Archives de catégorie : Les brèves de la psy éso

Fréquences vous avez dit fréquences

Fréquences, vous avez dit fréquences ?

(Les brèves de la psy éso.)

Il est un fait connu de tous les véritables initiés aux lois et aux principes du fonctionnement de l’esprit : « Tout est fréquence, tout est vibrations. » Mais si tout est fait de vibrations, tout ne vibre pas pour autant à la même fréquence vibratoire ! C’est d’ailleurs cette différence dans la fréquence de vibration des choses et des êtres, qui engendre les différences entre ces choses et ces êtres.

Tout est fait d’esprit qui vibre selon un palier fréquentiel plus ou moins haut et constant. Chacun de ces paliers est polarisé. Ainsi, partant d’un palier de pôle négatif, par exemple, le suivant est forcément positif, celui d’après négatif, puis positif, et ainsi de suite, en alternant à chacune des octaves vibratoires.

Notre mental ne déroge pas à cette règle : lui aussi a un seuil fréquentiel à peu près constant, disons plutôt une fourchette vibratoire relativement stable, et on pourrait même dire que la plupart des êtres humains vibrent sur la même octave générale, mais pas nécessairement sur les même « notes » vibratoires.

Ces légères différences engendrent des mentalités et des caractères différents, mais dans l’ensemble, le mental humain est stabilisé sur une octave précise et cette dernière est de polarité négative, contrairement à l’Inconscient Collectif  (I.C.) qui est lui de polarité positive.

Le mental ordinaire, relatif au quatrième Chakra en montant (Anahata Chakra, en sanskrit), contient quatre subdivisions, tandis que le Supramental (Vishuddha Chakra) n’en contient que trois. Pour le moment, l’essentiel de l’humanité est polarisé sur le Centre Cardiaque, celui de la poitrine, qui est en rapport avec le relationnel.

 

Serge Baccino

 

Les énergies de l’Aspect Shiva

Les énergies de l’Aspect Shiva 

Nota : Pour ceux qui l’ignoreraient, Shiva est un aspect de la Conscience lorsque cette dernière nous permet de réaliser à quel point nous nous sommes fourvoyés, dans nos pensées, nos croyances et tout ce qui était censé nous sécuriser et donner un sens à notre vie. On nomme cette forme de conscience « aspect destructeur », car elle a pour effet de détruire la plupart de nos constructions mentales parmi les plus importantes à nos yeux.

 

Depuis quelques années et, en particulier actuellement, Shiva installe lentement mais surement son énergie dans la Planète. Il s’agit de l’énergie du Mental Supérieur ou « Supramental. » Cette énergie, nommée aussi Lumière ou Conscience de soi, va permettre à bon nombre d’entre nous, de réaliser que nos processus mentaux ne sont pas tous ni nécessairement  » à nous  » ni même  » pour nous. »  Autant dire qu’une large partie de ce que nous pensons, se retourne très souvent contre nous, nous asservissant au lieu de nous servir.

 

Tout le monde ne sera pas directement concerné mais tous, nous serons (plus ou moins) affectés et donc, des répercussions s’en suivront qui elles, concerneront tout un chacun. Qui ou quoi est ou va être affecté par ces nouvelles énergies plus puissantes que d’ordinaire ? L’intellect et le mental cellulaire. L’intellect va être déprogrammé d’une manière radicale chez les initiés de tous bords. Eux seuls vont franchir le pas, le Cap ou vont prendre cette initiation, consistant à dépasser le niveau causal physique et atteindre le niveau bouddhique physique (ou éthérique.)

 

Bien sûr, tous ne réagiront pas de la même manière à ces énergies de Supraconscience. La majorité va soit se fermer carrément à ces énergies et ne les ressentir que très peu, d’autres vont commencer à être transformés, voudront résister et vont le payer très cher. De nombreuses personnes profiteront de l’occasion pour quitter leur corps, surtout les plus âgés (dès 80 ans, environ.) C’est maintenant qu’il faut vérifier si vous ne confondez plus les sept niveaux physiques ou éthériques (du corps), et les autres niveaux (sept pour l’âme, sept pour l’Esprit.) C’est le corps qui va évoluer, pas nécessairement l’âme ou même les consciences.

