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La Grande Peur

pendule-plageVoici un sujet original qui sera, tôt ou tard, repris par plusieurs chercheurs de Lumière, puisqu’il est «dans l’air» et qu’il est possible de savoir par avance de quoi il retourne présentement et ce qui se passera, plus tard, cela simplement en se branchant sur les énergies qui se mettent actuellement en place, au grand désarroi de l’humanité. Il paraîtrait, aux dires de quelques-uns, que l’aventure humaine, telle que nous croyons la connaître, aurait débuté voici 500 000 ans et devrait « se terminer bientôt »…

Cette expérience unique aurait eu pour unique but de tester un réel et complet libre-arbitre, c’est à dire la possibilité inouïe (et proprement inconcevable) d’être  coupé du Divin » (ou de le croire) et de ne plus ressentir son Pouvoir ainsi que Sa Guidance (surtout cette dernière, en fait.)

 

 

 

esoterikosEn effet, comment l’homme pourrait prétendre être libre de gérer son existence, s’il sentait constamment en lui la Divine Présence ? Cette Présence est non seulement éclairante en tous domaines, mais elle a de plus le pouvoir de répondre par avance à tout questionnement et à supprimer n’importe quel problème de l’univers ! Partant, quel aurait été le libre-arbitre de l’homme si Dieu, sans cesse, lui avait soufflé à l’oreille le choix ou le chemin le plus parfait pour lui ? Être libre consiste avant tout à être seul et à pouvoir se tromper…librement ! Donc, les plus rusés d’entre nous ont déjà compris cette vérité qui va en laisser quelques-uns sur le cul :

 

« Puisque la fin de l’aventure humaine se rapproche, la coupure avec le divin va donc bientôt cesser, en même temps que le libre-arbitre de l’homme ! »

 

Boum ! C’est dit ! Wahou ! Mais au juste, Monsieur l’Abbé, que va-t-il se passer ou, tout au moins, comment cela va-t-il se présenter, pour l’homme ?
Bah !… (en Français dans le texte.)

 

3kkvvqcwIl suffit d’observer froidement ce qu’il se passe autour de nous et en nous ! N’avez-vous pas, depuis quelques mois, deux ans tout au plus, l’impression que vous ne gérez plus rien, que plus personne n’arrive d’ailleurs à gérer quoique ce soit et que tout le monde semble être devenu incompétent, distrait, incapable d’assurer ou d’assumer des responsabilités pourtant légères, en temps ordinaire ?

De même, avez-vous remarqué que le temps semblait s’être accéléré, comme si nos journées de 24 heures passaient plus vite ou n’en comptaient que 18 tout au plus ?  Si vous avez remarqué cela, alors vous êtes déjà éveillé et avancé !
Car la plupart subissent cela MAIS sont totalement inconscients de ce qui se passe…. Du moins, pour le moment.
Est-il vrai que plus personne n’arrive à gérer, à planifier, à prévoir et, en un mot, à organiser sa vie ? Oui, c’est vrai. Mais pourquoi cela ?

 

 

 

relianceEh bien ! Ce n’est pas bien compliqué à deviner, si ? Attendu que la fin du libre-arbitre de l’homme est arrivée et que c’est de nouveau le Divin qui va reprendre les rênes de notre vie, pourquoi voulez-vous continuer à gérer votre vie comme si vous étiez seul et abandonné de Dieu ?

Mieux encore : Comment pourriez-vous continuer à la gérer, cette vie, puisque le Divin est en train de reprendre les rênes ?
Essayez de réfléchir à cela. Essayez de découvrir, avec émerveillement (et trouille, aussi !) tout ce que cette idée implique, puis pleurez un bon coup et venez ensuite témoigner de votre ressenti personnel. Placez auparavant votre intellect au placard : il n’a plus sa place, désormais, sur cette planète !

Il serait utile de retenir deux choses principales et quelques-unes secondaires.
La première, c’est que le changement est inéluctable !
La seconde, que la « réussite » finale est inéluctable aussi !
(Tout le monde deviendra divin, un jour ou l’autre, en clair.)

 

 

 

anges[1]Toutefois, certains deviendront divins avec autant d’aisance que vous en auriez vous-mêmes pour faire passer un suppositoire humain dans le derrière d’une ânesse, tandis que d’autres, qui résisteront de toute leur âme (le cas de le dire) vont tellement en ch…  qu’il faudra la distance de la terre à la lune de papier toilette pour « essuyer leur souffrance » (je suis un poète, je le sais, oui !)

