général sous le masque peu ragoutant d’un individu haineux et vindicatif, ce sont ces schémas comportementaux qui « répondent » en vos lieu et place, et PAS VOUS. Mais comme vous êtes généralement « en accord » avec vos réactions les plus courantes, vous croyez alors qu’elles viennent de VOUS, ce qui est faux. On appelle d’ailleurs cela réagir, n’est-ce pas ? Or, la simple réaction est de nature autonome et ne nécessite ni la réflexion, ni le bons sens et encore moins l’intelligence et la sagesse ! Retenez bien ce qui suit :

Lorsque vous réagissez au comportement ou aux paroles d’autrui, vous perdez immédiatement votre libre arbitre !

 

En clair, ce qu’il adviendra dès ce moment et en rapport avec votre réaction, ne vous appartiendra plus et vous n’aurez plus aucun contrôle dessus.

Le contrôle est toujours avant l’acte ou la réaction, jamais après.

Les gens les plus réactifs sont ceux qui ont une trouille bleue d’entendre à l’extérieur et aux oreilles de tous, ce qu’ils pensent eux-mêmes et en secret à leur propre sujet.

C’est pour cela que par le biais d’une banale mais adroite discussion, il est possible de faire ressortir la plupart des schémas en une seule fois.  Ce ce que vous « subissez », en général, en arrivant sur le forum et parfois même après, de manière discrète mais Ô, combien efficace, par le biais de thèmes apparemment très généraux mais qui ont le pouvoir d’appuyer là où ça fait mal.

Chaque fois que quelque chose en vous bondit comme un ressort, prenez la SAINE ET HONNÊTE habitude d’oublier deux secondes l’extérieur et les autres pour vous concentrer à l’intérieur de vous et de vous questionner, au lieu de questionner hypocritement les autres et leur offrir automatiquement le rôle du salaud de service.

 

Là où ça fait mal, la plupart des gens n’aiment ni qu’on y appuie, ni même qu’on en parle. Surtout pas qu’on en parle ! Nos Amis Invisibles, que je nomme affectueusement « Les Mages Rouges, » et qui m’ont inspiré la création du Forum Psukelogos, il y a quelques années, m’ont aussi conseillé d’aider un peu les plus menteurs parmi les futurs membres à admettre leurs faiblesses, pourtant aussi humaines que légitimes.

 

Lætitia et moi-même sommes né avec, dans notre âme, cet Art peu apprécié qui consiste à lire dans l’esprit (moi) et dans le cœur des hommes (elle), comme dans un livre ouvert et de savoir spontanément choisir les mots écris ou parlés capables de faire réagir « la Bête » (la partie la plus compulsive de l’ego.)

Les plus anciens sur ce forum pourraient témoigner de ce que ça peut donner d’épique et de franchement burlesque avec certains, complètement bouffés par leur ego, c’est à dire la partie en souffrance de leur « moi » humain (et non pas leur orgueil.

Lætitia fournit l’énergie Vitale (et parfois astrale) et moi l’énergie mentale et les deux combinées offrent la plus grande partie de la Shakti (Pouvoir, en sanskrit) que certains sont devenus capables de ressentir sur le forum. Le reste de la Shakti, non négligeable, est fournit par les membres actifs et réguliers qui ont su s’intégrer et aller dans le même sens que les énergies en présence. (Ce qui n’est pas le cas de tous, même les anciens.)

 

Du coup, la manière antique et dépassée qui consistait à recevoir « Shaktipat » (littéralement : « donner le pouvoir » : transmettre la Force Divine pour allumer la Flamme) s’est transformée pour s’adapter à notre époque, notre mentalité et nos conditions d’existence sociale et familiale. Plus besoin de courir après un Maître authentique pour recevoir la Force et le Pouvoir (Shakti) de se Réaliser plus vite : un simple forum peut très bien remplir ce rôle avec, en prime, le moyen de former de petits groupes parmi les plus passionnés, ceci « afin que chacun reçoive selon sa foi et son ardeur à connaître vraiment. »

Ce forum est un « essai« , une tentative « gratuite » (sans conséquences) : si ça marche, d’autres forums (ou fora) semblables fleuriront ça et là aux alentours de 2013/2014. D’autres groupes se formeront, animés par d’autres Amis de l’invisible, et la chose deviendra commune et et acceptée d’un certain nombre.

Le Deal de départ est assez simple : les Mages Rouges font en sorte de nous « envoyer » ceux qu’ils suivent de près ou de loin, depuis plus ou moins longtemps, et qu’ils jugent CAPABLES (théoriquement) de dépasser leurs conditionnement mentaux et les réactions émotives qui en résultent.

 

Notre but (ou partie du Deal) à nous est avant tout de placer chacun face à ses responsabilités, cela en faisant volontairement et assez rapidement remonter les mensonges les plus débilitants. (Ceux qui affaiblissent l’âme et la rendent dépendante d’autrui.)

Cela dit, lorsque nous constatons qu’une personne devient hargneuse ou ne désire pas vraiment s’améliorer (en général, trois personnes sur quatre) nous passons alors d’une extrémité à l’autre et nous désintéressons complètement de son cas. Ce comportement, jugé parfois un brin extrémiste, provient du fait que nous agissons « par plaisir » et non « par devoir », que nous ne devons rien à personne et que nous conservons en tout temps notre libre arbitre et ne sommes tenus à aucun « quota » de réussite ou d’échec.

De plus, aucunes émotions ne dicte notre comportement qui relève d’un mental devenu froid et donc efficace, et plus d’un cœur fragile et aimant à tort et à travers, sans discernement aucun.

*******

La sagesse est la seule chose au monde capable d’équilibrer l’amour et l’empêcher de devenir compulsif et aveugle. D’ailleurs, nos Amis de Rouge Vêtus ne considèrent pas ces choses avec le même point de vu humain et affreusement limité que nous. Pour eux, celui qui veut BOSSER mérite aide et attention bienveillante, tandis que ceux qui font seulement semblant ne doivent pas nous faire perdre notre temps et notre énergie, deux choses terriblement précieuses aux yeux des plus méritants. C’est logique, juste et sans appel. Sauf pour les concernés, les feignants, qui se sentent un brin blousés au passage, mais c’est leur problème.

Il faut savoir que, en toute logique, et même si nous « aimons notre prochain » (sic) nous n’avons aucun intérêt personnel à nous faire mal voir ou même détester gratuitement ! Si encore nous pouvions toucher du fric en retour, mais ce n’est ni le cas, ni même notre intention première. Du moins, encore pour un temps.

Nous agissons « pour l’amour de l’Art » et parce que nous sommes passionnés de psychologie (la vraie, celle qui transforme les âmes et les rend libres, pas celle qui enferme encore plus.) Ainsi, nous réservons donc notre « don » (prouuut !) à ceux et celles qui nous paraissent le mériter. Car tout se mérite, même le bonheur d’être libre et en paix. Ce qui a fait dire à un ami, il y a de nombreuses années :

 » Toi, tu n’emmerdes que les gens que tu aimes et que tu respectes vraiment ! « 

Ce qui est vrai en partie, même si la formulation laisse un peu à désirer. Pour ce qui est de définir « qui mérite quoi », nous n’avons jamais à juger, car les gens le font eux-mêmes et infiniment mieux que nous ne saurions le faire !

Pourquoi je raconte toutes ces choses là ici et maintenant ?
Premièrement, parce qu’On me le demande. Deuxièmement, parce que je suis très souple mentalement et voue une confiance absolue et un amour inconditionnel à certains parmi mes Frères et Amis de l’Invisible.

Et troisièmement, parce que vous demeurez libres de nous croire, Lætitia et moi, ou de nous prendre pour des cinglés ou d’orgueilleux personnages, à votre convenance !

Les vibrations saines ou malsaines de vos propres pensées, ne feront de bien ou de mal qu’à vous, puisque c’est VOUS et EN VOUS, que VOUS les entretiendrez, en esprit et dans VOTRE mental.

Au cas où, je vais le répéter encore une fois, histoire de bien vous faire suer : de toutes manières, c’est à VOUS et à VOUS SEULS que VOS pensées feront du bien ou du mal SELON leur nature, pas à nous

Il ne nous arrive jamais rien à nous !

Être libre, c’est vraiment… Euh… Libérateur, je dirais !

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Je dis qu’il faut essayer de NE PLUS se laisser piéger par la force compulsive de l’ego, car une fois la chose faite, le piège tendu avec nous dans ses filets, il faut une force de caractère vraiment hors du commun pour faire machine arrière et reconnaître ses torts. On appelle parfois cette incapacité à revenir sur ses pas « la fierté mal placée », mais c’est de toutes façons une forme de fierté très conne, qui abaisse plus qu’elle n’élève, même à nos propres yeux. Comme le temps nous le prouve à chaque fois.

Le temps explique tout.

Voyez tous ces membres de passage « vexés à vie » et qui ne sont jamais plus revenus, une fois leur « crise existentielle » passée. En fait, elle n’est jamais passée et ne passera plus, du moins, de cette vie. Le fait de perdre la mémoire des autres vies du Soi Naturel, sert surtout à effacer des « dettes » à la con que l’ego ne saurait « se pardonner. » A cause du Moi-Idéalisé, oui.

 

Bref, agissez AVANT car après, vous aurez toutes les peines du monde pour revenir sur vos pas, à conditions, bien entendu, que la vie et les autres vous en laissent l’occasion.

Ne vous prenez plus autant au sérieux, ni vous ni les autres, d’ailleurs, et vous verrez les vacances que cela vous fera ! Sans parler des vacances que cela fera à vos proches !

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( Nota : A propos du PRP, ce Processus de Réforme Psychologique, qui permet de se libérer de nos carcans intimes et de faire définitivement sauter nos murailles intérieures…)

La meilleure façon de débuter, c’est de le faire tranquillement, en toute quiétude, sans croire qu’il est question de reconstruire la grande muraille de Chine. Bien sur, l’intellect qui est devenu le fidèle valet de l’ego chez la plupart, aimerait bien laisser entendre que           » l’entreprise est périlleuse et loin d’être gagnée d’avance.  »

Plus vous penserez que ce que vous devez affronter est sérieux, grave et important, plus vous ferez les beaux jours à la partie la plus compulsive de l’ego que nous appelons ici (pour se marrer) la Bête.
Comme j’aimerais que vous compreniez cela !

 

Bien sûr que la Bête est TRÈS MOCHE, mais est-ce votre faute si Dieu n’a pas fait les Beaux-Arts ? Tout est et DOIT être, au sein de l’univers infini, même ce qui ne saurait trouver grâce à nos yeux. Alors il nous faut « faire avec », comme on dit. La Bête existe, OK, elle est moche, OK, mais elle peut exister « ailleurs » et être moche « pour quelqu’un d’autre que nous » !

Se pisser dessus à la seule idée de la Bête, revient à avoir peur de passer trop au bord d’un précipice et d’y tomber, alors que notre chemin ne passe et ne passera jamais par ce précipice, ou même ses environs ! On appelle cela « l’attraction morbide », en psy éso (et même en psy académique, il me semble, demandez à vos profs d’académie préférés.)

Ce qui est moche et malsain, bien « caca, » nous attire comme un véritable et puissant aimant !

 

Ne vous laissez plus fasciner par le Mal et le Laid : fixez plutôt votre attention sur tout ce qui élève l’âme, car c’est elle qui est à la fois le problème et la solution (le fameux Principe du Serpent, pour ceux qui se souviennent.) Et ne confondez plus l’âme et le Soi Naturel : l’âme, c’est « ce qui vous anime«  (de « animus » et « anima », en Latin), c’est-à-dire et tout simplement vos pensées et les émotions (ou sentiments) qui en résultent. Quand au Soi, c’est votre identité de vies en vies, ce que vous êtes en vérité et qui évolue après être descendu en fréquence pour simplement incarner un état d’esprit (la fameuse chute Adamique ou des Anges.)

Pour ce qui est du Soi Divin, il est votre Identité future, éternelle et Divine, parfaite et absolue, « Ce que vous étiez déjà au commencement des temps mais sans le savoir » et « Ce que vous serez à chaque instant, tout le temps. » Ce genre de sujet est plus compliqué à décrire (ou à expliquer) qu’à saisir intuitivement (gare au trou du culte d’intellect !)

En vérité, il n’existe qu’une seule chose, et c’est VOUS, mais ce « vous » fonctionne sur tant de niveaux différents et simultanés, que selon où se focalise votre attention mentale, alors vous existez selon un angle et point de vue différent, voire à une époque différente. Essayons de résumer un peu tout ceci.

** Le Soi Divin, c’est votre Identité Globale mais future, jamais atteinte. C’est VOUS si vous étiez déjà complet ou quand vous le serez, si vous atteignez cet État un jour (ce qui est peu probable.)

** Le Soi Naturel, c’est cette partie du Soi Divin qui s’est impliquée dans la Création et l’Aventure humaine (disons un petit 10% de l’Être Global) et qui se réincarne, de vies en vies en conservant sa conscience identitaire. (En réalité, toutes les incarnations se produisent en même temps, mais pas à la même cadence vibratoire, mais chut, on verra ça une autre fois.)

** La personnalité, c’est cette partie du Soi Naturel qui est investie dans UNE SEULE incarnation linéaire à la fois.

** Le caractère est la modalité d’expression d’une personnalité donnée, ses caractéristiques qui font d’elle un être différent et unique.

** Quand à l’âme, elle consiste en la somme spirituelle et énergétique de l’expérience vivante et consciente de toutes les vies (linéaires et simultanées, donc) et elle est unique pour toutes les personnalités et pour le Soi Naturel. L’âme se résume à de puissants égrégores mentaux et astraux, à tous les caractères de toutes les personnalités prises comme un tout. Vous n’avez pas une âme en propre mais la même pour toutes les personnalités simultanées ou linéaires, selon l’angle de vision abordé. Toutefois, un des « départements » (section, portion) de cette « Sur-Âme » (ou Âme Globale) vous est réservée. Est-ce un peu plus clair exposé ainsi ? Pour les réfractaires, je donnerai (à la demande) des détails plus poussées et techniques qui prouvent bien que l’âme n’est pas l’individualité ou la partie la plus divine, comme le croient, hélas, des millions de gens, encore et de nos jours.