 

Que faire durant cette période agitée ? Quand comprendre ne suffit plus, que croire est dépassé et que le moral risque de chuter d’une manière irrémédiable ? Plus que jamais, vous devez comprendre et tenir compte du fait que c’est votre corps de chair, qui va déguster, pas « Qui vous êtes vraiment. » Une partie seulement de votre âme va devoir abandonner certains critères d’existence, certains idéaux ou et à l’inverse, manques d’idéaux. Du moins ceux en rapport direct avec la vie physique incarnée, telle qu’actuellement perçue dans la 3D.

 

Le corps est le gardien de nos Mémoires et ce sont ces Mémoires qui vont être effacées dans leur partie humaine (dans l’une des deux polarités de l’esprit qui forme notre corps.) Notre âme s’appuyait sur ces Mémoires pour fonctionner et pour nous donner l’illusion que nous étions ceci plutôt que cela. Dans la pratique, nous allons vivre une sorte de « vidage » de mémoire en accéléré et nous aurons alors l’impression qu’il nous arrive quelque chose à NOUS, alors que c’est à nos croyances les plus marmoréennes qu’il arrivera malheur. Nous ne devons plus nous laisser duper par l’intellect, à présent plus que jamais.

 

Serge Baccino

 

 

 

 

Le piège du collectif

Le piège du collectif

La psy éso conseille de se méfier du piège du collectif, apparemment « pour notre bien » et avec d’excellentes intentions, mais qui pourrait surtout permettre au D.S. de durer quelques mois voire années de plus. Plus que jamais, nous devons privilégier l’individu et donc, l’individualité. De toute façon, il ne peut y avoir de réelle collectivité, dans le sens harmonieux du terme, sans que ce soit d’authentiques individualités qui la forment.

Le problème du collectif, c’est qu’il oblige chacun, et donc tous, à s’adapter au plus grand nombre, quel que soit la qualité d’état d’esprit produit par ce plus grand nombre. Ce qui pousse l’être soit à s’adapter de force et donc, à se trahir, soit à se retrouver en disharmonie avec le groupe. L’un des buts insidieux de l’État Profond est de laisser croire au peuple que la collectivité est la solution à tous les maux. En réalité, cela revient à ne plus pouvoir générer d’états d’esprit personnels et donc, multiples. Il est impossible de diriger mille personnes qui pensent différemment, alors qu’il est aisé de manipuler à souhait mille personnes qui ne pensent que comme une seule. Question de logique et d’efficacité, en somme.

Le D.S. travaille toujours à deux niveaux en simultané : tandis qu’il crée un problème, il propose une solution. Cela au cas ou quelques-uns ayant échappé au nivelage de conscience, réagissent en recherchant une autre solution. En offrant une ou plusieurs fausses solutions, le D.S. s’assure de conserver le contrôle sur tous et sur chacun. Ainsi, quand un problème réel inventé ne marche pas, il propose de fausses solutions et s’assure de conserver un train d’avance sur les véritables insoumis. Ou qui s’imaginent l’être.

De même faut-il se méfier de toute forme de spiritualité moderne qui prêche le collectif, du style retour aux « peuples premiers ». Le but est est de faire retomber la conscience collective, dont certains sont au niveau du Plan Mental (4D) au niveau du Plan Astral (3D). Pareillement pour ceux qui glorifient le chamanisme, les chamans, les drogues soi-disant « inoffensives », etc. Ce genre de traditions dépassées ont besoin de l’Astral pour fonctionner. Comme nos chers et tendres représentants du D.S. Juste comme ça, à méditer…

Ou pas. Chacun est libre, il paraît !

 

Serge Baccino

Equilibre ou stabilité

Équilibre ou stabilité ?

 

 

Les spiritualistes aiment à parler du premier Chakra. La psy éso préfère parler des « bases psychologiques fondamentales », celles sur lesquelles reposent l’ensemble de nos processus mentaux, ainsi que des émotions qui en découlent et qui produisent des actes qui, à leur tour, conditionnent notre vécu journalier. Il est souvent question d’équilibre, de stabilité. C’est quoi « être stable » ? Est-on stable quand nos processus mentaux sont invariables, qu’ils ne changent ni n’évoluent jamais ? La stabilité est-elle synonyme de statisme ? Est-il stable celui qui ne bouge pas ou est-il figé dans un état d’esprit marmoréen ?

 

 

Bien souvent, les personnes qui se supposent stables sont en fait programmées jusqu’à la garde. Ce ne sont pas elles qui sont stables, ce sont leurs processus mentaux qui le sont, dans le mauvais sens du terme. Une personne « en évolution » est-elle stable, de ce fait ? N’est-elle pas plutôt en état permanent d’instabilité, puisqu’elle passe d’un état d’esprit habituel, à un autre, réputé meilleur mais parfois totalement inconnu ?