Je « vois » des gens « normaux » qui résisteront modérément (juste parce qu’ils ignorent tout de l’affaire) se mettre à rayonner de divinité d’ici 3 ou 400 ans, par exemple… J’en vois d’autres « rendus divins » en une seconde, sans effort, cela malgré leur ignorance totale des choses de l’esprit, seulement parce que la beauté de leur âme fait chanter de joie le chœur des anges autour du Trône de Dieu.

 

 

 

ego5Souvenez-vous de cette parabole des deux semeurs, dans un champ, dont l’un sera pris et l’autre laissé, que croyez-vous qu’elle puisse signifier ?
J’en vois d’autres souffrir milles morts durant leur vie, souffrir milles vies infernales après leur mort, puis, finalement, s’abandonner à leur Dieu qui viendra les réconforter comme Seul « Dieu-Le-Peut. »

Il faut que vous compreniez bien que « tout ne se fera pas en un jour, ni même en dix ans. » L’année 2012 a seulement marqué ce « moment de la Conscience collective » où même les plus doués pour le mensonge ne réussiront plus à abuser leur propre mental ni même celui des autres. Et c’est tout !

Chacun sera mis de force face à ce qu’il est devenu et à ce qu’il aurait pu être.
Et cette «Vague-à-l’Âme» remettra les pendules à l’heure.

 

 

 

mage sorcier 163Évidemment, ceux qui ont depuis des années une recherche spirituelle sembleront être aussi ceux qui en prennent le plus plein la gueule ! Pourquoi ? Parce qu’ils étaient ouverts, bien avant les autres. Et parce qu’ils désiraient SAVOIR ET ÊTRE, avant les autres aussi. Alors, le Divin les nettoie avant les autres Smile

Le premier verre de vin à la Table du « Seigneur de Justice » (Melchisedeck, en Hébreu) sera en fait du fiel ! Le second sera du vinaigre, mais si l’homme est assez inspiré pour goutter au troisième et dernier verre qui lui sera tendu, alors ce qu’il boira le rendra « Tel Que Son Dieu. »

Je dis ces choses pour ceux qui s’imaginent que 2012 devait être une date fatidique après laquelle il n’existerait plus rien et à laquelle s’arrêterait la montre céleste.

 

 

 

planete terre-femmeLe seul « choc » qu’il y a eu, c’est que des milliers de gens ont quitté la Terre (d’un point de vue spirituel) et n’y reviendront plus, tandis que des millions d’autres sont en train d’arriver pour former « la future humanité. » Pour ceux qui ne sont pas prêt, il est possible que la vie puisse paraître continuer comme avant, bien qu’ils constateront, effarés, à quel point il est devenu difficile de mentir ou de cacher ses intentions réelles (comme si tout le monde était devenu un peu télépathe, en somme.)

Les Mystiques du passé affirmaient que « Dieu sait bien mieux que nous-mêmes ce qui est bon pour nous, ce que nous désirons en secret et même, ce que nous ignorons encore de désirable et que nous désirerons un jour… »

 

 

 

Illumination6Beaucoup s’imaginent que « suivre Dieu en Soi » représente la pire calamité qui puisse se concevoir… Il est vrai que si on observe les croyances désastreuses que les curés des diverses traditions religieuses (pour moi, elles se valent toutes) ont implanté dans la tête de leurs ouailles, on est en droit de se demander quel est donc ce véritable Démon qui se fait appeler «Dieu » !
Certains demanderont : «Bon, OK, mais alors, si Dieu est Bon, pourquoi je souffre, actuellement, puisque de toutes façons, c’est toujours Lui qui gagne et qui a le dernier mot ? »

Hélas ! Trois fois hélas ! (hélas, hélas et hélas, donc ^^) Je vous demande de bien vous concentrer sur les phrases qui vont suivre, et asseyez-vous afin de ne pas risquer de vous rompre le coccyx :

« Ce n’est jamais Dieu qui dirige et qui gagne à la fin mais l’ego, qui est le « faux-dieu » de la plupart des hommes. La souffrance vient de la RÉSISTANCE (Shaïtan ou Shah-Tan) d’une partie programmée de l’homme aux propositions de Vie du Divin en lui. »

 

 

 

limitations humainesAutrement dit, ceux qui croient que Dieu est responsable de leurs souffrances se trompent tout simplement d’Adversaire ! Par contre, ce qu’ils voient, sentent et déduisent est bien réel : il existe en eux un véritable espèce de (censuré) qui les prive de tout depuis toujours et qui se prend pour le Maître du Monde. C’est LUI (l’ego) que les gens veulent fuir en fuyant les Maîtres.

