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Un ami qui nous veut du mal
Parlons un peu de notre bon ami… Le sucre ! Ou, devrions-nous dire, de cet ami qui, bizarrement, nous crée autant de problèmes que ce qu’il nous procure comme plaisir. Si ce n’est pire. Il est évident que le sucre est agréable au goût, voire indispensable dans certains cas. Mais au vu de l’effet à plus ou moins long terme, sur deux organes clefs de notre corps physique, nous sommes en droit de nous demander si le sucre est un véritable ami.
Prenons par exemple son effet sur le pancréas, causé par les pics d’insuline, à cause du glucose, que ce digne organe est obligé de traiter dans l’urgence. Il faut savoir que cela a pour effet psychologique et comportemental, de nous stresser, de nous donner ce sentiment horrible de ne pas avoir le temps de tout faire, de cumuler le retard à tout bout de champ, etc.
Pour mémoire, le rôle spirituel du pancréas est de transformer les processus mentaux en vue de les « incarner », de « faire corps » avec ce que nous pensons. Le mot pancréas vient de deux mots grecs, « Pan » et « Kréas » et signifie « toutes chairs. » Autrement dit, le pancréas est l’organe qui, dans sa partie purement psychique, nous permet de tout incarner, de faire corps avec chacun de nos états d’esprit.
Trop de sucre dans l’organisme aura comme effet néfaste sur le pancréas d’instaurer une difficulté à assimiler, à comprendre et à « faire corps » avec le savoir. Ce qui permet à l’intellect et donc, à son support vivant, le « moi », de reprendre le contrôle pour compenser.
Ajoutons que le surplus de glucides entrainera un stockage du glycogène (les molécules de glucose), réserve énergétique qui sera stockée dans le foie qui, lorsqu’il viendra à être débordé, le passera aux muscles et dans certains cas, ce sont des cellules qui seront détruites, afin de faire de la place.
Il ne faut pas oublier le rôle spirituel du foie : il est la porte de l’astral et donc, de nos perceptions psychiques (ou de notre faculté de nous les assimiler, de les vivre correctement) et de leur degré de luminosité (et de précision.) Trop de sucre fera chuter la fréquence et donc, la qualité de nos perceptions psychiques (si nous en avons encore.) A noter que dans l’alcool, il y a du sucre… Et nous connaissons tous l’effet de l’alcool sur nos perceptions.
Pour terminer, rien ne dit que le sucre d’aujourd’hui est le même que celui d’hier. Notre nourriture est trafiquée et nous sommes désormais en droit de nous demander, inquiets, ce que ce serait si ceux qui décident à notre place de ce que nous serons ensuite obligés de consommer, avaient quelque chose de grave à nous reprocher ! Si vous suivez bien notre propos…
Serge Baccino