Archives par mot-clé : fin

Pouvoir et énergie

mental07On parle beaucoup de pouvoir…. Mais qui est conscient du fait que le pouvoir, sur la Terre comme ailleurs, est une simple question d’énergie ?

Les gens qui recherchent le pouvoir semblent sans cesse devoir se battre contre les autres et tenter, par tout moyen à portée, de détruire l’adversaire afin de mieux se construire eux-mêmes. Et même si on laisse de côté toutes considérations d’ordre purement moral, on demeure néanmoins en droit de se questionner sur ce genre d’état d’esprit.

 

 

tornade psyEn effet, pourquoi serait-il «utile», d’un point de vue pratique, de détruire un adversaire, alors qu’il est plus spécifiquement question d’avoir plus d’énergie que lui, cela afin d’avoir plus de pouvoir encore et ne plus avoir à le craindre ensuite ?

La réponse est simple : où croyez-vous que les gens en quête de pouvoir vont chercher l’énergie qui leur manque pour arriver à leur fin ? Chez les autres, gagné ! Ah ? Et pourquoi donc chez les autres, Monsieur le Maire ?

Parce que c’est devenu le seul point d’accès à l’énergie, pardi ! Du moins pour toute personne non initiée aux choses de l’esprit. Oh ? Bah oui.

 

 

iqeosr3qJadis, lorsque les gens n’avaient pas encore comme métier unique d’être Menteur à plein temps, et qu’ils acceptaient encore courageusement de plonger en eux-mêmes pour y trouver « ombre et Lumière » qui cohabitent toujours et nécessairement, ils pouvaient alors s’abreuver à la Source intarissable d’énergie cosmique (ce que font encore quelques-uns, n’en doutez pas)

Mais depuis que l’homme, dans son immense courage, a décidé de refuser la vérité, cela sous prétexte qu’elle pouvait blesser son joli petit ego, il a dû, et du même coup, refuser également de demeurer branché à la Source Intérieure qui permet de faire face à tout et de triompher de l’adversité sans avoir à détruire la vie d’autrui (même si c’est « flatteur » comme victoire, du moins aux yeux des abrutis.)

 

 

Psycho 01Alors depuis ce temps, l’homme essaye par divers moyens bien connus des psychologues ésotéristes, de voler l’énergie des autres, cela afin d’atteindre un double but évident en soi : être plus fort et détruire ceux qui sont ainsi devenus plus faibles, après avoir été les victimes de ce vampirisme vital !

Bien trop de gens, à notre époque, ont ce désir compulsif de détruire… Ceux qui leur ont donné à mangé ! Méditez ça quelques secondes et vomissez uniquement ensuite, svp. Et pas sur cet article, merci !

 

 

Dans le murJe vous laisse réagir à mes propos, car il serait sympa que l’on puisse en discuter un brin ensemble. Si vous le voulez bien  Toutefois,  fragiles émotionnellement s’abstenir, car vous risquez de réagir comme à votre habitude, c’est à dire en cherchant à nuire et à faire du mal dans l’espoir de faire cesser l’origine présumée extérieure d’un mal qui vous ronge depuis votre propre intérieur. A bon entendeur…

 

 

Serge Baccino

Licence Creative Commons
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Premier pas vers le pouvoir

ange male 01Généralement, personne ne veut être coupable et donc responsable de ce qui lui arrive. De fait, n’étant pas coupable et donc pas responsable de ce qui arrive, ce qui arrive va se transformer en des souffrances futures qui n’auront pas, ou presque, de limite ou de fin. Car soyons logique un instant : si je commets une faute, si je suis responsable totalement de ce qui arrive, je demeure du même coup capable de réparer ma faute, de compenser voire de faire en sorte de transformer ma faute en une bénédiction.

Par exemple, je reconnais avoir été injuste envers un ami, pour compenser, je lui offre un cadeau somptueux qui lui fait bénir ma connerie !

 

 

 

wiu5cj1bMais si ce qui arrive ou se passe « à l’extérieur » ou en moi ne résulte pas de mes faits, si ce qui arrive est « bizarre » ou « indépendant de ma volonté » (sic) alors je suis en danger et sous le contrôle de la personne présumée avoir commit la faute. En dépassionnant le débat, on réalise assez vite cette erreur qui consiste à nier notre responsabilité dans les problèmes et souffrances qui nous accablent notre vie durant. Je ne suis pas celui qui a tort ou qui a commit la faute et ne suis donc pas responsable de ce qu’il arrive par la suite… OK, mais dans ce cas, je suis mal, car le pouvoir de me libérer d’une erreur disparaît !