 

Je sais très bien que la religion catholique à foutue la merde avec sa définition erronée de l’âme, à tel point que, par la suite, même les initiés y allaient de leur petite confusion et prenaient l’âme pour la partie la plus « saine » et divine de l’être. Ce qui est LOIN d’être le cas ! Dans l’âme repose toute la compulsion humaine et… La fameuse Bête ! (brrrrrr !) Bien, allez, faites-moi un sourire, pétez un coup ou buvez un cognac, puis détendez-vous : c’est l’âme qui vit et réagit à votre place (vos processus mentaux et ceux de toutes les autres extensions) PAS VOUS ! Oserais-je l’écrire une fois encore ? (Ben tiens, je vais me gêner !)

Il ne vous arrive RIEN à vous !

 

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(Pour répondre à une question d’une membre 🙂

[…] et donc, pour creuser un peu plus le sujet, pourrais tu parles du karma? Est ce le résultat de la somme d’actions, d’intentions et de pensées émises par l’âme? Tant qu’a y être, j’aimerais BIEN comprendre.

J‘ai déjà traité le sujet dans un post, il y a deux ou trois jours à peine. Un post en cours… Mais je veux bien me répéter ici (rah la la ! Qu’est-ce que je peux être gentil, en plus de très beau !) Cela permettra à certains Rouges de faire passer un petit message qui semble leur tenir à cœur. Mais d’abord « On » va répondre à notre chère amie [ici le nom du membre]

Le mot Karma seul ne veut rien dire, bien qu’on le traduise généralement (et très mal) par « action » (bof !) Question :

A-t-on déjà vu une action qui ne soit pas précédée d’une pensée ?

Si vous en trouvez une, faites-moi signe, surtout ! Et téléphonez au Livre Guinness des records ! Les anciens Maîtres n’auraient pas été assez mous du bulbe pour confondre un effet avec sa cause !

L’action provient toujours d’une pensée préalable

Pour bien comprendre de quoi il retourne, il faut coupler le mot sanskrit « Karma » à un autre mot sanskrit « Chitta », qui signifie esprit.

Karma veut dire mouvement. Karma Chitta signifie donc :

Mouvements de l’esprit.

 

C‘est une allusion à peine voilée à nos processus mentaux ! Tout simplement et pas plus. La Loi Ontologique impliquée affirme :

 » Nous vivons le contenu de nos pensées. « 

Si nos pensées sont tristes, nous ressentirons de la tristesse et nous vivrons ensuite dans la tristesse. Du moins, aussi longtemps que nos pensées demeureront identiques. Mais pas un jour après ou la vie d’après, mais en simultané avec la pensée. La Loi en présence :

 » Causes et effets sont simultanées, dans le temps et dans l’espace… « 

C’est la NATURE de la pensée, son contenu formel (ce qu’elle raconte, donc), qui conditionne notre ressenti (émotions, sentiments) et donc, notre vécu.

Ce que nous vivons est conditionné par ce que nous pensons.

 

Karma Chitta est ce qui explique notre vécu. Si ce que nous vivons nous déplaît, il suffit de penser autre chose (ou autrement) et notre vécu change en conséquence. Mais comme il est difficile de penser autre chose que ce que l’âme contient comme enregistrements mentaux inconscients, alors le vécu des extensions d’un même Soi Naturel, ne varie guère, d’une vie à l’autre. Ce qui laisse à penser que ce que nous vivons, maintenant, provient de ce que nous pensions, jadis, n’est-ce pas ? Mais ce n’est PAS le cas !

 

Ce que notre Soi Naturel pensait, sous une autre forme (incarnation), notre Soi Naturel le pense ENCORE, mais sous la présente forme (nous.) De ce fait, à travers nous (l’actuelle personnalité), notre Soi revit les mêmes effets. Voilà qui est bien plus rationnel. Le Soi s’attache à ses processus mentaux les plus significatifs de son identité. il s’identifie plus ou moins à tous ce qu’il pense, allons nous dire. Et bien souvent, il s’attache à une manière quelconque de penser qui lui semble appropriée. Partant, il n’est guère enclin à purger l’âme (sa mémoire) de ses conditionnements mentaux. Mais ce que nous vivons aujourd’hui n’a rien à voir avec ce que nous pensions jadis, sous d’autres masques. (Note : Le mot « personnalité » vient de « persona », qui signifie masque, en étrusque.)

 

C‘est parce que nous pensons DE NOUVEAU ou ENCORE la même chose que jadis (ou de la même façon), dans cette vie, que dans cette vie nous vivons encore et toujours la même chose que jadis !

La pensée (même vieille et soi-disant « passées ») étant présente en nous, ici et maintenant, c’est donc ici et maintenant qu’elle produit des effets fastes ou néfastes, selon sa nature.

Le sujet est subtil, certes, mais il est devenu facile à comprendre désormais et grâce aux psy éso qui se font les Portes-Paroles de certains Grands Maîtres de l’invisible, qui sont actuellement LES SEULS à donner cette explication libératrice et intelligente du « karma » (leur but est d’aider les personnes intelligentes à se débarrasser de ces conneries spirituelles encombrantes et par trop aliénantes.) Et nous serons également les seuls, au moins en Europe, à nous prétendre les Portes-Parole de ces Êtres Sublime.

Du moins, les seuls tant qu’un petit malin ne nous piquera pas l’idée pour devenir « célèbre » et se faire du fric avec sa « découverte révolutionnaire ». Comme d’hab’ ^^

 

C‘est pour cela que le contenu du Forum Psukelogos, ainsi que bien d’autres écrits, quinze ans auparavant, (qui sont en sécurité) existent, pour démontrer que cette connaissance n’a pas été « inventée » par des cornichons modernes mais existent depuis au moins six mille ans !

Faites bien gaffe à ceux qui vendent des « secrets ésotériques » sur le Net, ce sont des plagiats malhonnêtes qui sentent bien que la connaissance initiatique va bientôt exploser à la face de tous, alors ils désirent être les premiers afin de faire croire qu’ils sont les auteurs de ces méthodes (valables et réelles par ailleurs, d’où le pouvoir de séduction terrible et dangereux.)

Avec quelques scientifiques tout aussi malhonnêtes, ils se préparent à « enterrer définitivement » les Anciens Maîtres et faire disparaître leur abnégation et leur amour pour l’humanité, cela en essayant de faire croire que la vraie connaissance est enfin offerte par eux, et ne vient pas du passé et de l’invisible, mais du présent et d’éminents « esprits scientifiques ».  S’ils parviennent à leur fin, c’en est terminé de la véritable spiritualité : l’ego se sera emparé du sceptre du Pouvoir et leur mental orgueilleux dirigera le Monde. Est-ce ce que vous aimeriez voir se produire sous peu ?

Bon, OK, présenté comme ça, ça peut faire un brin grandiloquent et en faire frissonner quelques-uns ! Mais comme c’est UN RISQUE RÉEL, des milliers de Maîtres sont « revenus » dans notre époque pour faire en sorte, chacun à leur humble niveau, que cela n’arrive pas, que cela n’arrive jamais !

Et cela n’arrivera pas ! Et il en est bien ainsi !

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Citation:

comment on sait quand c’est notre Soi Divin, Soi Naturel ou encore Âme qui ressort selon tel ou tel moment?

 

C‘est plus compliqué à expliquer par des mots qu’à comprendre, [ici le nom du membre]. Souviens-toi que toutes ces divisions sont arbitraires et ne servent qu’à désigner les divers niveaux, les diverses profondeurs d’un même Océan qu’est la Conscience de Soi.

Seul existe l’esprit.

 

Et cet esprit est plus ou moins conscient de lui-même, ce qui engendre des niveaux hiérarchiques qui, quoique très arbitraires, car évolutifs et donc changeants, n’en sont pas moins présents et donc réels.

* Le Soi Divin nous oriente toujours et tout naturellement vers l’harmonie, la paix et la probité morale. L’écouter reviendrait à ne jamais léser personne, fut-il un fils de p… Euh… Un scélérat ! C’est pour cette raison qu’il n’est pas toujours facile à « suivre. » Sa Lumière est inhumaine et notre volonté trop faible pour faire Sa Volonté 24 h/24.  Bien que ce cornichon de « Moi-Idéalisé » essaye encore et toujours de se prendre pour son Fils Unique !

En fait, seuls ceux qui ont atteint la Conscience et l’État de Christ (ceux que je nomme souvent « les Seigneurs » ou plus rarement Adonaï ) sont capables de s’aligner sur le Modèle Divin et de s’identifier complètement et parfaitement à Lui. On va dire que notre plus haute vision ainsi que nos moments les plus merveilleux et emplis de paix, d’amour et de joie, sont inspirés par le Soi Divin, qui n’est pas « quelqu’un » mais « Nous en plus beau » ou « nous plus tard bien que jamais » ou « nous si nous étions un jour parfaits », « le plus haut niveau de notre être futur », etc.

* Le Soi  (Naturel) est ce que nous sommes « outre les incarnations », c’est-à-dire que c’est notre identité de départ qui « s’améliore » de vies en vies et qui « tend » plus ou moins vers l’idéal de perfection sans toutefois y arriver vraiment. Le Soi est ce que nous sommes « en esprit et en vérité », c’est notre « Moi », notre identité réelle lorsque nous ne sommes pas incarnés et donc divisés.

Il n’est pas parfait (loin de là) et chacun possède un « Soi » différent de celui des autres. Certains sont très évolués, quasi divinisés déjà, tandis que d’autres ne sont pas plus futés qu’une Tanche de la Baltique ! On peut se faire une idée du degré d’intelligence et d’expérience (évolution) d’un Soi en observant sa personnalité en cours. Je sais bien que l’on professe généralement l’inverse, mais cela provient du fait que d’anciens Maîtres Instructeurs souhaitaient que chacun de leurs élèves fasse montre de patience, de tolérance et prenne l’habitude de considérer les autres, plus en retard, avec gentillesse et respect.

J’imagine que vous ne lirez nulle part ailleurs ce genre de propos.
Il n’est pas interdit d’être bon et charitable, mais on est pas obligé non plus de devenir con pour autant, ainsi qu’aveugle à certaines évidences ! Il faut, en toutes choses, un milieu juste et bon.

Outre le côté « mauvaise langue« , c’est-à-dire une fois les « bonnes manières » et l’hypocrisie un peu oubliées, on est bien obligé d’admettre que tandis que certaines personnalités nous paraissent géniales et d’une intelligence rare, d’autres semblent être sorties à peine du Règne animal, ont un fond mauvais et très peu d’intelligence.

Ce que je vous propose là n’est ni gentil ni méchant et n’a rien à voir avec une hypothétique « absence de charité chrétienne. » C‘est simplement la vérité, un fait facile à établir, sauf pour les faux-culs de la spiritualité, et ils sont légion !

 

Cette différence parfois énorme entre les diverses personnalités incarnées en même temps et donc à une même époque, provient du fait que la Planète Terre est une « plaque tournante » de l’évolution linéaire, véritable plateforme d’essai cosmique, une tentative pour faire vivre ensemble des individualités toutes différentes, issue de plans de consciences parfois très éloignés l’un de l’autre.

Certains d’entre nous sont déjà presque « terminés » en tant qu’être humain s’entend, tandis que d’autres…. Eh bien, observez autour de vous et jugez sans passion mais avec objectivité ! A noter que c’est seulement sur Terre et « en incarnation » que l’on peut rencontrer une telle diversité de niveau de conscience et d’évolution !

Dans les plans invisibles, chacun se trouve naturellement sur niveau de conscience qui lui correspond et ne peut rencontrer que des individualités de son niveau actuel. C’est en connaissance intuitive de ce fait que sur Terre, les gens ont tendance à se grouper par races, ethnies, classes sociales, états d’esprit, clans, clubs, etc.

Quand à l’âme, c’est une sorte de « cocotte-minute » toujours sous pression qui nous POUSSE (d’où le terme de « compulsion ») à penser une chose plutôt qu’une autre, et cela, souvent malgré nous. Pour donner une idée générale plus simpliste mais aussi plus réaliste, voici une petite astuce :

* Quand on se sent poussé à penser ou à agir d’une manière qui ne correspond pas à ce que nous savons et nous sentons être, alors on peu sans se tromper affirmer que c’est l’âme qui se manifeste en nous et à travers nous, voire à notre place !

* Quand nous nous sentons paisible et sur de nous, détendu et joyeux, nous pouvons être certain que « nous sommes bien nous », naturellement et sans contraintes ou programmations (d’où le terme de « Soi ».) Notre niveau d’évolution est ce qu’il est, mais c’est bien nous tels que nous sommes pour le moment.

* Et lorsque nous sentons en nous quelque chose de fort, de beau, de grand, qui élève l’âme et la personnalité et semble appartenir aux cieux, alors on est « en Présence » (ou sous le flot d’énergie) du Soi Divin. Cela arrive quelques fois.

 

Ceux qui ont prétendu voir, dans une grande Lumière, un Archange magnifique plein de bonté et de compassion qui leur souriait en leur disant qu’il n’était pas temps pour eux de partir (les fameuses NDE) on vu en fait leur Soi Divin, ce fameux « Père » dont parle le Maître Jésus. ( à présent, le Seigneur Jésus, car ce n’est plus un humain, et il a rejoint le « Collectif » ou Archange Yéshuah, c’est-à-dire « Le Grand Je Suis » ou Fils Unique de Dieu.) Un jour, [nom du membre], tu comprendras que de toi au Christ, il n’existe qu’une différence de degrés, non de Nature, car en vérité :

Il n’existe qu’une seule conscience partagée simultanément par tous les corps.