 

 

 

 

Serge Baccino

Licence Creative Commons

(Sauf pour les images, réputées gratuites et libres de droits)

Le Détachement Spirituel

LE DÉTACHEMENT

 

 

Ou comment commencer à prendre possession de son esprit après dix minutes de lecture !

 

 

Les spiritualistes modernes ont une compréhension désastreuse de ce concept ésotérique. Que signifie ce terme « détachement » ? Et de quoi donc devrions-nous nous détacher ?
Du bonheur ? Du plaisir ? De l’argent ? De tout ce qui rend la vie terrestre supportable une fois qu’on y est ?

 

 

Un bien qui nous ferait du mal ?

 

 

N‘avez-vous pas la sournoise impression qu’on vous demande de vous « détacher » de tout ce qui est agréable et désirable ?
A moins qu’il ne nous faille vous détacher de tout ce qui provoque de la souffrance ? Tiens donc ! Et qu’est-ce qui provoque de la souffrance ?
Réponse : L’attachement ! Ben voyons !

 

On ne sait toujours pas ce qui nous « attache » et ce qui nous « détache« , en fin de compte. Qu’à cela ne tienne : il existe des gourous, des maîtres à penser et des institutions « sérieuses » à n’en plus pouvoir qui se chargeront certainement de nous faire savoir ce que nous devons faire.

 

L’idée de détachement provient évidemment du désir de faire cesser la souffrance. Les Bouddhistes nous proposent de nous détacher du désir, qui selon eux est « à l’origine de la souffrance. » Cela sans même réaliser qu’un tel but ne peut provenir lui-même que d’un ÉNORME désir : celui de de se détacher pour faire cesser la souffrance ! Gag !

 

 

Qui est responsable de notre souffrance ?

 

 

Partons de l’idée que ce désir de « détachement » provient en droite ligne du désir (on ne peut plus légitime et humain) de faire cesser la souffrance.
Il nous reste donc à définir cette souffrance, sa cause ainsi que la méthode qui permet de s’en libérer. De quoi souffrons-nous, pourquoi souffrons-nous et comment ne plus souffrir, en clair.

 

A la première question « de quoi souffrons-nous ?« , la réponse est évidente :

De dépendance à autrui.

 

A la seconde question « Pourquoi souffrons-nous ? « , la réponse est toute aussi évidente :

Parce que nous pensons que nous dépendons des autres pour exister.

 

A la dernière question « Comment ne plus souffrir ?« , la réponse s’impose d’elle-même :

Il faut cesser de penser que nous dépendons des autres pour exister.

 

Une loi spirituelle affirme que « Tout est double et avance par paires d’opposés. » Merci de noter le fait que le contraire (ou l’opposé) de nos trois précédentes affirmations est tout aussi valable ! Nous devons aussi et absolument arrêtez de croire que les autres peuvent dépendre de nous ! Bien que la chose puisse paraître logique, il m’a semblé utile de le mentionner tout de même.  😀

 

A partir de ce point, nous pouvons déjà proposer les grandes lignes d’une méthode capable de nous libérer de la souffrance morale.
Cette méthode doit être simple et facile à appliquer.
Elle doit également être logique et s’inspirer des lois spirituelles qui ont cet avantage de ne jamais varier et d’être reproductibles à volonté.

En effet, puisqu’une loi est invariable, chaque fois que nous y faisons appel, cela donne les mêmes effets et les mêmes résultats.
Ce qui, il nous faut bien l’avouer ici, est plutôt rassurant !

 

 

Construire sur de bonnes bases dès le départ.

 

 

Pour commencer, nous pouvons poser les bases de travail et de réflexion suivantes : La souffrance est un sentiment, pas une simple idée.
Puisqu’elle peut être ressentie, c’est qu’elle n’est pas illusoire.

Notre mental ne saurait prendre conscience d’une chose qui n’existe pas et ce, au moins pour nous ! Un sentiment provient toujours d’une pensée : la pensée est donc toujours à l’origine du sentiment de souffrance.

 

De plus, les lois spirituelles nous apprennent qu’à une même pensée sera toujours attaché le même sentiment de souffrance. Par exemple, chaque fois que vous pensez à un ami décédé, vous ressentez des émotions identiques.

