Une Terre comme au Ciel

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Une Terre comme au Ciel

Une loi dont il faut se souvenir pour bien comprendre ce qui se passe, en ce moment, sur Terre. Et aussi ce qui justifie une certaine lenteur dans l’apparition de véritables changements, d’améliorations notoires. La loi : « Tout changement terrestre doit être initialisé dans les trois plans invisibles qui permettent au plan dense de vivre les évènements qu’il semble produire. En fait, tout commence dans le ciel pour se réfracter ensuite sur la Terre… »

En clair, si les plans invisibles ne sont pas nettoyés, il ne peut se produire aucun changement durable sur Terre. C’est pour cela que certaines tentatives de défaire le mal, dans le passé, ont échouées ou n’ont durées que peu de temps. Pour révolutionner le plan terrestre dense, il faut tout d’abord révolutionner le plan terrestre éthéré, à savoir les plans mentaux, astraux et vitaux.

Toutefois, pour une révolution définitive, un changement global ou de paradigme, comme on dit, il faut « monter plus haut. » Par exemple, virer non seulement les Archontes et d’autres races plus ou moins humaines, du septième et dernier plan, mais de plus, nettoyer le plan Bouddhique puis reprogrammer le plan Causal.

Certains d’entre vous se sont fait la remarque : l’atmosphère ambiante est lourde et il règne comme une sorte de tristesse. Cela au point où certains exercices spirituels ne pourront pas (ou plus) être effectués et pour le moment. Ou bien rendre peu d’effets. La lourdeur provient de ce véritable « massacre des forces du mal » de l’invisible, qui a lieu actuellement.

Le sentiment bizarre de tristesse provient du fait que l’humain évolué est incorrigible : il culpabilise et refuse du « faire du mal, même au mal lui-même. » Ainsi, non seulement l’atmosphère psychique est saturée de tristesse, à cause de ce que certaines forces sont obligées de faire comme « ménage » actuellement, mais il y a aussi les différents niveaux (poupées russes) de notre être global, dont certaines font un peu figure de « grenouilles de bénitiers » pour l’occasion et pour l’exprimer avec légèreté.

Les âmes qui ont été fortement marquées par les grandes religions humaines, quand elles allaient encore à peu près bien, s’indignent face aux sacrifices qu’on leur demande de faire à l’occasion. Et ce qui leur est demandé de « sacrifier », ce n’est pas le Bien ou La Lumière, en eux, mais toutes ces croyances moyenâgeuses qui interdisent au Bien de faire le mal, même ou y compris pour se défendre.

 

Serge Baccino