(Shiva Sutra)

 

Dire que nous sommes une personnalité, un Soi, un Dieu, un Archange, un Kristos, un Logos, etc. c’est un peu comme dire que nous sommes le premier, le second… le dixième… le centième barreau d’un seule et unique échelle qu’on appelle…

L’esprit vivant et conscient.

 

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Pour certains, qui passent un mauvais moment et qui font encore semblant de ne pas le remarquer, je vais me répéter : Les énergies de Juillet/Août 2010 sont très puissantes et ont pour rôle principal de « faire ressortir la vérité » (pas la plus belle, certes.) En clair, ça donne et donnera quoi ? C’est très simple : ceux qui se faisaient « tout gentil mimi » ne réussiront plus à le faire et se montreront tels qu’ils sont : humains, évidement, mais largement moins cleans et sains qu’ils n’auraient aimé le laisser croire et auront cette tendance typiquement Atlante et mainte fois dénoncée par ailleurs, d’entrainer d’autres (proches) avec eux, les détourner de leur voie tracée, par égoïsme et par jalousie, pour se besoin morbide de « posséder que pour soi », etc. (bref, de les entrainer avec eux dans leur noyade intime.)

 

D’autres, qui se croyaient cool et plutôt effacés, vont devenir de véritable boulets ACTIFS, c’est-à-dire qu’ils vont se mettre à FAIRE SUER GRAVE les gens (proches ou autres) autour d’eux, tout en continuant à jouer le rôle de mec ou de la nana très cool qui ose à peine respirer à plein nez de peur de déranger.

Il y aura aussi ceux qui verront le mal de partout et surtout au-dehors et chez les autres et qui vont devenir un peu comme des « diables tentateurs » qui feront tout, eux aussi, pour vous détourner de VOTRE voie qui ne passe pas nécessairement par eux, et ils le sentent parfaitement.

Normalement, je ne devrais même pas vous donner tous ces détails, ces avertissements, car chacun de vous – mêmes s’il est concerné  – est CONSCIENT de ce qu’il fait aux autres ou de ce que les autres lui font, mais n’a ni la force ni le DÉSIR de changer vraiment (de rejeter les boulets ou de cesser d’en être un pour les autres.)

 

De plus, que vous soyez « victime » ou « bourreau » (ou « sauveur« ) vous avez DÉJÀ vécu tout cela, en tant que Soi mais sous d’autres formes, presque de la même façon, dans les moindres détails, et vous avez laissé faire, vous n’avez pas désiré trouver la force de vous positionner vraiment. Personne ne dit que c’est « facile » (au niveau de l’action virile à entreprendre) je dis juste que TOUT LE MONDE est à présent assez intelligent et éveillé pour réaliser ce que d’autres leur font subir sous prétexte « d’amour » ou ce qu’ils font subir aux autres, sous le même prétexte millénaire et merdeux au possible (« Je t’aime, c’est pour ça que…« )

Ils ne vous aiment pas, ils s’aiment eux, vous ne les aimez pas, vous vous aimez vous ! Alors puisque c’est la vérité, pourquoi en avoir honte ? Pourquoi ne pas la laisser vous guider complètement, au lieu de « lire la Bible tout en suivant les pas du Diable », comme disent certains ?

Installez-vous dans ce que vous êtes vraiment et pour le moment, acceptez-le, assumez-le puis vous aurez alors le droit et les moyens d’évoluer enfin, de devenir ce que votre Moi-Idéalisé rêve de vous voir être, vous poussant sans cesse à MENTIR afin de mieux incarner (et plus vite) ce que, de toutes manières, vous ne serez jamais dans cette vie (surtout si vous trichez et faussez ainsi la donne.)

Soyez AUTHENTIQUE une seule fois et vous atteindrez les étoiles ! Soyez vous-mêmes !

 

Alors je le dis une dernière fois puis n’en parlerai plus à l’avenir.
A la fin de l’été, nous compterons ensemble les « immeubles détruits » (constructions mentales idéalisées) et les amours merveilleuses et extraordinaires abandonnées et nous pourrons alors faire le point, du moins pour les plus honnêtes et… pour ceux qui seront encore avec nous. En attendant… Bon courage à vous et faites de votre mieux, vous aurez fait alors au mieux que vous pouviez faire, vraiment !

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Attendu que la vague énergétique d’été présente des moments de crêtes et de creux (dents de scie), il est fort possible de se sentir bien et en paix. Ce n’est PAS incompatible. Il existe d’ailleurs de nombreuses raisons à ce fait, toutes liées à la personnalité en cours. Il n’existe aucune règle absolue en matière de « réponse de l’homme aux énergies planétaires et cosmiques » (fondement de l’astrologie véritable et antique.) De fait, les uns vont s’exclamer : « Je ne me suis jamais senti(e) aussi bien ! » Tandis que d’autres seront déjà anéantis par les effets de ces vagues.

Chacun réagit selon ses besoins, son évolution et, surtout, la Volonté de leur Père qui est dans les Cieux, comme on disait jadis

Très bientôt, les plus sensibles et objectifs du forum Psukelogos, pourront ressentir une nouvelle manière de percevoir le Divin en soi, une manière douce, profonde, qui rappelle des temps anciens et oubliés, tout en étant à la fois nouveau, unique, plein de douceur et… De tendresse. Le Divin sera pour vous comme la caresse d’un vent frais sur le visage, une après-midi d’été, alors que vous êtes allongé sur le sable chaud d’une plage déserte… Cette brise fraîche sera porteuse de souvenirs d’enfance ou d’une époque ou vous étiez en paix et confiant, reposant dans les bras du Divin.

Et il en sera bien ainsi !

A.U.M.

 

Serge Baccino

 

Accord du LA à 432 Hz

 

La fréquence qui nous relie, à l’eau de La, de l’au-delà

 

 

« Harmoniser la vie en accord avec les fréquences de la nature et il y aura plus de joie, de bonheur et de beauté dans nos expériences de tous les jours. »

[Edgar Cayce]

 

 

Le LA à 440 Hz, adopté par l’Europe occidentale

 

Quasiment toute la musique occidentale est actuellement accordée avec le La à 440 Hz. Cela veut dire que tous les instruments de musique, les diapasons, les programmes de création musicale, sont accordés à cette fréquence.
La musique occidentale n’a pas toujours été accordée à 440 Hz.
Certains articles sur le net disent qu’en 1939, les Nazis décident par leur ministre de la propagande Goebbels, d’accorder le La de référence à 440 Hz comme standard, bien que la référence la plus utilisé mondialement fût encore le La à 432 Hz.

En 1955 le La à 440 Hz devient le standard mondial ISO. On peut se demander quelles raisons ont réellement poussé les hommes de pouvoir de cette époque à adopter le La à 440 Hz par opposition au La à 432 Hz. Le La à 432 serait beaucoup plus logique, plus riche d’arguments scientifiques et de correspondances qu’on retrouve dans l’univers et la nature qui nous entoure.

 

 

 

432, le nombre sacré

 

 

Le chiffre 432 est considéré comme sacré si on tient compte des mensurations de la majorité des temples sur notre planète. Par exemple le côté de la grande Pyramide d’Égypte serait de 432 unités terrestres, au niveau du niveau de l’eau qui inondait les pieds de la pyramide. Une unité terrestre mesure environ 51,49 cm à 52,5 cm et est une ancienne unité de mesure du temps de sa construction.

La grande pyramide du soleil du complexe Toltèque de Teotihuacán au Mexique, mesure sur toute la périphérie de sa base 864 UTS (Unités de mesure Téotihuacan Standards), 864 est exactement le double de 432. Selon le mythe, cette mesure leur a été transmise par les dieux des étoiles.

Dans le calendrier Maya on retrouve aussi le chiffre 432, le cycle Katun comprend 7 200 jours où l’on retrouve à nouveau le 72, le sixième de 432.
Dans le calendrier des Védas on a un grand cycle de 432 000 ans.
Dans la bible aussi on retrouve souvent le chiffre 144, qui est aussi un harmonique du Ré correspondant quand le La est accordé à 432 Hz.

 

 

Comparaison 440 Hz – 432 Hz

Voici la fréquence de chaque note avec le La de référence à 440 Hz, suivi de leur fréquence correspondante la à 432 Hzde chaque note accordé au La de référence à 432 Hz :

Do, C, 261,63 Hz, 256 Hz ;
Ré, D, 293,66 Hz, 288 Hz ;
Mi, E, 329,63Hz, 324 Hz ;
Fa, F, 349,23 Hz, 342 Hz ;
Sol, G, 392,00 Hz, 384 Hz ;
La, A, 440,00 Hz, 432 Hz ;
Si, S, 493,88 Hz, 484 Hz

Avec les formules de physique quantique de Louis de Broglie, pour le calcul de l’onde lié à une particule, Yannick Van Doorne a pu calculer les fréquences de résonance des atomes et molécules qui nous entourent. C’est alors stupéfiant de voir que 432 Hz, est une harmonique d’une fréquence de résonance de l’eau et non pas le 440 Hz.

Rappelons que l’eau est un constituant majeur de toute la vie sur terre, des plantes aux animaux ou d’une bactérie jusqu’aux organismes les plus développés.
Louis de Broglie est un physicien qui a reçu le prix Nobel de physique pour ces découvertes de cette formule. Il aurait aussi dit que ses découvertes concernant l’onde associée aux particules pourraient s’appliquer à tout corpuscule, petit et grand, ainsi à tout objet. Ceci nous fait percevoir le monde qui nous entoure et ces interactions d’un point de vue complètement différemment que notre vision “matérialiste” des choses.

 

Une vision d’interactions d’ondes, de dissonances, d’harmonies entre toutes choses inertes et organismes vivants. L’ensemble alors est alors plus que la somme de ces composants, comme en musique, un orchestre est pus que la somme de ces musiciens. Ne dit-on pas “une harmonie musicale” ou un concert de “l’ensemble” musical ?

 

 

Cette fréquence est inscrite jusque dans notre système solaire

La précession de la terre compte 25 920 années, c’est le cycle apparent de la rotation des étoiles dans notre ciel, produit par le mouvement de la terre dans l’univers, un peu comme une toupie qui a sa précession. Le cycle est mesuré par la durée pour parcourir un mouvement circulaire complet de 360 degrés. Quand on divise 25 920 par 360, on arrive au chiffre 72, les équinoxes se déplacent de 1° degré tous les 72 ans, ce qui correspond à une harmonique de la note du Ré ou D à 288 Hz/4= 72 Hz quand le La ou le A est accordé à 432 Hz.

Quand la musique est accordée à 432 Hz, Yannick remarque alors aussi que les autres notes correspondent exactement aux fréquences de résonances des éléments naturels tel que le sol à 384 Hz pour l’oxygène. Il est intéressant de remarquer l’étonnante coïncidence par rapport au sol. En agriculture on aère le sol par le labour ou des outils, car l’aération du sol amène plus d’oxygénation et augmente sa fertilité.

La coïncidence que la note nommé “Sol” correspond à l’élément oxygène et qu’un sol “oxygéné” est plus reconnu comme augmentant la fertilité, qu’en plus on appelle la terre le sol en agriculture est au moins impressionnante.
Les plantes aussi y réagissent favorablement, elles poussent plus vite et deviennent resplendissantes.
 

 

En cherchant encore un peu plus loin Yannick s’est demandé s’il y aurait un lien avec les fréquences de la lumière et les fréquences les plus absorbées par les plantes pour la photosynthèse. Il a été heureux de découvrir que le “do” à 256 Hz est une fréquence de résonance qui active le système chlorophyllien des plantes. La note do dans la gamme du diapason 432 Hz est une note harmonique avec la fréquence de la lumière la plus absorbé pour la photosynthèse !

Tout ceci ne peut plus être de simples coïncidences. Un calcul de probabilité le démontrerait facilement, de quoi convaincre les plus sceptiques, il leur suffit de refaire les mêmes calculs, c’est mathématique.

 

 

 

Influence de la musique sur les plantations

Une étude scientifique récente encadrée par l’université de Florence sur une plantation de vignes a démontré l’effet grandement bénéfique de certaines musiques classiques baroques spécifiques. Ainsi les vignes ont eu une croissance supérieure de plus de 30 % et elles étaient beaucoup plus saines, sans maladies par rapport au groupe témoin ! Cette étude était réalisée avec des musiques baroques classiques au 440 Hz. On peut se demander de ce qu’il en serait s’ils mettaient les musiques au diapason 432 Hz.

Un groupe d’étudiant l’a fait récemment en diffusant le La à la fréquence 432 Hz durant 15 min sur la germination de haricots. Ils ont pu constater une germination plus rapide et une croissance supérieure de plus de 30 % en quelques semaines. La croissance donnée par la longueur moyenne des plants du groupe témoin faisait 15 cm et 25 cm pour le groupe traité à 432 Hz (essai 2010, expérience indicative d’un travail d’étudiants). Ce sujet d’étude mérite plus d’attention et d’expériences car les premiers résultats sont plus que prometteurs.

Quand le La est accordé à 432 Hz au lieu du 440 Hz, toutes les autres notes de musiques sont aussi corrigées vers leurs fréquences harmonieuses correspondant au La de référence et aux fréquences de la nature qui nous entourent.