Chacune de nos pensées est donc reliée à des sentiments bien précis et chaque fois que nous pensons la même chose ou de la même façon, nous ressentons la même chose ou de la même façon.

 

 

Personne ne désire souffrir volontairement.

 

 

Il est clair que personne ne désire penser à ce qui le fait souffrir.
La souffrance provient donc de formes mentales « involontaires » (ou mécaniques.) Autrement dit, il nous arrive de penser sans même le réaliser et sans réussir à tracer un lien direct entre ce que nous pensons et ce que nous ressentons alors.

Toutes les pensées sont faites d’esprit : la souffrance trouve donc sa cause première dans les mouvements de notre esprit.

 

Les initiés de l’Inde affirment que ce qui nous fait le plus souffrir n’est pas vraiment la pensée en elle-même mais plutôt le fait qu’elle varie sans cesse.
Ils nomment cela « les vritti« , c’est à dire et en français, les « modifications » de l’esprit. On pourrait aussi bien dire que le fait de « sautiller » d’une pensée à une autre engendre une forme de déséquilibre mental qui nous prédispose au stress, à l’anxiété, etc.

Il a été démontré que les personnes capables de se concentrer correctement et assez longtemps sur ce qu’ils sont en train de faire, sont également celles qui sont les plus équilibrées, d’un point de vu psychologique.

 

 

L’esprit, un excellent serviteur mais un très mauvais maître !

 

 

L‘esprit peut produire des pensées mais pas des sentiments : c’est donc en l’homme (et grâce à son système nerveux) que se manifeste la sensation de souffrance. L’esprit peut produire toutes les pensées, sans distinction de formes ou de qualités : c’est donc au niveau de la conscience de l’homme que peut s’établir cette distinction (le discernement) entre les pensées qui produisent des sentiments agréables et celles qui ne donnent naissance qu’à des sentiments désagréables.

L’esprit ne veut ni ne désire quoi que ce soit. Son rôle unique est de créer, de donner forme à toutes les idées possibles et imaginables. C’est donc à l’homme qu’il appartient de choisir les créations mentales (pensées) qui lui sont le plus bénéfiques. Cela, bien évidemment, en fonction de sa volonté et de ses désirs humains. Des désirs qui sont nécessairement « légitimes » puisque ils proviennent de sa façon de penser et de sa manière de vivre.

 

Si la volonté et les désirs sont orientés vers un idéal de bonheur, la présence d’un sentiment de souffrance dans la conscience, trahit également la présence de formes mentales totalement contraires à cet idéal (croyances, superstitions.)
C’est à dire des idées, des croyances, des doutes qui sont comme autant de poisons pour le mental puisqu’ils ont le pouvoir de nier notre prétention au bonheur.

 

 

Notre conscience se résume à notre univers mental.

 

 

L‘homme ne peut être conscient que de ce qui se trouve dans son propre mental et qui est produit par l’esprit. La souffrance est donc engendrée par des formes spirituelles qui se trouvent dans le mental de l’homme, et nulle part ailleurs.  C’est donc à la personne qui souffre et à elle seule, qu’il appartient de faire cesser toute forme de souffrance psychologique.
Les « autres » n’y sont pour rien, même si, bien souvent, ils jouent le rôle, bien involontaire d’ailleurs, de « Révélateurs » de cette souffrance qui est en nous.

 

L’énergie suit toujours l’attention mentale : en se concentrant sur les pensées qui produisent un sentiment de souffrance, on leur donne plus de force et de pouvoir encore. Il est donc de première importance d’apprendre à SE DÉTACHER immédiatement de toute pensée morbide, négative et, d’une manière générale, capable de produire, dans notre système nerveux, un sentiment de souffrance.

 

 

L’origine de la souffrance : Une question de concentration ?

 

 

L‘origine de la souffrance provient donc de l’attention mentale, inconsidérément accordée à des idées négatives puis maintenue sur elles et qui contrarient l’idéal de bonheur.
Présenté autrement, si vous conservez la fâcheuse habitude de rester concentré sur une pensée négative et donc désagréable, non seulement vous lui donnez plus de force mais, de plus, vous perdez un peu de votre propre vitalité !
En effet, c’est votre propre vitalité qui vient « nourrir » vos processus mentaux ! Et c’est votre attention mentale qui « canalise » (dirige) cette même énergie vitale en direction de telle ou de telle autre pensée. D’où l’intérêt de ne se concentrer que sur des pensées ou des idées agréables et saines !