 

Le refus de responsabilité retire le pouvoir de réparation et l’acceptation de notre responsabilité nous donne le pouvoir de reprendre notre vie en main.

Car le sens de nos responsabilités est le premier pas vers l’obtention de la Maîtrise de notre vie (et non de celle d’autrui, n’est-ce pas ^^ )
Et comme nous le savons tous, il n’y a que le premier pas qui coûte !

En résumé, accepter la responsabilité de nos erreurs nous redonne LE POUVOIR de nous en libérer ou de réparer ces mêmes erreurs. Si c’est un autre qui est « responsable » de nos fautes, alors nous devenons dépendant de lui pour redevenir libre et heureux. Vous saisissez l’astuce ? Espérons-le  !

 

 

Serge Baccino

Licence Creative Commons
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Le choix

anges[1]En l’homme, le véritable « choix » est représenté par l’individualité réelle, c’est à dire le Soi. Puisque l’esprit (Dieu) s’en fout de tout et s’implique volontiers dans toutes formes de création sans juger, alors c’est à l’individualité (le Dieu individuel, le Soi) qu’il appartient de « vouloir » et de « désirer. » C’est sa volonté à Lui, qui doit être faite, et non celle du Grand Dieu Général qui n’en a rien à cirer, si je puis le présenter ainsi ! (Grenouilles de bénitiers s’abstenir.)

Mais est-ce à dire que la personnalité est le dindon de la farce qui doit juste obéir et se la fermer ? C’est ici qu’il nous faut faire preuve d’un maximum de subtilité. Souvenez-vous que chaque personnalité n’a qu’une seule incarnation. Car en réalité, seul le Soi se réincarne, du moins en partie, et au travers de chacune de ses extensions ou personnalités animiques.

Du coup, on peut dire qu’elle n’existait pas AVANT l’incarnation mais qu’elle continuera d’exister APRÈS sa seule et unique vie terrestre. C’est d’ailleurs le sens à donner au verset Biblique étonnant qui dit que Jésus a eut un commencement mais n’aura pas de fin. Relisez et vous pourrez constater que je ne vous raconte pas des sonneries de serpents à sornettes !

 

 

Bon, Ok, mais alors, dans ce cas, « qui » ou « quoi » a projeté notre actuelle expérience terrestre, avant cette vie ? Qui a tracé les plans sur la comète et a visualisé les grandes lignes de notre parcours, de notre trajectoire spirituelle, comme j’aime à le dire ?

La réponse est évidente : SOI-même, c’est-à-dire non pas la personnalité limitée et actuelle qui dit « moi » mais l’individualité (le Soi Naturel) qui seule préexiste avant chacune des naissances.

Partant, nous pouvons donc dire que ici et maintenant, ou « pour l’instant », ce que nous sommes, c’est un peu ce qu’est le Soi, c’est-à-dire un petit dieu qui s’est oublié. En réalité, nous ne sommes que l’une des extensions de ce Soi (naturel ou « Humain ») Nous sommes des (mini) Jésus, pas encore des Christ, si vous préférez. (Excusez mais ça me rendrait malade de devoir mettre un « s » à la fin de Christ, même au pluriel.)

 

 

Dès lors et en toute logique, la fameuse  volonté de Dieu est en fait aussi la notre puisqu’il n’existe aucune différence de nature entre notre Source (le Soi) et nous, si ce n’est une différence de degré (de manifestation, nous ne sommes que dix pour cent de nous-mêmes, environ, c’est-à-dire une portion insécable de Soi.)

 

Christ+cosmiqueSi nous « faisons la volonté de Dieu et non la notre », nous faisons alors réellement notre volonté, car ce que nous nommons « la nôtre » est en fait celle de notre ego, de notre âme, de la somme de toutes nos programmations mentales auxquelles nous nous identifions sans cesse. Bref, c’est-à-dire de tout, sauf de ce que nous sommes vraiment, justement ! L’expérience m’a montré que très peu de personnes comprennent réellement ce sujet du  » moi  » et du  » Soi  » et s’affolent à l’idée que la personnalité humaine n’ait qu’une seule vie, malgré tout ce qui a été écrit sur le sujet ou tout ce qu’elle tenaient pour vrai.

Or donc, si quelque chose ne vous semble pas assez clair ou si vous avez des questions à poser sur ce sujet, ne vous gênez pas pour le faire, je suis à votre disposition, ceci dans la mesure de mon temps de libre 🙂

 

 

 

 

Serge Baccino

Licence Creative Commons