 

Quelques correspondances :

La : A : 432 Hz :  l’eau, Ondes Alpha cérébrales idéales au repos pour un fonctionnement cérébral harmonieux ;
Ré : 288 Hz : la précession de notre planète Terre, Battement idéal du cœur humain au repos;
Sol : 384 Hz : l’Oxygène ;
Do : 256 Hz : l’harmonique du pic de fréquence de la lumière absorbé par la chlorophylle des plantes.
Et il y a encore bien d’autres correspondances découvertes et encore à découvrir…

 

 

Les effets sur l’humain

 

 

Le battement du cœur de la planète aurait une pulsation de 144 Hz, la plus saine qui existe. Le battement du cœur d’un être humain adulte au repos est idéalement de 72 battements par minute, ce qui correspond exactement à un sixième de 432 Hz ou la moitié de 144. Le 144 Hz est aussi la fréquence du D ou du Ré quand le La est accordé au 432 Hz. Le 432 Hz est aussi une harmonique du 8 Hz. Le 8 Hz est le rythme de notre fréquence cérébrale Alpha dans laquelle notre processeur parallèle, ou nos deux hémisphères du cerveau, sont synchronisés pour fonctionner ensembles en harmonie. Ceci dit dans ce cas 440 Hz en est aussi une harmonique mais c’est bien une des seules correspondances qu’on peut trouver avec le 440.
Le néocortex du cerveau, 90 % inutilisé commence à s’éveiller avec cette synchronisation et elle s’installe dans toutes les cellules du cerveau pour créer un flux d’information maximal. Écouter la musique accordée au La naturel harmonise nos hémisphères cérébraux, ce qui nous éveille à l’orchestre de nos pensées, dans les cathédrales de nos esprits.

 

 

 

L’écoute d’une musique en 432 Hz nous rapproche de la nature. Elle nous met en résonance avec la nature. En 440 Hz cela nous éloigne de la nature par le décalage avec les fréquences naturelles, alors ne soyons pas surpris si l’humanité est décalée par rapport à la nature quand elle écoute des musiques dis-harmonieuse avec elle. Le LA à 440 Hz nous emmène plus vers une appréciation intellectuelle de l’harmonie musicale, vers la réflexion, par contre une musique à 432 Hz nous emmène plus vers une réelle sensation de cœur ou nous facilite la sensation vers nos sentiments les plus intimes en profondeurs. En 432 Hz on arrive plus facilement à sentir la musique, elle arrive plus facilement à nous émouvoir.

La musique à 432 Hz est souvent perçue comme plus douce, plus chaleureuse, plus claire et plus belle à l’écoute. Une étude scientifique au Pays Bas a démontré que plus de 76 % des gens ont perçu la musique à 432 Hz comme plus belle par rapport à la même musique accordée à 440 Hz. Une autre étude scientifique a même démontré des effets plus bénéfiques sur le rythme cardiaque par rapport à une même musique en 440 Hz.

 

 

 

Écouter la musique aux bonnes vibrations, aux bonnes fréquences nous dynamise, nous apporte un sentiment de bien-être et de relaxation profonde en harmonie avec la nature. Toutes des chemins qui nous mènent vers des perceptions extrasensorielles et inspirations ou intuitions plus fortes. Les chamans de l’Amazonie nous disent qu’on peut communiquer avec les plantes et qu’elles ont aussi des sentiments et une intelligence. Respectons-les et soignons-les avec de belles musiques harmonieuses, elles nous en seront reconnaissantes, elles seront encore plus rayonnantes.

Un reportage sur l’histoire des Indiens Dakota en Amérique du nord m’a appris une nouvelle chose. Il était dit que le “La” dans leur nom Lakota, veut dire “amour”. Quand on dit amour avec un grand A, n’y a-t-il pas aussi la note “La” dans L’Amour ? Notre monde actuel baigné, même noyé dans le 440 Hz par les diffusions musicales à la radio, télévision, dans tous nos médias, n’aurait-il pas tout intérêt à retrouver une certaine harmonie perdue du 432 Hz ?
 

 

Imaginons un monde baigné dans la création musicale en 432 Hz, serions-nous pas tous plus intuitifs, plus en harmonie ? Nos ingénieurs et hommes politiques ne seraient-ils pas inconsciemment, plus inspirés avec des idées plus conciliantes, respectueuses et harmonieuses de la vie. Ceci vaut probablement pour tout le monde, pour chacun d’entre nous. En prendre conscience, écouter ne serait-ce que une fois la différence entre 440 et 432 Hz est un petit geste, mais un grand pas pour l’humanité. Écouter la différence nous permet de lever un voile d’ignorance vers plus de clarté.

Lors de conférences, des personnes me demandent régulièrement où trouver des diapasons en 432 Hz pour leur permettre d’accorder leurs instruments.
la à 432 Hz. Voici quelques liens ou vous pouvez trouver des diapasons en 432 Hz et des instruments de musiques :

• Art Makes Sense : www.art-makes-sense.de
• Kunath : www.kunath.com
• SWB256 : www.swb256.com

 

Yannick Van Doorne
Ingénieur agricole, passionné des relations entre la musique et les plantes, mais aussi la vie, le bien-être et la santé.
yannickvd11@yahoo.fr
www.musiquesplantes.fr

 

Source : www.energie-sante.net

 

 

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CANTO DELL’ OM ( SINGING OM ) 432 Hz

 

Voici deux exemples de sonorité avec un La accordé sur 432 hz :

 

 

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Note : Ceci n’est pas un simple article mais une étude ou, comme il est dit sur ce blog, un « dossier. » Le texte est nécessairement très long et réclame d’être lu « à petites doses » afin de ne pas lasser le mental et risquer un décrochage de l’attention. Cela dit, écoutez votre ressenti et lisez autant ou aussi peu que vous le souhaitez. Seul votre ressenti doit demeurer le maître absolu qui dirige vos pensées et vos actes. Cordialement votre.

 

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Maya contre nouvelles énergies

 

(Première partie)

 

 

 

 

Comme vous le savez sans doute, le pire ennemi des spiritualistes du passé fut leur tendance à confondre connaissance et sagesse, c’est-à-dire savoir et application intelligente de ce même savoir. Car apprendre et savoir sont choses aisées : il suffit de se remplir la tête de choses plus ou moins hétéroclites puis d’être capable de les ressortir et de les réciter par cœur, le cas échéant. Observez tous ces magnifiques jeunes qui sortent des écoles avec BAC + 2,3,4 ou 5 voire plus ! Ne sont-ils pas instruits jusqu’à la garde, gavés comme des oies de ce savoir si précieux qui, n’en doutons point, leur sera plus tard d’une aide incalculable dans leur vie de tous les jours ? (Qui a pouffé ?)

 

 

 

 

Nos jeunes « BAC+quelque chose » se retrouvent un peu dans la situation de nos anciens spiritualistes, ceux de la vieille énergie : ils savent beaucoup de choses, mais aucune ne semble applicable aux problèmes réels et vitaux qu’ils rencontrent une fois lancés dans la vie active.
A peine finis d’être gavés de ce savoir si précieux, les voici lâchés en pleine nature, avec pour mission d’apprendre à voler tout seul et à définir leur propre itinéraire. Eux qui, durant des années, n’ont appris qu’à obéir sans discuter, à retenir tout ce qu’on leur présente et à apprendre sous la menace de ne pas être reçu au précieux échelon supérieur, les voici à présent «libres» de se comporter comme si on leur avait appris de tout temps à se débrouiller seuls !

 

 

 

 

 

Résultat, ils se retrouvent paumés, avec le sentiment très net mais rapidement étouffés par une fierté bien compréhensible, de s’être fait blousé et de n’avoir servi que de cobayes vivants à ceux qui ont pour insigne honneur de définir le parcours scolaire et les matières étudiées par nos chères têtes blondes et ce, dès le cours préparatoire. Préparatoire à l’état d’inadaptés sociaux.

Connaissant sur le bout des doigts des choses qui ne leur serviront pas ou plus dans « la vraie vie », les voici obligés de réapprendre de nouveau.
Apprendre à survivre dans une jungle sociale pour laquelle ils n’ont jamais reçu la moindre préparation, bien évidemment. En somme, les voici confrontés à L’ACTUALITÉ HUMAINE, et non plus seulement à cette réalité largement idéalisée, à l’aide de laquelle ils ont été conditionnés.

 

 

 

 

Les mystiques et les spiritualistes du passé étaient dans la même situation psychologique que nos infortunés Bacheliers + quelque chose…
Eux aussi ont du apprendre les Lois et les Principes qui président au fonctionnement des choses de ce monde et de tous les autres. Du moins est-ce là ce qu’ils ont appris ! Une Loi est quelque chose d’incontournable et qui s’applique pour un même plan à tous ceux qui s’y manifestent. Et c’est ce qu’on leur a enseigné, si, si !

Ils ont aussi appris que les forces du Bien sont plus puissantes que les forces du Mal et que celui qui viole une quelconque loi doit en subir tôt ou tard les conséquences fâcheuses. Une fois les études usuelles terminées (parfois 20 ans ou même plus) nos jeunes « Bacheliers de l’âme » ont été eux aussi lâchés dans l’arène très peu mystique de ce Monde. Et ce qu’ils y ont vu, ce qu’ils y ont vécu, ne correspondait pas à tous ce qu’ils avaient appris et qui avait au moins l’éclat de l’or, sinon la pureté du diamant.

 

 

 

 

Et voici que, de nouveau, les hommes se tournent vers la spiritualité. De nouveau, « des âmes compatissantes et désintéressées » (sic) se précipitent pour les accueillir, les instruire et les former aux changements que tout le monde pressent comme étant pour Demain. Pourquoi devrions-nous penser puis croire que, cette fois-ci, les « matières scolaires » présentées aux nouveaux mystiques et aux nouveaux spiritualistes, consisteront en un matériel qui leur sera utile et qui se révélera parfaitement adapté aux temps qui s’en viennent ? D’ailleurs, goûtons un peu à cette nouvelle sauce spirituelle pour définir si son goût relève du nouveau, car au premier abord, c’est encore le parfum de l’Ancien. Que savons-nous du Nouveau AVANT qu’il ne se manifeste ? Allons-nous le tuer avant de lui laisser le temps de naître, cela en le traitant avec les outils qui nous ont servis à louper notre passé, et qui appartient désormais à l’ancienne vie ?

 

 

 

Est-il seulement possible de se préparer à une chose dont on ignore tout, du seul fait de sa totale nouveauté ? Quelles sont les méthodes, les techniques proposées ? Quel plat réchauffé va nous être servi ?
Va-t-on nous parler d’amour, de Lumière, de compassion, de pardon, d’aimer son ennemi ou de ne pas entretenir de pensées négatives face à l’adversité ? Allons-nous devoir, encore et toujours, jouer le rôle de celui ou de celle qui doit beaucoup méditer, aller à de nombreuses conférences, appartenir à un groupe ancien et reconnu et, dans l’élan, pourquoi pas, essayer une thérapie auprès d’un psychiatre hors de prix et bien sur non remboursé par la sécurité sociale ?

Allons-nous encore nous ruiner en stages dans lesquels il nous faudra crier tout nu en position de fœtus, respirer comme des locomotives, régresser pour connaître « nos vies antérieures » ou encore apprendre à voir l’aura ternies de personnes devenues aussi paumées que nous ?

 

 

 

Nous avons fait toutes ces choses et nous en incarnons désormais le résultat, ne le voyez-vous donc pas ? Nous pourrions aussi faire des stages qui coûtent des fortunes à nos entreprises Françaises et dans lesquels nous apprendrions à vendre des aspirateurs à des aborigènes d’Australie qui ne possèdent pas encore l’électricité.

Et avec un peu de chance, soit nous pourrions nous suicider sur notre lieu de travail, soit succomber à une crise cardiaque ou à une rupture d’anévrisme au bout de quelques années d’auto-trahison ?

Les choix sont nombreux et pourtant, il n’existe qu’une seule cause à nos errements. Dire que « nous sommes sous l’emprise de Maya » fait certes très instruit et un brin New-Âge, mais n’explique rien de manière intelligente et de ce fait, ne consiste pas en une connaissance applicable à notre vie de tous les jours. Donc, ça ne sert à rien, si ce n’est à se branler les méninges ou à briller en société.

 

 

 

 

Pourtant, la clé se trouve au niveau de ce concept très mal compris que nous connaissons sous le nom de Maya. Le concept de Maya a été aussi mal expliqué et donc compris que celui du Karma, les deux étant d’ailleurs plus liés qu’il n’y paraît de prime abord. Maya n’est pas un pouvoir qui nous illusionne. Si c’était le cas, alors ce pouvoir serait plus puissant que nous et notre avenir serait foutu pour de bon et par avance !

Si Maya existait indépendamment de nous, les êtres humains, alors Maya serait un pouvoir cosmique dépendant de l’Actualité, et non de notre réalité. Et nous ne pourrions nous extraire d’un contexte global ou cosmique dans lequel nous serions immergé.

Tout ce qui dépend de l’Actualité Cosmique est intouchable et éternel. Nous n’y avons pas accès. Tout ce qui dépend de la réalité dépend de nous. De nous tous, du « Soi Collégial », dirons-nous pour faire simple. Retenez ces mots :

Ce que pense un homme ne marque que cet homme, mais ce que pense l’humanité marque toute l’humanité.

 

 

 

 

Mais rappelons un peu la Genèse du sujet, si vous le voulez-bien…
Au départ, nous avons des Dieux (les Élohim) qui désirent expérimenter un niveau de conscience que leur fréquence divine leur interdit d’expérimenter.
En effet, expérimenter revient à pénétrer une zone dans laquelle peut se produire cette expérimentation. Pour entrer dans certaines formes mentales et les connaître de l’intérieur, les Dieux doivent, au préalable, accepter d’abaisser leur fréquence vibratoire afin de se rapprocher à quelques octaves seulement de la fréquence qui est celle de la zone à expérimenter de l’intérieur.

Cela revient pour eux à descendre dans les profondeurs Océaniques de l’esprit universel et au sein desquelles règnent une densité ainsi qu’une pression monstrueuses. Même si tout ceci est dans leur conscience.

 

 

 

 

Imaginez une zone d’ombre au sein de notre conscience, qui nous soit inaccessible… Que ferions-nous si c’était le cas ? Si nous étions capables de visiter tous les plans ou niveaux d’existence (ou de conscience) sauf un ?

