Un divorce plutôt déchirant

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Un divorce plutôt… Déchirant !

(Attention, extrait d’article spécialisé, pour les habitués du genre.)

Puisque tout est double, il doit forcément y avoir deux manières de souffrir vraiment et à notre époque, en cette période cruciale de notre présente humanité. La première est connue des psychologues ésotéristes : elle consiste à s’attacher à un état d’esprit choyé mais qui doit absolument disparaître, car ne devant pas survivre à la dimension suivante (ou nouvelle fréquence vibratoire mentale de base.) La seconde forme de souffrance est dite « astrale », car elle est relative à la somme de toutes les souffrances niées ou refoulées, depuis la prime enfance. La personne refuse de faire face à sa propre humanité, qu’elle prend, à tort, pour un signe de faiblesse.

Dans le premier cas, la souffrance (mentale) est surtout relative à un manque total de compréhension : on ne sait plus qui on est ou doit être, ni même si la vie vaut la peine d’être vécue, etc. La personne a alors décrété qu’elle a tout fait pour changer et que puisque ça ne marche pas (ou plus) c’est bien là le signe que « c’est à cause de l’extérieur et des autres » (évidemment.) En fait, elle a bien changé (avant, ça marchait) mais étant arrivée au point de devoir se départir de ses plus précieux schémas, la personne refuse tout net de poursuivre et préfère n’importe quelle autre option (y compris les plus bêtes ou indignes de soi) plutôt que de changer définitivement et surtout, complètement. C’est la peur du « moi » de devoir mourir immédiatement. Le stress est immense.

Dans le second cas (souffrance astrale), la personne ayant nié sa souffrance réelle au profit d’un « moi » plus idéal et « froid » (le M.-I. Étant engagé dans une sorte de constant « même pas mal ! »)  En réaction, son corps astral se contracte, venant littéralement se coller à la colonne vertébrale et donc, à la moelle épinière, siège de tous les ressentis. Un peu comme si elle réagissait enfin en hurlant : « Et là, tu me sens toujours pas ? » Dans l’ésotérisme originel ou « de base », le corps mental représente l’homme tandis que le corps astral représente la femme. On sait que dans un couple humain, l’homme propose (a des idées) et la femme dispose (a le pouvoir de les cautionner ou non.)

Dans notre cas, en cette période critique de notre évolution humaine, la femme intérieure est agrippée au Canal (Nadi) de la conscience et du ressenti, tandis que l’homme la tient par la main et s’efforce de la tirer vers le haut, non pas parce qu’il est « plus évolué » (ça se saurait) mais parce qu’il REFUSE NET de se laisser entrainer vers ce qu’il considère comme étant « les bas fonds de sa propre humanité. ») Raison pour laquelle, au fil des mois à venir, la femme (physique, extérieure ou sociale) sera de plus en plus associée à ce qui est « bas et vil », du moins aux yeux des hommes. Les hommes les moins courageux et évolués s’entend. En réalité, la femme est la plus forte des deux et l’homme-mental devra, tôt ou tard, se résigner à descendre de son piédestal afin de venir partager, avec sa propre moitié d’âme, tout ce que, pour le moment, elle doit assumer seule.

Et ce qu’elle doit assumer seule n’a pas un caractère social mais un caractère spirituel et sensitif. Elle assume seule la prise de conscience douloureuse en diable des responsabilités humaines réelles, complètes. Ne cherchez pas plus loin la cause première et réelle de cette soif de partage des tâches ménagères que manifestent les femmes de nos jours, surtout les plus jeunes et, du même coup, les moins résistantes ou habituées à souffrir pour deux. Les femmes dont le mental est encore associé aux choses de ce monde ordinaire, les tâches ménagères n’ont pas d’autre sens que celui qui leur semble le plus ordinaire ou usuel. Elles n’associe pas (ou plus) leur travail extérieur à un quelconque fardeau émotionnel ou mental intérieur. Mais les plus jeunes n’ayant pas connu certains états d’esprits antérieurs à leur naissance, associent totalement les deux. Alors elles réclament le partage des tâches ménagères, se trompant ainsi de niveau spirituel voire de souffrance.

Ce fameux « partage des tâches ménagèresde la vie de couple », n’a pas réussi à nous convaincre de sa magie opérative ! Les jeunes couples divorcent plus vite que ceux des deux ou trois générations antérieures. Cela ne remet pas en cause l’idée de partage, mais bien le fait que dans la vie, mieux vaut ne pas se tromper de niveau de souffrance et donc, de responsabilités. De nos jours, si les jeunes femmes désirent à tout prix travailler, faire carrière, voire être rapidement surbookées, ce n’est pas pour rien. Leur but est de se démarquer de la dette (responsabilité) humaine le plus vite et le plus complètement possible. Afin de ne plus souffrir, il va de soi.

En n’ayant plus le temps de s’occuper de leur foyer, de leur mari, de leurs enfants, etc., elles espèrent gagner un « pieds d’égalité » avec l’état d’esprit masculin qui, aux yeux de ces mêmes femmes, fait figure d’irresponsabilité totale et de dénie définitif de toute forme de maturité. En réalité, et bien que l’homme en général soit plutôt immature et peu responsable, son état d’esprit est plus lié à sa nature intrinsèque qu’à une volonté réelle de refiler ses merdes à sa compagne. L’homme (actuel) est juste faible et sans grande volonté, voilà tout.

La femme incarnant l’astralité pour deux et étant de ce fait plus encline à ressentir, il est également naturel qu’elle se méprenne sur les intentions de l’homme à son égard. Tout comme il est naturel qu’elle ignore à quel point elle peut être puissante et résistante, du fait que l’homme a toujours eu très peur de ce que, des deux, il était le seul à voir ! De tout ceci, il pourrait ressortir que c’est la femme qui s’accroche à la souffrance et qui fait durer cette dernière. Mais la chose est bien plus subtile que cela. Ce ne sont pas « les torts » ou « les tâches ménagères » qui doivent absolument être partagés, en l’occurrence, mais cette tâche unique de NETTOYER le seul plan de conscience qui, désormais, empêche l’homme de « monter » (changer, évoluer), à savoir, le Plan astral.

Un Plan-Poubelle, un lieu de l’esprit infiniment plus pollué que ne saurait l’être la Terre (physique), même dans une centaine d’années. Les femmes à venir, les véritables initiées, ne se tromperont plus d’adresse et exigeront des hommes qu’ils prennent conscience de leur pouvoir de régler les problèmes passés qu’ils ont eux-mêmes inventés. Ils sont LES IDÉES !

De leur côté, les hommes initiés et vrais, sauront rassurer les femmes et leur expliquer qu’elles ne doivent plus s’accrocher à cette souffrance de peur que l’homme ne s’en désintéresse définitivement. L’homme a vu et à présent, il va s’allier à la femme pour tout pardonner (comprendre : faire vibrer plus haut l’astral.)

Avec les idées géniales des hommes véritables et la pouvoir quasi illimité des femmes les plus authentiques et vraies, la planète sera sauvée. Non pas sauvée de la destruction, mais sauvée de la seule chose qui devra disparaître, tôt ou tard : la souffrance.

 

Serge Baccino