 

 

Se détourner du mal pour donner la priorité au bien.

 

 

Pour faire cesser la souffrance, il suffit donc de SE DÉTOURNER de toutes les pensées qui contrarient l’idéal de bonheur, puis de se concentrer fermement sur leur opposé direct. Par exemple, l’inverse de la tristesse est la joie.

On nomme « L’Art de la polarisation mentale » la technique qui consiste à concentrer notre attention sur quelque chose de précis (pensée, idée, souvenir, image mentale, etc.) En général, il s’agit d’une chose opposée à ce qui pourrait produire un sentiment désagréable. Ainsi, on ne se concentre pas sur l’idée d’échouer mais sur l’idée de réussite totale et définitive.

En polarisant notre attention mentale sur une idée à la fois joyeuse et positive, nous transformons complètement la fréquence vibratoire de notre mental et lui permettons de se repolariser, (de redevenir positif et donc puissant.)
Ce qui lui permet ensuite d’attirer à lui des formes mentales semblables, correspondantes ou complémentaires, selon le cas et les besoins. C’est là l’un des fondements de la fameuse « Loi d’Attraction » si médiatisée.

 

 

Quand le cinéma vient à notre secours !

 

 

Lorsque j’étais plus jeune, il me suffisait de visionner l’un quelconque des épisodes de « Laurel et Hardy » pour me bidonner comme un gros malade !
Il nous est facile de faire appel à tout média, support ou technique moderne pouvant favoriser la repolarisation mentale.

Visionner un bon film comique, aller voir un pote ou lire une blague marrante sur internet lorsqu’on n’a pas le moral, peut nous aider à le retrouver.
Se concentrer de nouveau sur l’aspect positif et heureux d’une chose, d’une condition, d’une personne ou d’un lieu, est LA SEULE MANIÈRE d’appliquer le détachement spirituel avec un maximum d’intelligence et… D’efficacité !

 

 

La formule du Détachement spirituel.

 

 

Nous voici à présent en mesure de formuler correctement notre technique appelée « détachement. » Bien que l’énoncé de la loi spirituelle qui va suivre a été largement revu et corrigé pour le rendre plus « buvable« , j’ai pris malgré tout un vif plaisir à en conserver le rythme et le souffle uniques.
Voici donc l’énoncé de la Loi qui concerne le Détachement, sous une forme moderne, plus aérée et plus en rapport avec notre mentalité d’Occidentaux.
« Le détachement consiste à se désintéresser de toutes les pensées qui produisent un sentiment de souffrance, pour orienter fermement notre attention mentale sur toutes les pensées qui génèrent le plaisir. Le plaisir est le contraire de la souffrance, et la présence de l’un de ses deux sentiments, contrarie ou annule la présence de l’autre et réciproquement. »

 

Nous avons compris, désormais, que du choix de nous concentrer sur une idée négative et triste ou sur une idée positive et gaie, dépendra notre état d’esprit du moment et, bien évidemment, notre caractère ou notre manière de nous comporter en société.

Possédant la technique, il ne nous reste plus qu’à l’appliquer avec courage et conviction ! Il serait bon de créer un mécanisme, une habitude, qui nous permettra de virer immédiatement toute idée négative et morbide de notre mental puis de la remplacer sur le champ par une idée positive et vivante.

 

 

Jouer avec les couples d’opposés.

 

 

Il suffit généralement de prendre l’exact opposé d’une l’idée qui produit des sentiments embarrassants ou morbides, pour en annuler presque instantanément les effets ! C’est presque magique !

Retenez bien ceci : Notre mental ne peut pas se concentrer sur plus d’une chose à la fois.

Ainsi, tandis que notre attention se trouve polarisée (concentrée) sur l’idée de joie, il ne nous est pas possible de penser à la tristesse et donc, de la ressentir.
L’inverse est également vrai, bien évidemment.

Nous ressentons toujours ce que nous pensons !

Et nous ne pouvons pas penser une chose et en ressentir une autre.
En résumé, la connaissance des lois et des principes qui régissent le fonctionnement de l’esprit, peuvent grandement nous aider à améliorer notre quotidien et, si on s’en donne vraiment la peine, peut même transformer notre vie. Si vous avez des questions ou des commentaires, je demeure à votre disposition.

 

 

 

    Serge

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