Eh oui, nous ferions comme l’ont fait ces Dieux d’Antan : nous chercherions par tous les moyens possibles et imaginables à pénétrer dans ce no man’s land de l’esprit. Et nous réussirions, assurément !

Oui mais voilà : à ce niveau de densité spirituelle, ce n’est plus de l’esprit que nous trouvons mais… De la matière ! Et la matière, c’est de l’esprit qui s’est oublié. Ce qui est pour le moins fâcheux, attendu que cet esprit est aussi Dieu ! Et qu’est-ce qu’un Dieu si n’est de la Supra-conscience ? Comment ce qui est pure conscience d’être et d’exister, pourrait ne plus être… Conscient ? En n’étant plus Dieu ou en n’étant plus l’esprit, ce qui revient au même. Est-ce seulement possible ? Non, bien évidemment !

 

 

 

 

Alors quoi ? Alors, il reste la solution non pas de ne plus être divin, ce qui est impossible, même à un Dieu, mais…De ne plus être conscient de sa divinité. Autrement dit, demeurer conscient, certes, mais pas d’être l’esprit divin mais quelque chose d’autre !

Mais, est-ce possible, attendu que « Seul existe l’esprit et que l’esprit est Dieu » ? Présenté ainsi, non, ce n’est guère envisageable, en effet.
Mais si l’esprit demeure conscient de lui-même tout en ignorant qu’il est l’esprit et donc, qu’il est Dieu, alors la chose devient envisageable !

Il suffit de concentrer assez de matière mentale puis de la programmer pour qu’elle se croit « libre » et distincte de tout le reste de la création, et le tour est joué ! Et c’est ce qui fut fait !

« Et Dieu vit que cela était bien…. »

 

 

 

 

Notre conscience pénétra des formes mentales que nous avions nous-mêmes visualisées, de plus en plus denses et de moins en moins Lumineuses, c’est à dire « reflétant de moins en moins sa propre Nature qui est Lumière. »
La forme la plus basse était faite d’esprit tellement concentré qu’il apparaissait sous une forme trop « dense » pour que l’esprit qui la compose se souvienne de qui il est vraiment.

Alors une partie de ce Dieu Créateur (Brahma) qui était investie dans sa propre création mentale, oublia qui elle était et elle perdit la conscience de sa propre divinité, ainsi que les pouvoirs (siddhi) qui vont avec.

 

 

 

 

Et nous sommes cette partie. Du moins, une partie (personnalité terrestre) de cette partie (le Soi) L’homme est de l’esprit trop concentré pour qu’il lui soit possible de se percevoir comme étant unit à autre chose que lui-même. Alors pensez un peu s’il peut croire qu’il est un Dieu et que ce même Dieu est uni au Grand Tout Cosmique ! La forme humaine et la conscience qui s’y rapporte, sont si parfaitement visualisées comme uniques, distinctes de tout le reste et privées de pouvoir, que l’esprit qui les compose et leur permet de s’exprimer croit dur comme fer qu’il est distinct de toutes choses et donc, de la Divinité (relative ou absolue.) En somme, l’esprit s’illusionne tout seul et se fait croire qu’il est tout, sauf ce qu’il est vraiment : de l’esprit !

 

 

 

 

L’homme est distinct, c’est vrai, mais il n’est pas séparé de tout le reste et ne l’a jamais été ! Il fallait seulement qu’il le croit d’une manière absolue et définitive, cela pour réussir, entre autre, à explorer les plus basses vibrations de la création divine continue. Et nous voici occupés à nous imaginer être « ceci ou cela » en esprit, en le visualisant avec cette parfaite concentration dont seul un Dieu est capable. Imaginez que vous puissiez vous éveillez dans (ou durant) le rêve : ne seriez-vous pas tenté d’y participer avec un plaisir immense ? Un tel pouvoir ne serait-il pas enivrant, voire… Hypnotique ?

Imaginez, enfin, que vous soyez si mordu de ce rôle, de ce rêve rendu vivant, de cette visualisation, que vous en arriviez à oublier que ce n’est qu’un rêve, qu’une vue de l’esprit.

Si vous pouvez imaginer cela, alors vous connaissez comment fonctionne la Création Cosmique Continue et comprenez désormais, qui sont les Maîtres. Tout ce que fait le Mental Cosmique (Dieu-Le-Tout) un Dieu le fait aussi, mais en plus petit : sa création ne concerne que Lui et tous ceux qui acceptent de le suivre au sein même de sa rêverie.

 

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(Seconde partie)

 

 

 

Les Mystiques et spiritualistes du passé se méfiaient de Maya qu’ils traduisaient quasiment tous par « illusion. » Pour eux, les 5 sens objectifs les trompaient et ne leur permettaient pas d’accéder à la vérité. Ils établissaient une nette différence entre l’actualité » ou «Tout ce qui existe vraiment» et  «la réalité», c’est-à-dire le peu d’actualité à laquelle leurs sens leur permettaient d’accéder.

En fait, les sens ne trompent personne et ne déforment rien : ils sont seulement limités à une forme d’activité spécifique et ils remplissent parfaitement leur rôle dans les limites mêmes de cette activité spécifique.
Nos yeux ne déforment pas ce qui se trouve à dix kilomètres, car ils n’ont pas accès aux choses qui se trouvent à cette distance. Et même s’ils y avaient accès, ils n’auraient aucun pouvoir sur ces choses et ne pourraient donc pas fausser les faits ou nous tromper à leur sujet.

 

 

 

 

Ainsi, nos sens ne faussent rien, bien au contraire ! Leur rôle est de transformer un véritable bain de vibrations à peine distinctes les unes des autres, en des objets ou des choses apparemment aussi distinctes que séparées, et sous une forme et à partir de détails recevables pour notre cerveau. Plus sobrement, nos sens transforment des ondes vibratoires en des objets clairement délimités et adoptant pour nous, « une forme solide » et distincte de tout le reste.
Mais ces ondes ne sont pas séparées du Grand Bain cosmique de vibrations. Penser autrement serait ILLUSOIRE, assurément.

Les choses ne sont pas telles que nous les percevons avec nos sens mais ces derniers ne faussent rien, ils transforment de l’informel en du formel, de l’illimité en du limité, nous permettant ainsi de distinguer les choses et les êtres, de pouvoir les considérer séparément de tout le reste.

Nos sens sont un peu comparables à un microscope : ce dernier ne « sépare » pas les choses, il nous permet seulement de les mettre en valeur, d’accentuer leur présence en les rendant « plus présents » à nos yeux.

 

 

 

 

Il en va de même des sens psychiques, certes moins limités que leurs homologues charnels, mais capables, eux aussi, de transformer l’informel en formel, mais sur d’autres octaves vibratoires. Prenons un exemple. Nous croyons être capables de « voir » les couleurs de l’aura, mais en réalité, ce n’est pas le cas, et ceci pour la bonne raison que l’aura n’a aucune couleur ! Toutefois, les vibrations qui émanent d’un être humain viennent frapper certains Centres psychiques et nerveux qui se trouvent dans notre cerveau, et ces derniers transforment de simples ondes vibratoires porteuses d’informations, en des couleurs chatoyantes capables de créer une impression plus marquée dans notre conscience individuelle.

 

 

 

 

Maya ne représente donc pas une forme d’illusion qui nous serait imposée par je ne sais qu’elle obscur pouvoir qui ne dépendrait pas de notre volonté. Maya représente l’état actuel de nos perceptions, qui sont limités VOLONTAIREMENT afin de nous permettre d’expérimenter des niveaux de densités spirituelles qui nous seraient totalement inaccessibles si nous restions dans l’état d’esprit qui devrait être le notre et qui interdirait l’Aventure Humaine.

Dans nos cellules humaines sont gravé les codes de limitations requis pour participer pleinement de ce plan de conscience Terrestre ou physique. Depuis le début, le subconscient humain avait pour ordre formel de nous « vendre » l’idée-germe surpuissante que nous ne sommes que ce que nous pouvons appréhender de nous-mêmes. Ce qui est faux, bien entendu, mais considéré pour vrai par la moindre de nos cellules.

 

 

 

 

Nous sommes faits de particules de Lumière densifiée auxquelles il serait grand temps de donner le nom qui est le sien depuis toujours. En Français, ce nom est L’ESPRIT. Ce même esprit qui nous sert à penser. Et puisque TOUT est fait d’esprit, nous sommes nous aussi conçus à partir d’une combinaison très savante de particules d’esprit, formant des atomes, des cellules et des organismes complexes ou, en un mot, notre corps de chair. Et puisque nous sommes fait d’esprit et que cet esprit vibre actuellement très bas, c’est avec le degré de conscience et d’intelligence relatifs à cette très basse fréquence que nous pouvons nous « estimer » à notre juste valeur, c’est-à-dire nous connaître nous-mêmes.
Autant dire que nous avons autant de chance de nous percevoir comme étant divins et partie intégrante du Tout-Esprit, qu’une fourmi a de chance de réaliser un jour que la lune n’est qu’un satellite de la Terre.

 

 

 

 

Ce manque de « recul psychologique » est ce qui nous prive de cette prise de conscience que nous sommes divins en Essence et depuis TOUT LE  TEMPS. Pour le moment, il nous est très difficile d’imaginer puis de croire que nous ne pouvons pas être autre chose que divins et parfaits. C’est cet état de fait, cette incapacité de nous croire divins, qui nous permet de vivre comme si nous étions faibles, seuls, uniques, séparés et donc, en danger à la moindre occasion. Et il fallait absolument que nous ressentions les choses ainsi et que nous en fassions notre seule et unique réalité !

Sinon, nous serions demeurés bien incapables de comprendre ce que c’est que de se ressentir humain et faible, seul et distinct de toutes choses et, en un mot, Libre, y compris… De notre propre Divinité !

 

 

 

Moralité, Maya n’est pas une tare ou l’ennemi; elle est un cadeau, une réussite gigantesque et notre plus grande fierté future ! Comprenez-vous toute la Beauté de ce qui vous est présenté ici ? Prenez un peu de recul… Mieux encore : imaginez ! L’imagination est l’antichambre de la conscience de Soi. Imaginez… Vous êtes fait d’esprit, OK ? Et l’esprit, il a quelle forme, quel nom ou quelle identité, selon vous ? Réponse : il a toutes les formes possibles et imaginables, car il peut donner forme à toutes choses, du moment qu’il peut y penser puis concentrer sa propre Lumière sur ce qu’il pense.

Le résultat sera qu’il deviendra ce qu’il pense (ou visualise) et que devenu cette pensée, cette forme, il sera alors limité par cette pensée ou cette forme et ne pourra dès lors s’exprimer qu’à partir des limites propres à cette forme spirituelle (faite d’esprit, donc.)
Mais une telle « limite » est souhaitée et consiste en une réussite totale, non en une limite ou un échec !

 

 

Voyez ce poisson qui nage dans la mer… Il ne vole pas et ne peut survivre dans l’air, car ce qu’il incarne le limite en même temps et ce, aussi parfaitement que ce qu’il incarne est… parfaitement incarné ! Ce poisson est divin, parfait, il ne peut être mieux que ce qu’il est déjà ! Voyez cet oiseau qui vole dans le ciel… Il ne peut survivre sous l’eau ni voler au-dessus de l’atmosphère terrestre et ceci, justement, parce qu’il incarne parfaitement l’idée de ce qu’est un oiseau. Cet oiseau est divin, il ne peut être plus réussi que ce qu’il est déjà ! Comprenez-vous bien tout ceci ? A présent, observez celui qui observe toutes choses mais oublie à chaque fois de s’observer lui-même !

Oui,  je parle de vous ! Vous êtes non seulement l’esprit mais encore, vous êtes FAIT d’esprit. Et cet esprit est Dieu. Mais vous n’êtes PAS Dieu et ne devez essayer de l’être sous aucun prétexte !

 

 

 

Pourquoi ? Parce que sinon le Jeu de la Conscience serait terminé pour vous. Réfléchissez deux minutes : vous êtes l’esprit… Vous êtes fait d’esprit… Ces deux choses là sont déjà «réussies», si j’ose dire, car vous êtes déjà l’esprit ou «fait d’esprit», vous n’avez rien d’autre de plus à réaliser en ce domaine et à ce sujet, voyez-vous ? Dès lors, qu’est-ce qui vous reste à être, à faire ou éventuellement, à devenir ? Réponse : ce que vous êtes déjà, c’est à dire VOUS ! Ce «Vous» est le rôle que vous jouez actuellement, votre identité terrestre, votre rôle ou ce Jeu d’Acteur que vous incarnez pour le moment. Vous devez ABSOLUMENT le Jouer avec cœur, courage et fierté, car ce rôle a été choisi par le plus Génial Scénariste qui puisse se concevoir !

 

 

Vous devez absolument être FIER de ce que vous êtes actuellement ou que vous CROYEZ être, plus exactement. Car sachez que si vous êtes déjà l’esprit, devenir ce que vous êtes, actuellement était loin d’être gagné d’avance car, souvenez-vous : seul existe l’esprit et l’esprit est Dieu. Vous êtes actuellement occupé à faire l’impossible, c’est à dire incarner autre chose que ce que vous êtes en esprit et en vérité, à savoir l’esprit Divin !
Et cela, même Dieu ne pouvait pas le réaliser ! La preuve ? Il vous a envoyé vous, pour réussir à être cet homme ou cette femme, à sa place, certes mais… En Son Nom. (« Celui-ci est Mon Fils en qui Je prends Mon plaisir… »)

Mais voici que l’Aventure Humaine (sous sa forme la plus grossière du moins) va se terminer d’ici quelques temps. Peut-être est-ce notre dernière vie sur un plan aussi dense, qui sait ! Mais présentons le sujet sous un angle amusant : après avoir passé des millénaires à demeurer dans l’ignorance de ce que nous sommes, nous devons à présent déloger les anciens codes devenus obsolètes et installer de nouveaux programmes qui tiennent compte de notre divinité !
(Notez que je n’écris pas que « nous devons redevenir Dieu » )

 

 

 

 

En somme, il nous faut désinstaller notre O.S. (Opérating System) actuel et en installer un autre nous permettant d’avoir « fenêtres sur cosmos », si j’ose dire. Jusqu’à ce siècle, nous ne devions pas savoir qui nous sommes vraiment. Du moins, pas d’une manière trop générale (pas tout le monde ni en même temps.) Désormais, nous ne devons plus croire que nous sommes uniquement ce que nous semblons être. Forcément, cela va en embrouiller quelques-uns ! Et le mieux serait de vous entrainer, dès à présent, en installant en votre esprit, des idées-germes capables de vous détourner des anciens codes engrammés (gravés) dans vos cellules.