 

Imaginons une personne qui doit traverser une rivière peu profonde mais qui désire ne pas se mouiller les pieds. Elle sait qu’à un endroit, des pierres plates sont posées dans le sens de la largeur, d’une rive à l’autre, chaque pierre séparée de la suivante par vingt centimètres seulement. Chacune des pierre mesure environ quatre-vingt centimètres carrés, offrant ainsi une confortable surface d’appui. La personne peut donc traverser tranquillement et même, en courant !

 

Si la personne veut traverser en courant, elle doit faire preuve d’équilibre et avancer sans jamais hésiter. Si elle le fait de bonne grâce, voire en s’amusant, elle a toutes les chances d’arriver au sec et sur l’autre rive. Pour avancer dans la vie tout en évoluant, c’est-à-dire en transformant peu à peu chacun de nos états d’esprits premiers, deux conditions sont nécessaires : prendre plaisir au changement plutôt que d’en craindre les auspices et se montrer équilibré soi-même.

 

Car contrairement à la croyance spirituelle la plus répandue au sujet du Chakra 1 et des surrénales, leur étant reliées, notre équilibre psychologique réel ne vient pas de nos différents supports mentaux, mais de la conscience. Celui qui est conscient n’a plus besoin de support fixes ou définitifs : il peut courir sur chacun de ses processus mentaux comme l’homme sur chaque pierre plates posées en travers de la rivière.

 

 

Serge Baccino

 

 

Miracle mon beau miracle

Miracle, mon beau miracle…

Nous assistons à une sorte de « rencontre » entre les plans dits « invisibles » et le plan physique dense. Et ce sont les personnes qui sont moins évoluées qui subissent en premier cet état de fait. Il est normal que ceux qui vibrent encore un peu bas soient aussi les premiers à percevoir les plans psychiques de même fréquence que leur âme, cela à cause de l’inversion des polarités et le fait que les semblables s’attirent.

Tandis que nous sommes incarnés, seuls les phénomènes psychiques sont observables, pas les phénomènes physiques, nommés « miracles. » Un miracle c’est lorsque notre prise de conscience objective (relative aux objets des sens, donc) peut s’appuyer sur les phénomènes non pas mentaux mais objectifs. En somme, un « miracle », c’est quand il se produit quelque chose de physique, de terrestre ou de matériel.

Hélas ! En fait de miracles, il est surtout miraculeux que nous soyons encore tous en vie. Ou à peu près. Un miracle nécessite de hautes fréquences animiques (relatives à l’âme, donc.) La vibration de la planète est maintenue basse à cause de la présence de ce que nous connaissons désormais sous le vocable « Deep State. » C’est à cause de cela que ce que nous désirons de « bon pour nous » est si difficile à obtenir ou tiens lieu du miracle. Sans la présence des plus hauts représentants de l’État Profond, ce que certains nomment miracle consisterait en notre quotidien.

 

Serge Baccino

Les trois Terres

Les trois Terres

(Les brèves de la psy éso)

La première Terre (qui n’est plus d’actualité) était totalement illusoire et se résumait au fait que même si les personnes vivaient ensemble physiquement ou « en corps », sur le même sol, ils ne participaient que de leur réalité personnelle, intérieure, qu’ils projetaient sur l’extérieur et les autres. Cette Terre-là ne permettaient pas de réelles rencontres, connivences et compréhensions : seuls les états d’esprit semblables se reconnaissaient plus ou moins et pouvaient établir une relation.

La seconde Terre est une Terre de confrontation constante sur laquelle les états d’esprit se heurtent sans jamais réellement s’accepter et donc, se pénétrer. Les gens sont à moitié conscients de ce qu’il se passe à l’extérieur et chez les autres mais continuent à mixer plus ou moins leur état d’esprit avec celui des autres, rendant les relations précaires voire houleuses. Chacun tiens très fort à son propre monde intime, à ses certitudes et vérités, et refuse de partager le monde, les certitudes et les vérités des autres, qui de leur côté, en font autant.

La troisième Terre est celle à venir, sur laquelle les humains se rencontrent et se comprennent parfaitement, cela parce que chacun s’est adapté à un seul Monde et se contente de constater ce qu’il s’y passe. Sur cette Terre-là, tout le monde peut se rencontrer vraiment et se comprendre réellement, même en conservant des idées et des préférences (ou choix) très personnels.

 

Serge Baccino