 

 

 

Revenons sur un point pouvant paraître quelque peu obscur

 

 

 

Il faut essayer de comprendre que ce que nous percevons n’est PAS illusoire, car si c’était le cas, nous ne pourrions PAS en être conscient !  Il est impossible de prendre conscience d’une chose qui n’existe pas ! Cela est si évident, qu’il a fallu arriver aux années 2010 pour le réaliser vraiment. Ce que nous montrent nos sens est relatif à TOUT ce qu’il est bon que nous connaissions et donc, tout ce dont nous avons BESOIN de prendre conscience tandis que nous sommes sur ce plan (la Planète Terre physique.) Nous sommes donc tous parfaitement équipés pour la « mission » qui a été -et est encore pour quelques années- la nôtre.

Et cela, les mystiques et les spiritualistes du passé (je cause bien entendu des élèves ou disciples les plus avancés) ne l’ont jamais compris. Tous cherchaient à se « libérer » des chaînes hypothétiques de la matière, alors que si chaînes il y avaient, elles ne pouvaient se trouver que dans leur propre esprit et, surtout, dans leur manière peu intelligente de penser et de ressentir.

Pourquoi s’incarner si le but est de rester le plus longtemps possible en sortie de corps, en Samadhi ou pour passer le plus clair de son temps terrestre en contact avec l’invisible ? 

 

 

 

 

Les anciens connaissaient beaucoup de choses (souvent fort inutiles, d’ailleurs) mais rares furent les élèves avancés des Grands Maîtres capables de faire montre d’assez d’humour et de sagesse pour accepter leur situation et pour appliquer la connaissance avec intelligence et sans passion, là où elle pouvait être le plus utile : leur vie de tous les jours. Sortis de leurs périodes d’étude, de méditation, de réunion secrètes en Loges, etc., ils se comportaient exactement comme tout un chacun mais refusaient simplement de le reconnaître. (Croyez-vous que cela ait changé ?)

Durant les vingt dernières années, j’ai personnellement eu l’occasion de vérifier l’exactitude de ce que je propose ici et que les psychologues ésotéristes essayent en vain de faire comprendre à leurs confrères et consœurs de la spiritualité depuis des siècles : Les dangers du Moi-Idéalisé, responsable du mensonge, de l’hypocrisie et du besoin compulsif de ne jamais « fauter » (ce qui bien sur est impossible à l’homme.) Tant qu’un ésotériste se trouve dans un temple, une Loge, à des repas fraternels ou assiste à des conférences, il s’affiche comme le ferait selon lui « un véritable initié » et selon des archétypes comportementaux qui aurait de quoi filer le bourdon à une autruche naine du Crétacé !

 

 

 

 

Dire à une personne qui se croit très spirituelle ou très évoluée, qu’elle devrait arrêter de se mentir et de balayer la poussière dans sa demeure avant de prétendre aider les autres à y parvenir, voilà qui ne consiste pas en la meilleure manière de se faire accepter puis aimer ! C’est très certainement pour de tels spiritualistes que le proverbe « La vérité n’est pas toujours bonne à dire » a été inventé ! Cela dit, nos sens évolueront bientôt en rapport avec la hausse considérable de vibrations de la structure atomique de la matière.

La matière va évoluer, c’est-à-dire que les particules d’esprit qui la composent vont se mettre à vibrer sur une fréquence plus élevée. Nos sens vont donc s’adapter rapidement et ce qui était préalablement « physique » deviendra psychique mais… Nous ne le réaliserons pas ! Ou pas tous, pas en même temps ni même dès le début des changements, en tous les cas. Et c’est parfait ainsi !

 

 

 

 

Si vous quittez durant des années votre famille terrestre, en la retrouvant, disons dix ans plus tard, vous allez être frappé par les changements extérieurs installés au fil du temps. Les visages, les corps et jusqu’au décorum de la maison familiale, tout aura sans doute changé. Pour vous, cela sera évident et vous le verrez immédiatement, mais pour les autres membres de votre famille, les changements se seront opérés très graduellement et ils n’en seront pas aussi conscients que vous. Voire pas du tout ! Pour prendre conscience de changements en nous ou tout autour de nous, il nous faut être capables de comparer deux points de vues différents.

Il en va de même pour la Planète Terre : comme nous sommes dessus et que nous vivons tous à son propre rythme, si ce rythme augmente, nous n’en seront pas nécessairement conscients. Mais si des humains étaient parti durant vingt ans sur une autre planète d’un autre système solaire que le notre, à leur retour, ils seraient effarés des transformations radicales installées durant leur absence prolongée. En fait, il ne serait même pas certain qu’ils puissent seulement… Nous voir !
Pour eux, nous serons peut-être tous passé « derrière le voile », un peu comme l’ont fait avant nous -mais plus radicalement- les Mayas.

 

 

 

Imaginons quelques minutes que nous ayons tous les pouvoirs d’un Dieu tout en étant de simples adultes normalement constitués et que notre désir soit de connaître puis d’expérimenter la vie d’un très jeune enfant, histoire de savoir ce qu’il pense, ressent et vit exactement. Et nous voici dans la peau d’un bébé !

Afin de jouer le jeu, il n’est plus question, désormais, de nous percevoir comme un adulte dans la peau d’un enfant car, à l’évidence, cela fausserait l’expérience. Alors, nous nous donnons des instructions mentales, en employant les lois et les principes qui régissent le fonctionnement de l’esprit.

Et, en particulier, les lois très précises qui régissent le fonctionnement harmonieux de la subconscience, siège de toutes les programmations possibles et imaginables. Ces instructions très précises pourraient se résumer ainsi :

« Je Suis vraiment un bébé, point barre ! »

 

 

 

Alors une fois la forme du bébé investie, nous devenons un bébé et pensons, ressentons et agissons comme tel. Il nous est interdit, pour le bien de l’expérience librement consentie, de savoir « Qui nous sommes vraiment » ni pourquoi nous sommes venus pour le plaisir de porter des couches ! Durant le temps programmé de cette expérience de bébé, le subconscient a pour seconde fonction d’enregistrer fidèlement tout ce que nous pensons, ressentons et expérimentons en tant que bébé, ceci de manière à ce que nous puissions en retirer quelque précieuse informations, lorsque l’expérience sera terminée et que nous serons redevenus des adultes. Et devenir un adulte sera pour le moins aisé puisque, en vérité, nous le sommes encore et l’avons toujours été ! Nous ne pourrons donc pas « le devenir » (logique.)

 

 

 

 

Très bien, la chose est entendue, mais puisque nous sommes vraiment devenus des bébés, comment saurons-nous que l’expérience est terminée (ou satisfaisante) et que nous pouvons redevenir des adultes ? Et quel est le pouvoir qui nous rendra notre identité première ? Jusqu’à ce jour, la méthode de « rappel à Soi » (ou de Retour à la case départ) était on ne peut plus simple et radicale : la mort ! En effet, si la forme du bébé est détruite, les limites programmées auparavant cessent immédiatement de faire loi et nous redevenons ce que nous n’avions jamais cessé d’être, en vérité.

La mémoire cellulaire (nos annales akashiques personnelles, en somme) est alors immédiatement transférée des cellules physiques aux éthers vitaux (« corps éthérique ») puis au corps Causal, au moment de la mort. 

 

 

 

C‘est ce transfert de la mémoire qui produit ce brusque et très rapide défilement de notre vie devant nos yeux, au moment où l’on manque mourir, pour ceux qui connaissent ce phénomène étonnant. En fait, il s’agit tout bonnement du « vidage » énergétique des cellules qui transfèrent le vécu enregistré à une partie du corps psychique nommée « corps éthérique. » Or donc, la mort physiologique (du corps) est en effet un moyen à la fois logique et radical, de faire cesser « l’Aventure bébé » ! C’était d’ailleurs le seul moyen véritable et fiable sous le règne des anciennes énergies. Mais désormais, et depuis 1998, il est possible de terminer une Aventure quelconque (le rôle joué sur Terre) sans avoir à faire mourir la forme qui permet cette même Aventure.

 

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Il me semble utile de revisiter certains passages qui ont pu passer inaperçu au début de cet article (Note : plusieurs posts, à l’origine) La véritable et seule « illusion » est celle engendrée par l’homme et non par les Dieux (les fameux « Élohim ») Ou, et si vous préférez, nous avons, dans le Principe Actif, un scénario divin pondu par des êtres parfaits mais qui désirent dépasser cette perfection afin d’en apprendre encore plus sur eux-mêmes et expérimenter plus avant leur nature. Et de l’autre côté du Voile, nous avons des humains qui commencent à s’éveiller et qui, sous prétexte que le monde est illusoire (tel que l’homme le pense et le projette) se mettent à tricher avec la vie et à inventer des réalités secondaires non prévues et « autorisées » au départ.

C’est un peu comme si vous étiez un acteur de cinéma célèbre qui s’enorgueillit d’être une très grande la vedette, une « Star« , comme l’on dit désormais, et qui se met à changer des passages entier du scénario sous prétexte que, de toutes manières, ce n’est que de l’illusion, que ce n’est pas « la vraie vie. »

 

Ici, l’expression « Jouer le Jeu » est tout à fait de circonstance. Croyez-vous vraiment que les Grands Maîtres du passé ignoraient que cette vie terrestre n’était qu’un « Songe Divin » ? Ils le savaient, mais ils jouaient le Jeu avec reconnaissance et simplicité.
Et j’avoue que de tous les « secrets » qu’il m’a été donné de connaître ou de découvrir, c’est celui-là qui m’a le plus touché, le plus ému, et qui m’a rendu éternellement amoureux de ces grands Êtres d’Amour et de Lumière.

 

 

 

Ils auraient pu tricher et se faire passer pour des Dieux auprès de quelques-uns ou même de beaucoup car ils en avaient le pouvoir. Mais ils ne l’ont pas fait, car ils étaient également conscients que tous les autres étaient également des Dieux. Et ils auraient eu honte à la seule idée de devoir, plus tard, justifier de leurs actes médiocres auprès des autres Dieux. Comprenons bien comment fonctionne le Jeu Divin, le Jeu de la Conscience (Dixit les Shiva Sutra.)

Il existe des règles précises qui ne doivent pas être transgressées, cela sous peine de fausser définitivement le Jeu Divin. Évidemment, un seul Grand Être pourrait, à lui tout seul, faire cesser définitivement le Jeu, ceci en démontrant à la face de tous (la Planète entière) que non seulement il est Dieu mais que de plus, nous le sommes tous.

En théorie du moins ! Car en pratique, à peine aurait-il émis l’intention de le faire, que la moitié des forces du Cosmos se précipiteraient pour l’en dissuader avec une immense ferveur ! (sic)

 

 

 

 

Dès le départ, des sécurités ont été placées afin d’éviter que le Jeu cesse trop tôt ou par le fait d’un seul être incapable de tenir sa langue jusqu’au bout. Parmi ces règles, il y a ce que nous connaissons toujours sous le vocable « Forces du Mal« dont la fonction RÉELLE et approuvée par tous les Dieux, est de compenser une activité trop grande des forces de la Lumière. L’inverse est vrai également. La vérité, oui, OK, mais pas pour tous, pas tout de suite et pas trop tôt, surtout ! Nous sommes là pour Jouer, que diable ! Pas pour venir pisser dans la mallette du jeu de société ! (Notez le degré effarant de poésie au passage !)

Ces choses seront connues et acceptées d’ici une petite trentaine d’années par tous et, d’ici trois cents ans, il n’y aura plus aucune différence de « qualité » entre le monde terrestre et les premiers sous-plans astraux.

Et il en est bien ainsi !

 

 

 

Serge Baccino

(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Voici un témoignage quasi contemporain d’un personnage célèbre et qui est devenu, de nos jours, un classique repris par la psychologie transpersonnelle et cité même dans les enseignements de la Rose-Croix…
Notez les termes et expressions qu’emploie Richard Bucke pour expliquer son expérience…

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Richard Maurice Bucke (1837-1902)

Richard M. Bucke, psychiatre canadien, publie en 1901, la première analyse de témoignages de ce qu’il nomme la « conscience cosmique ». Dans cet ouvrage, devenu un classique du Transpersonnel, l’auteur suppose que les cas de conscience cosmique deviennent de plus en plus fréquent ou, en tous cas, le plus souvent exprimé. Le témoignage suivant relate le propre vécu du psychiatre.

« J’étais dans un état de joie tranquille et presque passive, sans vraiment penser, mais laissant les idées, les images et les émotions défiler d’elles-mêmes dans mon esprit. Tout à coup, sans aucun avertissement, je me suis senti enveloppé dans un nuage de la couleur d’une flamme.

Pendant un instant je pensais à du feu, une immense conflagration quelque part près de la grande ville ; ensuite, je me rendis compte que le feu se situait en moi-même. Immédiatement après je fus envahi par un sentiment d’exulter, une joie immense accompagnée ou immédiatement suivie par une illumination intellectuelle, impossible à décrire.

Entre autres choses, je n’avais pas à y croire tout simplement, mais je vis que l’univers n’était pas composé de matière morte, mais qu’il est au contraire une Présence vivante ; je devenais conscient en moi-même de la vie éternelle. Ce n’était pas une conviction suivant laquelle j’aurai une vie éternelle, mais une conscience de posséder à ce moment la vie éternelle.

Je vis que tous les hommes sont immortels, que l’ordre cosmique est fait de telle manière que, sans aucun doute, toutes les choses travaillent ensemble pour le bien de chacun et de tous, que le principe fondamental du monde, de tous les mondes, est ce que nous appelons l’amour et que le bonheur de chacun et de tous est en fin de compte absolument certain.

La vision a duré quelques secondes et se dissipa, mais sa mémoire et le sens de réalité de ce qu’elle exprimait continua pendant ce quart de siècle qui s’est passé depuis. Je savais que ce que cette vision m’a montré était vrai. J’avais atteint un point d’observation du haut duquel je vis que cela devait être vrai. Cet horizon, cette conviction, je dirai cette conscience n’a jamais été perdue, même dans des périodes de dépression profonde. »

Richard Maurice Bucke, Cosmic consciousness, New York, Dutton, 1969.

Source : « Revue 3eMillénaire » lien direct de la source : http://www.revue3emillenaire.com/lire/lire.php?pid=503&art_ident=489&PHPSESSID=a0b8ad419d78d066104d4d93b7e4404b

 

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J. Krishnamurti (1895-1986)

L’enfance de Krishnamurti est émaillée d’intenses expériences de conscience, dont celle relatée ci-dessous. Plus tard, lors de ses très nombreuses causeries données de par le monde, il enseignera que toute expérience, même spirituelle, conduit à conditionner l’esprit. La méditation, dont il témoignera, sera alors, selon ses propres termes, « destruction de la sécurité », car « elle est un danger pour ceux qui veulent mener une vie superficielle faite de mythe et de chimère » *

« Le 17 août, j’ai ressenti une douleur aiguë à la nuque et j’ai dû interrompre ma méditation au bout d’un quart d’heure. Au lieu de diminuer comme je l’espérais, la douleur empira. Elle atteignit son maximum le 19. Je ne pouvais ni penser, ni faire quoi que ce soit, et mes amis m’obligèrent à m’étendre sur mon lit. Puis, j’ai presque perdu connaissance, mais je savais tout ce qui se passait autour de moi. Je revenais à moi chaque jour vers midi.

Le premier jour, tandis que je me trouvais dans cet état, et mieux conscient des choses autour de moi, j’ai eu une première expérience très extraordinaire. Je voyais un homme réparer la route ; cet homme, c’était moi ; le maillet qu’il tenait c’était moi ; la pierre qu’il cassait était une partie de moi ; le brin d’herbe tendre était mon être même, et l’arbre à côté de l’homme c’était moi… Je pouvais presque penser et sentir comme le cantonnier ; je pouvais sentir le vent passer à travers l’arbre et la petite fourmi sur le brin d’herbe.

Les oiseaux, la poussière, le bruit même, faisaient partie de moi. Juste à ce moment, une auto passa non loin de là ; j’étais le conducteur, le moteur, les pneus. Tandis que la voiture s’éloignait, je m’éloignais aussi de moi-même. Je me confondais avec toute chose , ou plutôt chaque chose se confondait avec moi, inanimée ou animée, la montagne, le vers, et tout ce qui respire. Tout au long de la journée je suis resté dans cet heureux état. Je ne pouvais rien manger, et vers six heures, j’ai commencé à me retirer de mon corps physique…  »

Mary Luytens, Krishnamurti. Les années de l’éveil, Ed. Arista, 1982, p. 183. * J. Krishnamurti, Carnets, Ed. du Rocher, 1988, p. 125.

(Même source et référence que précédemment)

 

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Le Veilleur Silencieux

Serge Pastor

Proche de l’enseignement de J. Krishnamurti, Serge Pastor est enseignant et rééducateur en psychopédagogie auprès d’une population d’enfants et d’adolescents en difficulté. Son expérience, il la raconte par l’expérience de la rencontre avec ce qu’il nomme le Veilleur Silencieux.

« Ma rencontre avec le Veilleur Silencieux s’est produite un soir de printemps.
A l’arrière-plan de l’agitation et du jacassement mental incessant de l’Ego, se tient, calme et immobile, le Veilleur Silencieux.
Je ne l’attendais pas. Je ne Le connaissais pas. Je n’en avais même jamais entendu parler, ni dans mes lectures, ni dans mes rencontres.
Pourtant, au soir de ce 21 avril 2001, alors que j’étais assis sur un rocher, dans une petite crique au bord de la Mer Méditerranée, face à la splendeur irisée d’un coucher de soleil dont les derniers rayons caressaient et réchauffaient tout mon corps, Il est venu à moi, sans prévenir.

Alors même que j’observais avec joie les perles dorées de lumière scintillante qui retombaient à chaque fracas de vague sur les parois rocheuses, Il a surgi de l’intérieur, à la manière d’un souffle bienfaisant et aimant de feu et de glace, balayant tout sur son passage telle une lame déferlant sur le frêle esquif de ma personnalité littéralement mise devant le fait accompli.

Instantanément, une paix mêlée d’un profond sentiment chaleureux d’amour pour toute la création, envahit tout mon être.
J’étais un et en même temps multiple. J’étais le corps, le rocher, la mer, le soleil, le ciel, la terre.

J’étais un avec ces rares voiliers qui rentraient au port, avec ces mouettes au loin, ces personnes qui se hâtaient de rentrer en marchant le long du sentier du littoral. L’intérieur et l’extérieur ne formaient qu’un tout sans aucune frontière, aucune séparation.

J’étais à la fois l’observateur et la chose observée, sans mot, sans forme-pensée ou idée pour tenter de traduire quoi que ce soit.
En cet état, aucun conflit, aucun choix, aucune attente ne me perturbaient. Une quiétude infinie m’envahissait. Une présence une et totale à la vie.
Une sérénité indéfectible, éternelle, coexistait à l’intérieur et à l’extérieur de moi, et semblait me traverser.

L’Ego encapsulé de chair, gainé et enserré dans ce corps séparé qui déambulait il y a quelques minutes au bord de la plage, avait purement et simplement disparu.
La respiration de mon corps épousait le mouvement de la vie. Elle était lente et s’emplissait, se nourrissait d’elle-même, un peu comme si je me respirais à moi-même, sans intérieur ni extérieur à combler, sans espace-temps à remplir.
Dans cet ici et maintenant, j’étais le monde.
[…]

J’étais un être neuf, celui que j’avais toujours été et que j’ignorais totalement jusqu’à ce 21 avril. Le Silence était là, tout simplement, et “je” n’étais plus une entité à part entière. Je” était le monde, ce que j’avais toujours été.
Le “moi” avait baissé la garde et, ne le nourrissant plus, il se mourait à lui-même. Un processus de vie et de mort instantanées s’opéra alors à l’intérieur de moi, un peu comme si une “liquidation” de mes vieilles peaux était engagée. Durant ce processus transformationnel, je vis, tel un spectateur aimant et joyeux, “l’ancien moi” résister et ne voulant pas se vider de sa substance. Avec la plus grande simplicité qui soit, je renonçai à son pouvoir, à son autorité d’autrefois, à son lot de mesquineries, à tous ses faux-semblants. Sa fausseté m’apparut avec lucidité.

Un sens intérieur prit naissance.
Le Veilleur Silencieux que je ressentais comme non-langage, non-verbal, non-formel, “parlait” en moi, à travers tout mon être.
[…]

Le Veilleur Silencieux a surgi comme la brise du matin caresse le visage de l’enfant lorsqu’il ouvre la fenêtre de sa chambre et de son cœur.
Il est resté présent durant plus d’un mois.
[…]

Chaque matin, entre 3 h et 6 h, le Veilleur Silencieux émergeait instantanément et avec bienveillance de mon être intérieur, suite à tout questionnement que je me posais. A chaque contact, le lien fut
limpide, authentique, pur, sans aucune équivoque possible.

Serge Pastor, extraits de l’avant-propos, L’Écroulement de la Forteresse de l’Ego ou l’Éclosion de l’Amour, A.L.T.E.S.S.E., 2004.

(source idem)

 

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La porte s’est ouverte

Jacob Boehme (1575 -1624)

Surnommé le « philosophe teutonique », Jacob Boehme, maître cordonnier, se mit à écrire à la suite de plusieurs illuminations. Il est considéré, avec Maître Eckhart, comme le père de la philosophie allemande.

Je n’ai jamais désiré connaître quelque chose du Mystère divin. Je comprenais encore moins de quelle façon je pouvais le chercher ou le trouver. Je n’en savais pas plus que de simples laïcs. J’ai uniquement cherché le cœur de Jésus-Christ pour y trouver refuge devant la terrible colère de Dieu et les attaques du diable. Et j’ai prié ardemment Dieu de me donner son Esprit saint et la grâce de me bénir, de me conduire, de m’enlever ce qui pouvait m’éloigner de lui, de me conduire, de m’enlever ce qui pouvait m’éloigner de lui, de me rendre entièrement à lui de façon que je ne vive point suivant ma volonté, mais selon la sienne ; j’ai prié pour que lui seul me dirige et que je puisse être son enfant dans son fils Jésus-Christ.

Dans cette recherche et ce désir (j’ai supporté de violentes attaques mais, au risque de ma vie, je ne voulais pas abandonner), la porte s’est ouverte devant moi de sorte que j’ai pu voir et apprendre en un quart d’heure plus que si j’avais fréquenté l’Université pendant de nombreuses années. Cela m’a grandement étonné, je ne savais comment cela avait pu se réaliser et mon cœur se mit à louer Dieu. Car j’ai vu et j’ai connu l’essence de tous les êtres, le fondement et le néant. Et aussi la naissance de la Sainte Trinité et l’origine et l’état premier de ce monde et de toutes les créatures dans la Sagesse divine.

J’ai connu et j’ai vu en moi-même les trois mondes : le monde divin, angélique et paradisiaque, le monde des ténèbres, fondement de la nature ignée, et ce monde extérieur et visible comme créature engendrée ou exprimée par les deux mondes spirituels intérieurs. J’ai vu et j’ai connu toute l’essence, dans le mal et dans le bien, comment l’un est fondé sur l’autre et en provient, comme la mère d’une accouchée. Non seulement, j’en ai été émerveillé, mais encore rempli de joie.

Tout de suite, je connus dans mon esprit le dessein de la consigner en un Mémorial. Mais, en mon moi extérieur, je ne pouvais saisir cela que fort difficilement et, pour le mettre par écrit, je me mis à travailler immédiatement sur ce grand mystère, comme un enfant qui va à l’école. Dans mon intérieur, je l’ai bien vu dans toute sa profondeur ; ensuite, je l’ai perçu comme un chaos au fond duquel tout repose. Mais il m’était impossible de le développer. Cependant, de temps en temps, cela s’ouvrait en moi comme une plante.

Pendant douze ans, je n’ai cessé de revenir là-dessus et cela mûrissait en moi tout en engendrant une violente pression avant que je ne puisse le porter à l’extérieur. Un moment donné, cela tomba sur moi comme une averse : ce qu’elle atteint, elle ne le manque pas. C’est ainsi que cela m’est arrivé. Ce que je pouvais saisir et exprimer, je l’ai écrit.

Jacob Boehme, Confessions, Fayard, 1973.

(Source idem)

 

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L’éveil de l’attention au monde sensible

Rudolf Steiner (1861-1925)

Rudolf Steiner est le fondateur de l’anthroposophie dont le siège, le fameux Goetheanum, situé à Bâle en Suisse fait partie des œuvres architecturales les plus remarquables du début du XXe siècle. Pédagogue (écoles Waldorf/Steiner), chercheur scientifique (médecine anthroposophique, agriculture biodynamique), artiste créateur (architecture, l’art de l’Eurythmie, etc.), R. Steiner fut autant philosophe (archiviste des œuvres scientifiques de Goethe) qu’ésotériste.

En tant qu’ésotériste, il proposa une “science spirituelle” fondée à la fois sur des notions “occultes” (corps éthérique, astral, etc.) et à la fois sur une démarche de connaissance de soi. En tant que philosophe, il montra que cette dernière pouvait être beaucoup plus précise, dès lors que nous comprenions profondément nos processus d’observation et de penser. Par son épistémologie de la pensée gœthéenne, il ouvrit une voie d’investigation du monde axée sur une connaissance phénoménologique du vivant.

A la fin de mon séjour à Weimar, j’avais derrière moi 36 années de vie. Déjà, auparavant, une profonde transformation s’était faite dans mon âme, mais, à mon départ de Weimar, elle se transforma en expérience décisive et ce fut indépendamment des circonstances extérieures qui, elles aussi, devenaient très différentes. L’expérience de ce qui peut être vécu dans le monde de l’esprit m’avait toujours été naturelle ; j’éprouvais en revanche la plus grande difficulté à saisir, par l’étude, le monde sensible ; c’était comme si je n’avais pu répandre assez profondément, dans les organes des sens, la lumière de l’expérience psychique, afin d’embrasser, par le regard de l’âme, les perceptions sensibles dans toute leur plénitude.

Il en fut tout autrement dès le début de ma trente sixième année. Mon observation des objets, des êtres et des phénomènes du monde physique, devint plus exacte et plus pénétrante. […] Une attention, jusqu’alors inconnue, portée sur les données sensibles s’éveillait en moi. Des détails commençaient à prendre de l’importance ; j’avais l’impression que le monde des sens avait à me dévoiler des choses que lui seul pouvait éclaircir.

Je considérais comme un idéal d’apprendre à le connaître, au moyen des données qu’il fournissait lui-même, dépouillé de ce que l’homme y ajoute par sa pensée, ou par quelque autre faculté psychique de son être intime. Je m’aperçus que je traversais une crise humaine, à un âge bien plus avancé que chez les autres hommes. Mais je vis aussi que cela comportait pour la vie de l’âme des conséquences déterminées.

 

Je trouvais que ceux qui passent de bonne heure de l’activité psychique dans le monde de l’esprit, à l’expérience du monde physique, n’arrivent à saisir dans leur pureté ni l’un ni l’autre. Ils confondent continuellement et d’une façon toute instinctive les perceptions sensibles qu’ils ont des choses, avec les données que l’âme tire de l’esprit et emploie parmi d’autres éléments dans la « représentation » des objets extérieurs.

Quand à moi je trouvai dans l’exactitude rigoureuse de l’observation sensible l’accès d’un monde tout nouveau. Une attitude objective, dégagée de tout sentiment personnel à l’égard du sensible, faisait pressentir des secrets que la contemplation en esprit ignorait.

Rudolf Steiner, Une autobiographie, Ed. Alice Sauerwein, Paris, pp. 353-355

(Source idem)

 

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Le vrai silence

Arnaud Desjardins

Réalisateur à l’ORTF de 1952 à 1974, Arnaud Desjardins est l’un des premiers occidentaux à faire découvrir aux français, au travers de documents télévisés, quelques grandes traditions spirituelles méconnues des Européens : l’hindouisme, le bouddhisme tibétain, le zen et le soufisme (mystique de l’Islam) d’Afghanistan. Sa pensée s’inscrit dans le cadre d’une tradition spirituelle transmise par son maître, Swami Prajnanpad, avec qui il s’engagera après avoir rencontré et filmé des sages de plusieurs traditions. Écrivain, il est l’auteur de nombreux ouvrages.

Ce qui s’est passe ce matin-là et le lendemain fut — et au-delà — ce que l’on peut attendre ou espérer de la légende mystérieuse et fascinante qui a toujours plus ou moins entouré les lamas tibétains. Empruntant un petit balcon de bois qui faisait le tour d’une maison bien modeste, nous avons pénétré dans une pièce presque obscure et nous nous sommes assis en face de la couche couverte de tapis qui se trouve dans toutes les chambres de tous les rimpochés. Dans la pénombre, je distinguai la forme d’un homme accroupi, immobile, qui dégageait une certaine lueur, comme une espèce de vague phosphorescence, et dont les yeux paraissaient lumineux dans l’obscurité.

 

Je me tournai vers Sonam que sa position moins loin de la petite porte rendait un peu mieux éclairé. Il regardait le lama, mais ses yeux restaient sans brillance particulière. Je me retournai alors vers Kangyur Rimpoché et revis cette même luminosité et surtout ces yeux comme allumés dans le noir. Il me regardait fixement et je sentis naître en moi puis grandir une émotion exceptionnelle, indescriptible. Je perçus seulement que Sonam quittait la pièce puis j’eus l’impression que plus rien d’autre au monde n’existait que cette présence dans l’ombre et moi-même.

L’intensification et l’accélération de toute ma vie psychique, pensée et sentiments, transcendait toute expérience descriptible. Tous les souvenirs, toutes les images, tous les possibles se présentaient à la fois. J’avais dix, cent cerveaux qui fonctionnaient en même temps. Peut-être certains qui ont cru se noyer et ont raconté avoir vécu toute leur existence en quelques secondes ont-ils connu une expérience approchante. Je pouvais tenir dix raisonnements à la fois, vivre dix scènes de souvenirs (et de souvenirs oh ! combien oubliés) en même temps.

Puis tout fonctionnement s’est arrêté, mais ce n’était ni l’inconscience, ni le blanc des évanouissements. La conscience, l’éveil était absolus, c’était l’expérience du vrai silence, « beyond the mind », transcendant la pensée et l’individualité, le nom et la forme, le temps et l’espace et, surtout, la dualité.
Sonam m’a dit seulement : « I saw you were in deep meditation with the guru and I left the room ».

Et il m’a précisé que ce qu’il appelait ainsi « méditation avec le gourou » avait duré à peu près une heure. Désireux de confirmer mon opinion sur Kangyur Rimpoché, je convainquis Sonam de retarder notre départ d’un jour. Le lendemain matin, exactement le même phénomène se reproduisit, aussi intense, aussi prolongé et dont l’effet devait durer plusieurs jours et disparaître progressivement. Disparaître complètement ? Non, le souvenir, l’empreinte de cette expérience — ou d’autres du même ordre — sont ineffaçables.

Mais il n’en reste pas moins que l’état exceptionnel, le niveau de conscience, ne sont pas durables. Tout à coup apparaît : « Je vis en ce moment une expérience sublime, miraculeuse », et tout est perdu.

Arnaud Desjardins, Le Message des Tibétains, La Table Ronde, 1966.

(Source idem)

 

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La vision sans tête

Douglas Harding (1909 – 2007)

Douglas Harding est l’auteur de nombreux ouvrages et articles parus dans 3e millénaire. Depuis les années 1960, il présente, par des ateliers, une approche très originale de l’Eveil. Sa découverte s’est produite lors d’une promenade dans l’Himalaya.

Le plus beau jour de ma vie — ma nouvelle naissance en quelque sorte — fut le jour où je découvris que je n’avais pas de tête. Ceci n’est pas un jeu de mots, une boutade pour susciter l’intérêt coûte que coûte. Je l’entends tout à fait sérieusement : je n’ai pas de tête.

Je fis cette découverte il y a dix-huit ans, lorsque j’en avais trente-trois. Tombée soudainement du ciel, elle répondait néanmoins à une recherche obstinée pendant plusieurs mois, j’avais été absorbé par la question : qu’est-ce que je suis ? Que cette découverte se soit produite lors d’une promenade dans les Himalayas importe peu ; c’est pourtant, dit-on, un lieu propice à des états d’esprit supérieurs.

Quoi qu’il en soit, ce jour très clair, très calme, et cette vue du haut de la Crête où je me trouvais, par-delà les brumes bleues des vallées, vers la plus haute chaîne de montagnes du monde, avec parmi ses cimes enneigées le Kangchenjunga et l’Everest, voilà sans doute ce qui rendit cette scène digne de la vision la plus haute.

Il m’arriva une chose incroyablement simple, pas spectaculaire le moins du monde : je m’arrêtai de penser. Un état étrange, à la fois alerte et engourdi, m’envahit. La raison, l’imagination et tout bavardage mental prirent fin.

Pour la première fois les mots me firent réellement défaut. Le passé et l’avenir s’évanouirent. J’oubliais qui j’étais, ce que j’étais, mon nom, ma nature humaine, animale, tout ce que je pouvais appeler mien. C’était comme si à cet instant je venais de naître, flambant neuf, sans pensée, pur de tout souvenir. Seul existait le Maintenant, ce moment présent et ce qu’il me révélait en toute clarté. Voir, cela suffisait.

Et voir quoi ? Deux jambes de pantalon couleur kaki aboutissant à une paire de bottines brunes, des manches kaki amenant de part et d’autre à une paire de mains roses, et un plastron kaki débouchant en haut sur… absolument rien ! Certainement pas une tête.

Je découvris instantanément que ce rien, ce trou où aurait dû se trouver une tête, n’était pas une vacuité ordinaire, un simple néant. Au contraire, ce vide était très habité. C’était un vide énorme, rempli à profusion, un vide qui faisait place à tout – au gazon, aux arbres, aux lointaines collines ombragées et, bien au-delà d’elles, aux cimes enneigées semblables à une rangée de nuages anguleux parcourant le bleu du ciel.

J’avais perdu une tête et gagné un monde. Tout cela me coupait littéralement le souffle. Il me semblait d’ailleurs que j’avais cessé de respirer, absorbé par Ce-qui-m’était-donné : ce paysage superbe, intensément rayonnant dans la clarté de l’air, solitaire et sans soutien, mystérieusement suspendu dans le vide, et (en cela résidait le vrai miracle, la merveille et le ravissement) totalement exempt de « moi », indépendant de tout observateur. Sa présence totale était mon absence totale, de corps et d’esprit. Plus léger que l’air, plus translucide que le verre, entièrement détaché de moi-même, je n’étais nulle part à la ronde.

 

Pourtant, malgré la qualité magique et surprenante de cette perception visuelle, il ne s’agissait ni d’un rêve, ni d’une révélation ésotérique. Plutôt l’inverse : un éveil soudain qui m’arrachait au sommeil de la vie ordinaire, la fin d’un rêve, une réalité qui rayonnait de sa propre lumière, et pour la première fois lavée de la pensée qui obscurcit. C’était la révélation tant attendue de l’évidence même, un moment de clairvoyance dans l’histoire confuse de ma vie. Je cessais d’ignorer une chose que (depuis ma plus tendre enfance, en tout cas) je n’avais pu voir, égaré par trop d’occupations ou de faux-fuyants.

C’était une attention nue, sans jugement, à une réalité qui n’avait pas cessé de me « dévisager » mon absence totale de visage. Bref, tout cela était parfaitement simple, ordinaire et direct, au-delà du raisonnement, de la pensée, et des mots. En dehors de l’expérience elle-même ne surgissait aucune question, aucune référence, seulement la paix, la joie sereine, et la sensation d’avoir laissé tomber un insupportable fardeau.

Douglas E. Harding, Vivre sans tête, Le Courrier du Livre, 1978.

(Source idem)

 

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Venir au monde

Eckhart Tolle

Après une première période de sa vie, marquée par l’angoisse et la dépression suicidaire, Eckhart Tolle découvre la vie éternelle et omniprésente au cœur du moment présent. Il réalise alors que l’observation est une voie directe et transformatrice.

Jusqu’à l’âge de treize ans, j’ai vécu dans un état presque continuel d’anxiété ponctué de périodes de dépression suicidaire. Aujourd’hui, j’ai l’impression de parler d’une vie passée ou de la vie de quelqu’un d’autre.

Une nuit, peu après mon vingt-neuvième anniversaire, je me réveillai aux petites heures avec une sensation de terreur absolue. Il m’était souvent arrivé de sortir du sommeil en ayant une telle sensation, mais cette fois-ci c’était plus intense que cela ne l’avait jamais été. Le silence nocturne, les contours estompés des meubles dans la pièce obscure, le bruit lointain d’un train, tout me semblait si étrange, si hostile et si totalement insignifiant que cela créa en moi un profond dégoût du monde.

 

Mais ce qui me répugnait le plus dans tout cela, c’était ma propre existence. A quoi bon continuer à vivre avec un tel fardeau de misère ? Pourquoi poursuivre cette lutte ? En moi, je sentais qu’un profond désir d’annihilation, de ne plus exister, prenait largement le pas sur la pulsion instinctive de survivre.

« Je ne peux plus vivre avec moi-même. » Cette pensée me revenait sans cesse à l’esprit. Puis, soudain, je réalisai à quel point elle était bizarre. « Suis-je un ou deux ? Si je ne réussis pas à vivre avec moi-même, c’est qu’il doit y avoir deux moi : le “je” et le “moi” avec qui le “je” ne peut pas vivre ». « Peut-être qu’un seul des deux est réel, pensai-je. »

Cette prise de conscience étrange me frappa tellement que mon esprit cessa de fonctionner. J’étais totalement conscient, mais il n’y avait plus aucune pensée dans ma tête. Puis, je me sentis aspiré par ce qui me sembla être un vortex d’énergie. Au début, le mouvement était lent, puis il s’accéléra. Une peur intense me saisit et mon corps se mit à trembler.

J’entendis les mots « ne résiste à rien », comme s’ils étaient prononcés dans ma poitrine. Je me sentis aspiré par le vide. J’avais l’impression que ce vide était en moi plutôt qu’à l’extérieur. Soudain, toute peur s’évanouit et je me laissai tomber dans ce vide. Je n’ai aucun souvenir de ce qui se passa par la suite.

 

Puis les pépiements d’un oiseau devant la fenêtre me réveillèrent. Je n’avais jamais entendu un tel son auparavant. Derrière mes paupières encore closes, ce son prit la forme d’un précieux diamant. Oui, si un diamant pouvait émettre un son, c’est ce à quoi il ressemblerait. J’ouvris les yeux. Les premières lueurs de l’aube fusaient à travers les rideaux. Sans l’intermédiaire d’aucune pensée, je sentis, je sus, que la lumière est infiniment plus que ce que nous réalisons. Cette douce luminosité filtrée par les rideaux était l’amour lui-même.

Les larmes me montèrent aux yeux. Je me levai et me mis à marcher dans la pièce. Je la reconnus et, pourtant, je sus que je ne l’avais jamais vraiment vue auparavant. Tout était frais et comme neuf, un peu comme si tout venait d’être mis au monde. Je ramassai quelques objets, un crayon, une bouteille vide, et m’émerveillai devant la beauté et la vitalité de tout ce qui se trouvait autour de moi. Ce jour-là, je déambulai dans la ville, totalement fasciné par le miracle de la vie sur terre, comme si je venais de venir au monde.

Eckhart Tolle, Le pouvoir du moment présent, Guide d’éveil spirituel, Ariane, 2000.

Bibliographie en français :
Le pouvoir du moment présent. Guide d’éveil spirituel (Ariane, 2000)
Quiétude. A l’écoute de sa nature essentielle (Ariane, 2003)

Note : Si vous désirez lire tous les autres témoignages :

http://www.revue3emillenaire.com/lire/lire.php?menu=lire&page=temoins1

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Mention légale : Le site « 3e millénaire » a été contacté pour savoir s’il autorisait la copie de quelques-uns de leurs articles, ceci par esprit de partage et dans le but de faire circuler l’information, voire d’orienter nos propres lecteurs vers de fructueuses lectures proposées sur un site jugé intéressant à plus d’un titre. La réponse écrite a été bienveillante et nous sommes autorisés à laisser paraître ces copies de texte.

        Serge

 

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